La dernière fois, c’était il y a
86 jours : 10.000 contacts depuis, 115 contacts en moyenne par jour. Si je
travaille 310 jours par an, (dans la mesure où je puis bien m’octroyer les 52 dimanches),
ça doit faire 36.000 contacts (nouveaux) par an !
Rendez-vous en novembre 2015 ?
Vous avez noté que, toujours avec
les mêmes rubriques, (sans quoi que ce soit de racoleur), je tente de me remuer
les méninges avec un billet par jour ?
Ce n’est pas toujours facile,
mais quand les voyages ou les arts font défaut, l’actualité entraîne souvent
des billets d’humeur. Je m’essaie à repérer les héros et héroïnes, ils sont
nombreux, ceux que je prends pour idoles. Je repère les livres qu’il faut avoir
lus, même si comme Madame la Ministre de la Culture je n’ai pas le temps, et lis (comme elle) surtout les journaux et les notes. Je
viens de recevoir par exemple le bouquin d’Attali, « Devenir soi », c’est
tout simple : un chapitre affirme « qu’il ne faut rien attendre des
autres », et ne compter que sur soi. YES par exemple, on peut tous se
retrouver (sous une blouse verte ouverte au grand jour car les boutons sont
devant) sur un brancard d’hôpital. Si l’on doit faire confiance aux autres, au
personnel soignant évidemment, on ne peut compter que sur soi car malgré l’entourage
des siens, on est bien seul (et tout nu) devant les « embêtements
graves de la vie ».(vous m'avez compris ?)
Quand même, il arrive souvent de
rire de choses toutes simples, avec le Chat de Philippe Geluck par exemple , et
son 19ème tome : « le
chat passe à table ».
On y apprend que :
Si on appelle les seins
Les glands de ma mère
On doit nommer les couilles
Les glands de mon père !
Et la dernière d’Antoine (elle
est très osée). Comme nos amis américains collectionnent les mots français
comme des bonbons précieux, je leur ai posé une question technique, issue du
Corps des Ponts et Chaussées, auquel je ne cesse de vous répéter que j’appartiens
désormais.
Ils connaissaient comme tout le
monde l’existence des ponts, sur les routes. Ils savaient que la partie
horizontale se nomme « le tablier ».
Au masculin. "Comme un tablier de cuisine" ai-je précisé, ce qui n’a aucun
rapport. Un grand pont repose, de chaque côté, sur une construction qui a (va
savoir pourquoi) un nom au féminin : c’est une culée.
Voici un élève-ingénieur, sous le
parrainage d’un Ingénieur des Ponts et Chaussées, qui découvre avec des yeux
neufs un petit pont, objet auquel il n’avait à vrai dire jamais fait attention
de sa vie, se moquant des ponts comme d’une guigne. L’Ingénieur confirmé décrit
le tablier, qui repose directement sur la terre, de chaque côté. Et le jeune de
s’esclaffer : -« merci, je n’avais
jamais vu de pont sans culées » !
Je me lâche un peu : on est
dimanche, il fait très beau, j’ai salué tous les anciens qui me regardent
depuis l’autre dimension où est rangée leur âme. Hier les 25 ans de Laurent Gerra
donnaient lieu à une fête splendide sur la seconde chaîne.
Bientôt, (le 3 décembre) des « Racines
et des Ailes » vont montrer (dans son avion décoré des lettres Navy) Eric Soulé de Lafont,
photographiant les Pyrénées. Lui médecin, et son épouse Marjorie, sont extraordinaires !
J’ai rendez-vous bientôt … je vous en
reparlerai
Je découvre (en cherchant) des Personnages formidables
(ils sont souvent tout proches,
il suffit d’ouvrir les yeux)
le hasard de la vie peut offrir des rencontres...
...étonnantes !