samedi 30 mars 2013

Notre (chère) dette


Je ne comprends pas pourquoi « on » se refuse à comparer l’Etat à un ménage. On sait dans un ménage que si l’on veut se faire plaisir en faisant un achat (en a-t-on toujours besoin ?) à crédit, sa pourtant faible mensualité durant soixante mois (par exemple : cela fait quand-même cinq ans) va finalement peser lourd, interdisant tous les mois de dépenser la soit-disant faible mensualité puisqu’elle est consacrée au remboursement de l’emprunt. On sait de facto que l’endettement répété mène au sur-endettement, caractérisé par le fait que le cumul des mensualités assèche toute faculté de faire face aux dépenses d’investissement, puis aux dépenses courantes. Au-delà, c’est la banqueroute, et on va devoir vendre (pas cher) l’objet (ou la maison) acquise à crédit : on est ruiné. Du temps de Balzac, on se suicidait pour cela.


La cure, c’est une cure d’amaigrissement, exactement comme un régime. On s’y préparait autrefois en faisant Carême, manière de régénérer le corps des excès alimentaires. On en ressortait amaigri et affamé, et ça repartait pour un cycle : se faire plaisir, puis  jeûner.

Vous savez que le couperet vient de tomber, le lendemain de la prestation télévisée du Président jeudi 28 mars : la dette publique de notre (cher) Pays augmente de 15,8 milliards d’euros entre le 3e et le 4e trimestre 2012 : à la fin du quatrième trimestre, la dette publique de Maastricht s’établit à 1.833,8 Mds€, en hausse de 15,8 Mds€ par rapport au trimestre précédent. Exprimée en pourcentage du PIB, elle se situe à 90,2 %, en augmentation de 0,3 point par rapport au trimestre précédent. Elle progresse de 32,2 Mds€. C'est bien au-delà des 5 à 6 milliards dont on nous répète qu'il faut les trouver à court terme.

            Encore un score battu, cela dure depuis des années, comme le montre le graphique de l’Insee.
 


Comme on pouvait le craindre, les efforts entamés en 2012 sont totalement annihilés par l’augmentation des dépenses, supérieure aux économies pourtant engagées, et la situation ne s’arrange pas : les nouveaux efforts prévus pour 2013 ne vont ainsi servir à rien, et l’avenir s’avère aussi sombre que le supputent nos contemporains, déprimés à juste titre, quand ils ne sont pas désespérés s'agissant des chômeurs.

J’écoute Pascal Lamy le même 28 mars : avec sa fonction de Directeur de l’organisation mondiale du commerce, il bénéficie de la vision mondiale qu’on aurait aimé que nous fasse partager le Président au début de son intervention télévisuelle :
 

Revenant de Pékin où il a rencontré les nouveaux dirigeants chinois, il nous décrit le monde en deux blocs, les anciens et les émergents, différenciés par leur taux de croissance : les anciens (USA ; Europe et Japon) ont une croissance faible voire nulle. Les Emergents, une forte. L’Afrique en fait partie, et justifie qu’on s’y implante plus que jamais. Ces pays ont des problèmes internes ? Ils sont plus faciles à résoudre avec leurs 8,5% de croissance qu’avec zéro ! Attention : de 2 milliards d’habitants, ils vont passer à 5 : ces 3 milliards de consommateurs supplémentaires, il nous faut leur exporter leurs (nos) biens de consommation.

La croissance ? Il faut aller la chercher chez eux !

L’Europe, ajoute Lamy, ne se débrouille pas si mal en réalité, mais ce sont plutôt les pays du Nord qui s’y collent, Allemagne en tête.

Nous, la France, restons englués dans l’accessoire : il nous faut réformer un appareil d’Etat trop lourd. Laisser la place aux initiatives. Considérer que l’égalité systématique, pour tout le monde et partout, est inefficace. Ce n’est pas moi qui parle, c’est lui. Il est socialiste, et réaliste. C’est comme ça que ça fonctionne le monde !

J’espère que nous y arriverons. En réalité, je crains qu’il faille attendre encore le choc de crises supplémentaires, dans la rue, pour que son diagnostic soit partagé. Ca va commencer par les retraites. Mais avec, il nous faudrait une nouvelle Révolution, sur le mode de fonctionnement de l'Etat et des Collectivités territoriales notamment. La nation attend de François qu’il se transmute en vrai Chef de Guerre  ?

Qu’il le fasse !

c’est maintenant !



mardi 26 mars 2013

Leurrer le calamar géant

l’oligarque des calamars


Seule, une femme (américaine) pouvait le faire ! On sait que les grands calamars ne sont accessibles en profondeur que par les cachalots. Je précise : mille mètres…sous la surface ! La pression est gigantesque… ! Leur poser une caméra sur le dos est difficile, (car on ne sait comment l’accrocher) et il fallait donc trouver autre chose. C’est alors qu’Edith Wider réfléchit : le calamar est attiré par les méduses, qui toujours à grande profondeur, sont luminescentes. Pourquoi pas fabriquer une boule remplie de leds pour leurrer le calamar géant ? Et placer une caméra à côté ? On verra bien (au sec en surface) si l’on découvre quelque chose ?

Ca marche !


 Since the dawn of underwater photography, researchers have been trying to capture the giant squid (Architeuthis) on film, but to no avail. Noisy, brightly lit submersibles kept the enormous creatures at bay. But now, smarter technology has enabled scientists — and the rest of the world — to finally glimpse giant squids in their natural habitats.

Edith Widder, an oceanographer specializing in bioluminescence, is the tech-savvy scientist who made this year’s Discovery Channel expedition to film the giant squid a success.




Cette histoire m’émerveille, et me fait penser à quelque chose : les oligarques russes n’ont apparemment, pas confiance dans les banques (russes). Découvrant Chypre, une île d’Europe en pleine Méditerranée, ils prennent conscience qu’il y a la mer ; des plages ; des meufs ; du vin, et que c’est non seulement un Paradis fiscal, mais un superbe Paradis tout court pour bronzer et exhiber son yacht. Ils s’y rendent donc en groupe et en masse. Ils ont une confiance (jusque là justifiée) dans les banques du coin qui leur distribuent des dividendes élevés, et ils y placent…une bagatelle : 20 milliards (des Euros).


Tout le monde (jusqu’ici) trouve merveilleux d’entretenir ce genre de Paradis fiscal en Europe, jusqu’à ce que (va savoir pourquoi, (en réalité les banques ont du spéculer avec cet argent venant du froid, et ont acheté des capitaux grecs)…bref…voilà-t-il pas que (du jour au lendemain) Chypre perd 15 milliards, et menace de faire faillite (les banques d’abord, l’Etat ensuite). Comme on est européens, il suffit de demander à l’Europe de prêter cet argent, on verra bien comment le rembourser. Or l’Europe, menée par les 27 dont la France, décide de demander à Chypre de rembourser d’abord (au cas où…) pour ne prêter que 10 milliards (on va en garantir 2 nous la France, alors qu’on paraît avoir d’autres priorités internes, mais bof… !) Il faut donc pour Chypre trouver 5 milliards de suite. L’Eglise s’offre en caution, sympa mais comment réaliser cette somme instantanément ? L’Europe propose (décide) de taxer les dépôts, nombreux paraît-il ! Petits et gros ! Hurlement des petits (et des gros). Dernière nouvelle : on finit par décider de ne taxer que les gros. Au-dessus de 100.000 Euros. Pas n’importe quoi : on parle de 15%. On parle même de 30%. A ce tarif, cela peut faire pour les oligarques 6 milliards.

une espèce d'orque mais sans taches blanches

Il paraît qu’ils envisagent de se casser….

en Belgique ?

Monaco ?

ces gros calamars se sont fait leurrer par les chypriotes…

comme les vrais par une fausse méduse

c’est bien fait !

(jusqu’à ce qu’un jour on paie le gaz plus cher ?)

les requins me semblent un peu justes pour illustrer les patrons de la grande finance
je suis passé au modèle au-dessus : ceux qui nagent profond et bouffent du calamar géant !


Butterfly illustrations


En attendant la prochaine sortie des papillons génération 2013, il est encore temps de feuilleter les vieux albums ornés de gravures. La modernité, en papillons est derrière nous : c’est en 1800 qu’apparaissent les premières gravures, le plus souvent magnifiques. J’en ai retrouvé quelques nouvelles, publiées par nos amis anglais, qui n’hésitent pas à citer nos auteurs français, reconnaissant leurs mérites. Je vous livre le tout dans la langue qui est devenue, nous dit-on, la première pour exprimer la réglementation européenne : l’anglais. Je me demande bien comment font nos représentants français pour s’y retrouver : apparemment ils ne s’y retrouvent pas, oubliant souvent qu’ils cosignent les décisions, comme celles venant de frapper Chypre. Mais ceci est une autre chose, en tous cas il faut parler anglais ! Là où c’est amusant, c’est que la langue de base pour les sciences (et le droit)  reste le latin : il faudrait donc à l’image du Pape parler et anglais ; et latin ! Voici un petit exercice :

Vous savez ma fascination pour Adam, le premier homme. Pour une fois, on le voit seul, en train d’apprendre l’entomologie. Son professeur est un ange. On imagine qu’Eve apprend la cuisine quelque part ailleurs, se préparant ainsi à l’expulsion du Paradis et à la dure vie sur une Terre en crise ?




































The Naming of Beasts: Adam, in the Garden of Eden

An angel holds a scroll with the title of the book and points toward Heaven, as Adam points toward a Hercules beetle (Dynastes hercules).

An Atlas moth (Attacus atlas) rests on the side of the rock Adam sits upon, and a Pipevine swallowtail butterfly (Battus philenor) and white dragonfly (subfamily Anisoptera) are depicted aside the scene.

Entomologie, ou, Histoire Naturelle des Insects: Coleoptera. Antoine Guilame Olivier, 1808. [Fourth edition, original publication date 1798.]


Je vous ai déjà parlé du Machaon noir, utilisé par Robert Blanchard pour le croiser avec notre Machaon jaune. En voici deux belles planches :



Black Swallowtail (Papilio polyxenes) on hostplant (Anethum sp. or Daucus sp.)

Though the exact colors and markings vary between subspecies (and even within subspecies), you can see the sexual dimorphism (phenotypic differences) between the male and the female black swallowtail here. [The female is the lower right, the male is top left]

In many butterfly species, the female is polymorphic, and can have multiple phenotypes, some even being identical to the male phenotype. What is shown here is considered the “type” (standard) for the black swallowtail species, but nearly half of the females are phenotypically different from this form. However, even when the female looks exactly the same as the male to the human eye, they maintain a distinct pattern of UV markings, that are easily visible to other butterflies.

The Natural History of the Rarer Lepidopterous Insects of Georgia, vol. 1. Sir James Edward Smith, Illustrated by John Abbot, 1797.




1, 4 - Pipevine Swallowtail (Battus philenor)
2, 3, 5 - Black Swallowtail (Papilio polyxenes)

As can be seen here, the black swallowtail is very similar to the toxic and bad-tasting pipevine swallowtail. It is also nearly identical to the Ozark swallowtail, and was once considered synonymous with it. However, molecular genetics have proven that the Ozark swallowtail is actually descended from a completely different line of Old World butterflies.

The similarities between the black swallowtail and the pipevine swallowtail are known as Mullerian mimicry. This form of mimicry is when two species share the same warning signals to predators and both share genuine anti-predation attributes. Both butterflies are unpalatable to predators, and if a predator eats one member of either species, it learns to avoid both of them (as they look very similar). This can also be considered a form of mutualism, as both mimic and original model benefit from this “interaction”.

Illustrations of Exotic Entomology. J. O. Westwood, from illustrations by the late Dru Drury, 1837.


 Tropical Lepidoptera

Brehms Tierleben, Allgemeine Kunde des Tierreichs. Dr. Otto zur Straffen, 1915

 























Voici une planche de chenilles :


Caterpillars of : Chelonia caja; Catocala fraxini; Spintherops spectrum; Urapteryx sambucaria; Harpia erminea; Cucullia scrophulariae; Acronycta aceris; Lithosia complana; Smerinthus populi; Stauropus fagi; Deilephila elpenor; Lasiocarpa potatoria; Cerastis vaccinii; Chariclea delphini; Liparis dispar; Callimorpha dominula

From: ‘Papillons (1884) Histoire naturelle de la France. 12e’ Partie. by Jean Étienne Bercé


Enfin dans les années 1850, on se rendait en Malaisie pour y chercher les variations d’Ornithoptères obéisant par leurs variantes aux lois de Darwin : cela nous rappelle de belles histoires d’explorations, avec :


Ornithoptera urvilliana (now Ornithoptera primus urvillianus) - D’Urville’s Birdwing

Like all birdwing butterflies, the D’Urville’s Birdwing is considered endangered, and threatened by their beauty. Serious collectors have caused the extinction of one species of birdwing already, and one other is critically endangered.

While once considered a distinct species, D’Urville’s Birdwing can interbreed with other members of Ornithoptera primus, and produce fully fertile and viable hybrids, and as such is now generally considered a subspecies, instead of a distinct species.

Dictionnaire universel d’histoire naturelle. M. Charles D’Orbigny, 1848.



Ornithoptera victoriae - Queen Victoria’s Birdwing - Adult, Caterpillar, and Egg

This butterfly is a close relative to the largest butterfly in the world, Queen Alexandra’s Birdwing. The birdwing genres are noted for their bird-like flight, angular wings, bright colors, and exceptional size.

Like many Lepidoptera (the order containing moths and butterflies), their caterpillars are toxic, owing to the plants they consume, and are not commonly  eaten in their natural habitat. The butterflies retain this toxicity through adulthood.

Proceedings of the General Meetings for Scientific Business of the Zoological Society of London. 1888.

Vous en êtes sorti intact ?

on critique le Pape, voyez que ce n’est pas si aisé

d’être polyglotte !


PS : on retrouvera les publications précédentes dans la série :
Il y a 6 messages !


dimanche 24 mars 2013

Week-end à Lleida



Il fait tellement beau. Il n’y a tellement personne. De bonne heure le matin, les Espagnols dorment...les Français aussi, on est tout seuls. Les pêchers sont en fleurs, et aussi les amandiers. La neige à Vielha est toujours proche, mais le tunnel est ouvert, et l’envie de filer en Espagne trop forte. En réalité tout est prémédité, car cette année j’ai refuser de laisser filer l’exposition de trains (Expotren) de Lérida (Lleida) célèbre pour tous les amateurs de trains du Sud, les amateurs du Nord ayant plein d’occasions de se défouler, puisqu’en mars, ils se rendent à Nüremberg, à la manifestation MiniaturBahnen, MIBA pour les intimes, les trains miniatures, des petits mais des gros aussi.















J’étais attiré (il ne faut jamais revenir sur le passé), par l'exposition à Lleida de trains à vapeur vive ASTER, sur un circuit à l’échelle 1/32°. Souvenirs, souvenirs, je ne voulais pas rater ça, occasion de filer un peu. Veni, vidi, vici, c’est beau mais horriblement cher, et décidément l’échelle 1/32° (qui est cinq fois plus petite que mes voitures au 1/7°), est devenue trop petite pour moi, tel que je le vois aujourd’hui. Donc aucun regret !

remplissage d'eau ; dépression du foyer provoquant la chauffe








Au retour on est toujours un peu fier : d’avoir trouvé l’hôtel dans un quartier tout neuf absent de la carte d’Europe de mon vieux Tom tom (qui a six ans, c'est fou ce que l'urbanisation a galopé depuis !). Heureux d’avoir trouvé le Palau de vidre, pavillon 4, au centre de Lleida. Heureux d’avoir découvert la vieille ville piétonne, la cathédrale recouverte de cigognes, et un marchand de tissu-couture à l’ancienne, tenu par des hombres, où on a pu acheter à l’avance le tissu noir à pois blancs qu’on ne trouve plus en France.

Heureux d’avoir dévoré du jambon ibérique matin, midi et soir, et d’avoir découvert de véritables croissants au beurre fourrés de jambon : à quatre heures, quand la ville se réveille, avec une cerveza fresca, c’est sublissime !




























nous sommes la veille des Rameaux !







Retour, dimanche, et arrêt à Bossost. Il reste deux places, pas davantage, chez Er Occitan. Ouf, on nous reconnaît ! Les esturgeons ont bien passé l’hiver, c’est le moment d’aller les goûter. Toujours aussi délicieux. Toujours délicieux les vins blancs de noir de Tarragone, ça tombe bien, on y retourne à Pâques !







Ca fait du bien de sortir...

...le printemps (en Espagne) est si délicieux !

 

mercredi 20 mars 2013

c'est le printemps

Enfin nous sortons de cet hiver neigeux, et commence aujourd'hui le premier jour de la renaissance (météorologique). C'est l'occasion de ressortir quelques belles peintures, en commençant par notre cher Bouguereau :


                            Mucha également a  célébré le printemps, en voici deux preuves :



il est possible que la Dame de droite représente autre chose, mais elle est jolie quand-même















Le printemps voit commencer la saison des amours : l'amour est partout, même dans la Chapelle Sixtine, comme le montre cet agrandissement d'Adam (on n'en voit que le principal) et d'Eve :



Bon printemps à tous !

dimanche 17 mars 2013

Quest for beauty


Je prends conscience d'avoir oublié ma rubrique des Beaux-Arts depuis le 11 janvier ! Comment ai-je pu m’y prendre ? Je viens de découvrir un blog, je n’ose dire ami, (les nombreuses représentations de messieurs dénudés me semblent manifester une attirance poussée vers la gaieté que je ne saurais partager) dont le titre (comme une devise) me séduit : Quest for beauty. Quest signifiant précisément quête, recherche de …, je me retrouve exactement dans ce qui pourrait devenir la devise d’une vie. On y trouve mis en avant peinture et sculpture ; éloge des anciens, Grecs et Romains. En anglais cela donne « ancient Roman » Une ambiance néoclassique ave des intérieurs qu’on dirait Haussmanniens, voire plus grandioses encore. De l’opulence. De la grandeur…

…c’est beau !

Il y a de drôles de représentations : des scènes allégoriques et des natures mortes avec des papillons. Psyché et Cupidon au Musée de l'Hermitage naturellement.





Je vous reparlerai de Roberto Ferri




                              Des intérieurs : celui de Ralph Lauren avec une maquette de voiture.


                         L’éloge de la peinture, et de la sculpture, et forcément de Pygmalion (et Galatea).






Vénus sous toutes ses formes, y compris celles de Roberto Ferri que je découvre à l’occasion. Il est né en 1978 à Taronto, en Italie, et donc tout jeune. Il adore le baroque, et est très inspiré par le Caravaggio. Ses vénus sont étonnantes.












Les vanités de la vie, vanitas, le thème du Pape François apparemment, montrant que toute ostentation n’est que vanité terrestre sans rapport avec les vraies valeurs. Celles-ci  sont contenues dans les dix commandements de Philippe de Champagne, peints en 1648 !

     






Le Bien représenté par l’Archange Gabriel, à moins que ce soit Saint-Georges, tue le démon-dragon symbole du diable donc du Mal.


vous reconnaissez Paris, Place Saint-Michel ?

L’éloge de Priape, chez les Grecs, à ne pas mettre entre toutes les mains : les voici fidèles à leur réputation, et légitimés par le mariage pour tous !

   

  



















La beauté est partout !