C'est l'avantage des réseaux sociaux : facebook m'envoie, j'ignore pourquoi, quelques toiles d'Erick Millet, un artiste
peintre d'origine bretonne. Apparemment, c'est un sportif, il pratique le judo, et il s'est mis par hasard à la peinture : il n'a
jamais pris de cours ni suivi de formation artistique. Il n'est pas marin, il
connaît peu la mer mais aussi fou que cela puisse paraître, il adore la peindre
et tenter d'en maîtriser toutes les nuances de couleurs ! « Peindre une mer en furie, un bateau en pleine tempête, le pont d'un
voilier avec ses hommes, ses bouts, ses ombres et lumière », est pour lui « un vrai challenge mais aussi un vrai
moment d'évasion ».
Voilà ce que l'on voit dans sa Galerie parisienne, du moins ce que l'on voyait car ses tableaux s'arrachent : je vais vous faire faire un tout petit tour en Corse par exemple, voyage étonnant par ces temps de froid et de grèves persistantes :
comme nous, il aime Erbalunga
retour à Marseille, au vallon des Auffes
voici une idée de la cote d'Eric :
écrivez-lui sur facebook :