dimanche 2 novembre 2014

Vous êtes 60.000


La dernière fois, c’était il y a 86 jours : 10.000 contacts depuis, 115 contacts en moyenne par jour. Si je travaille 310 jours par an, (dans la mesure où je puis bien m’octroyer les 52 dimanches), ça doit faire 36.000 contacts (nouveaux) par an !

Rendez-vous en novembre 2015 ?

Vous avez noté que, toujours avec les mêmes rubriques, (sans quoi que ce soit de racoleur), je tente de me remuer les méninges avec un billet par jour ?

Ce n’est pas toujours facile, mais quand les voyages ou les arts font défaut, l’actualité entraîne souvent des billets d’humeur. Je m’essaie à repérer les héros et héroïnes, ils sont nombreux, ceux que je prends pour idoles. Je repère les livres qu’il faut avoir lus, même si comme Madame la Ministre de la Culture je n’ai pas le temps, et  lis (comme elle) surtout les journaux et les notes. Je viens de recevoir par exemple le bouquin d’Attali, « Devenir soi », c’est tout simple : un chapitre affirme « qu’il ne faut rien attendre des autres », et ne compter que sur soi. YES par exemple, on peut tous se retrouver (sous une blouse verte ouverte au grand jour car les boutons sont devant) sur un brancard d’hôpital. Si l’on doit faire confiance aux autres, au personnel soignant évidemment, on ne peut compter que sur soi car malgré l’entourage des siens, on est bien seul (et tout nu) devant les « embêtements graves de la vie ».(vous m'avez compris ?)


Quand même, il arrive souvent de rire de choses toutes simples, avec le Chat de Philippe Geluck par exemple , et son 19ème tome : « le chat passe à table ».

On y apprend que :

Si on appelle les seins
Les glands de ma mère
On doit nommer les couilles
Les glands de mon père !

Et la dernière d’Antoine (elle est très osée). Comme nos amis américains collectionnent les mots français comme des bonbons précieux, je leur ai posé une question technique, issue du Corps des Ponts et Chaussées, auquel je ne cesse de vous répéter que j’appartiens désormais.

Ils connaissaient comme tout le monde l’existence des ponts, sur les routes. Ils savaient que la partie horizontale se nomme « le tablier ». Au masculin. "Comme un tablier de cuisine" ai-je précisé, ce qui n’a aucun rapport. Un grand pont repose, de chaque côté, sur une construction qui a (va savoir pourquoi) un nom au féminin : c’est une culée.

Voici un élève-ingénieur, sous le parrainage d’un Ingénieur des Ponts et Chaussées, qui découvre avec des yeux neufs un petit pont, objet auquel il n’avait à vrai dire jamais fait attention de sa vie, se moquant des ponts comme d’une guigne. L’Ingénieur confirmé décrit le tablier, qui repose directement sur la terre, de chaque côté. Et le jeune de s’esclaffer : -« merci, je n’avais jamais vu de pont sans culées » !


Je me lâche un peu : on est dimanche, il fait très beau, j’ai salué tous les anciens qui me regardent depuis l’autre dimension où est rangée leur âme. Hier les 25 ans de Laurent Gerra donnaient lieu à une fête splendide sur la seconde chaîne. 


Bientôt, (le 3 décembre) des « Racines et des Ailes » vont montrer (dans son avion décoré des lettres Navy) Eric Soulé de Lafont, photographiant les Pyrénées. Lui médecin, et son épouse Marjorie, sont extraordinaires ! 

J’ai rendez-vous bientôt … je vous en reparlerai








Je découvre (en cherchant) des Personnages formidables


(ils sont souvent tout proches, 

il suffit d’ouvrir les yeux)



le hasard de la vie peut offrir des rencontres...

...étonnantes  !