est-ce le bon crâne ?
est-ce celui-là ?
est-ce le cercueil... irlandais, qui contiendrait son coeur ?
est-ce la bonne reconstitution 3D ?
(qu'en pense chat GPT ?)
faut-il prier ses reliques en Italie ? en Angleterre ? en Espagne ? en Irlande ?
le mystère est complet !
il faut que les amoureux s'embrassent en pensant à Lui
et le voient au Ciel
sans chercher ses reliques dispersées sur Terre
de toute manière, son âme est au Ciel, dans le nuages d'électrons qui rassemblent les âmes des corps disparus, d'aucuns disent que les Trous noirs sont des lieux (étranges) d'âmes rassemblées
que les amoueux pratiquent mes conseils de la "Cognition distribuée"
... cela les occupera toute la journée !
sinon, je puis vous en dire davantage :
En majorité, on doit parler des reliques de saint Valentin de Terni, nous sommes en Italie (1)
forcément Rome est dans le coin :
Pour les curieux, saint Valentin était, selon la tradition catholique, un prêtre du IIIe siècle après Jésus-Christ. Il mariait les amoureux chrétiens contre la volonté de l’empereur Claude II le Gothique qui avait besoin d’hommes célibataires pour ses armées.
Dénoncé, Valentin fut envoyé en prison où il rendit miraculeusement la vue à Julia, la fille de son geôlier. Furieux de l’aventure, Claude ordonna alors l’exécution du prêtre. Il fut battu puis décapité sur la via Flaminia, à Terni, un 14 février.
Bien sûr, toute la famille de Julia se convertit au christianisme et la jeune fille planta un amandier près de la tombe de Valentin, faisant de cet arbre le symbole de tout amour.
Plusieurs villes conservent ses reliques. Le crâne que vous voyez tout en premier en haut se trouve à Rome, dans la basilique Sainte-Marie de Cosmedin.
Chaque 14 février, des millions de personnes, comme vous et moi, participent à la plus grande fête de l’amour de la planète. Elles s’offrent boîtes de chocolats, dîners aux chandelles et autres marques d’affection. Mais le vernis rose de la Saint-Valentin dissimule une mystérieuse (et atroce) histoire de décapitation et de démembrement.
une de plus : les meurtres dont nos journaux télévisés nous rebattent les oreilles tous les jours, ne sont rien comparé aux atrocités de nos ancêtres : Barbares, oui, ils l'étaient... ils créaient peu à peu la Civilisation. La Civilisation n'est pas innée à l'Homme, cela exige un très gros effort d'éducation, puis de comportement. Rousseau pour moi était aussi décalé que d'une certaine manière un Homme de grande estime comme Robert Badinter : tous ces contemporains qui rêvent que l'Homme est naturellement bon, qu'il est bien que la peine de mort ait été abolie. Soit !... et que tous les jours la vie soit ôtée à un enfant innoncent, et je n'ai pas mis "ou" : que des adultes meurent en masse en Ukraine, en Russie, en Afrique, en Palestine ! sous des tirs de missiles aveugles, au hasard, un immeuble s'écrase sur ses habitants ! Une fois de plus le déni gagne : -"Robert a raison", alors, nous détournons le regard, et psychanalisons les assassins. L'assassin avait "perdu son discernement", il est irresponsable = on n'y peut rien, il reste libre de recommencer après une "pulsion après tout légitime surtout sous cocaïne". Poutine ? Trump lui téléphone, ils vont se partager des terrains minés, avec des métaux rares dessous. Les Ukrainiens ? "on s'en tape" ! Macron ? après son déguisement en Drag-Queen, comment voulez-vous qu'il se présente devant Poutine ???... devant Trump ...qui va lui taper ... les fesses ? Vous voyez déjà la video de l'Intelligence artificielle, où Macron prend une fessée ? Les vicitimes ? on laisse tomber, on ne peut pas revenir en arrière, tant pis pour Louise, on accumule des fleurs par terre, bien contents de retrouver les miettes de l'Eglise catholique pour improviser un rite d'inhumation ! Louise est au Ciel, ...dans un trou noir...nous voilà rassurés. La famille "peut entamer son travail de deuil".
La Société a fait son boulot.
une parodie de civilisation-déclinante
Saint-Valentin, martyr catholique du 3e siècle, a été décapité un 14 février, vraisemblablement pour avoir transgressé l’interdiction romaine de célébrer des mariages. Une église dublinoise affirme aujourd’hui être en possession de son cœur, caché dans un cercueil, celui au-dessus. Son crâne serait exposé dans la basilique de Rome déjà citée ; son squelette reposerait dans une confrérie de Glasgow ; une basilique de Prague attire les visiteurs avec ce qui serait son épaule ; et ses restes (restants) seraient protégés sous verre dans une église madrilène.
toujours ce pouvoir ancien donné aux reliques, pourtant redevenues poussière, qu'elles diffusent la sainteté de l'ex propriétaire, et la projettent sur le Croyant, retrouvant ainsi l'Amour. A Valcabrère, on passe la nuit sous le sarcophage (bien attaché) de Saint-Just, espérant que la sainte-diffusion descende sur vous, allongé sur un matelas pneumatique, je vous rassure, impossible de dormir dans cette ambiance de ténèbres glacées ! A Saint-Sernin, on avait accumulé tant de reliques que c'était le "Tour des Corps Saints"; comme si la pharmacie vous vendait un peu de tous les médicaments pour prévenir l'arrivée des maladies les plus inquiétantes. Aujourd'hui, des voleurs accèdent à ces restes de reliques, personne ne connait plus le "principe actif" de telle relique impossible à identifier, ce qui explique sans doute la consommation effrénée des Français en anti-dépresseurs, par compensation !
... enfin, il y a la ville italienne de Terni, où Saint-Valentin serait né. C’est là que se trouve la basilique di San Valentino, qui aurait été à l’origine construite sur sa sépulture et où d'autres restes de ses reliques attirent de nombreux croyants. En tout et pour tout, une dizaine d’églises catholiques d’Europe tirent profit des restes dispersés de ce saint célèbre.
Or, personne ne peut dire avec certitude où se trouvent vraiment ses reliques. Ce manque de consensus ne fait que souligner le mystère épais qui entoure Valentin. Son histoire est si trouble que, bien qu’il ait été sanctifié, on l’a exclu en 1969 du Calendrier romain général (qui arrête les fêtes des Saints) à cause du manque d’informations fiables sur sa vie.
Selon Henry Kelly, professeur d’Histoire et de théologie à UCLA, ce n’est qu’un millénaire plus tard, sous la plume de l’Anglais Geoffrey Chaucer, qu’on verra pour la première fois la Saint-Valentin associée à l’amour. L’auteur de Chaucer and the Cult of St. Valentine l’affirme, ce sont bien les écrits du Britannique qui ont été à l’origine de l’incorporation d’une tradition romantique dans cette fête annuelle. D’après lui, un certain nombre d’histoires hautes en couleur qu’on associe aujourd’hui à Saint-Valentin étaient en fait « fictives ».
L’église San Anton de Madrid fait partie des lieux de culte qui prétendent posséder des reliques de Saint-Valentin. Les ossements et le crâne exposés à l’intérieur de l’église ont été découverts dans les catacombes romaines à la fin du 18e siècle.
c'est le second crâne que j'ai mis après le premier
Étant donné ces équivoques, on comprend que tant de lieux prétendent être en possession des restes de Valentin. Lisa Bitel fait judicieusement remarquer que tout rapport avec un saint est grandement bénéfique pour les églises. « Plus le saint est connu, plus les pèlerins affluent pour venir le ou la vénérer, explique-t-elle. On a aisément pu récrire l’hagiographie d’un saint pour inclure sa présence à tel ou tel endroit. »
Elle ajoute que bien qu’il soit invraisemblable que toutes les églises soient en possession de restes ayant appartenu à Valentin, il n’y a pas de compétition ou d’animosité entre celles-ci. D’ailleurs, c’est un sujet sur lequel l’Église garde le silence.
« Le Vatican ne prend pas position sur les dépouilles, indique-t-elle. Le clergé laisse plus ou moins libre cours à l’acquisition et à l’exploitation de reliques sans trop de régulations. Cela a amené des clients dans les églises, des pèlerins dans les villes et de l’argent dans les caisses des églises. Des théologiens et d’autres personnes se sont montrés critiques dès le début vis-à-vis de ce commerce autour des reliques, à commencer par [Saint-]Augustin, quoique cela a peut-être même commencé avant. Les gens savaient que les marchands de reliques vendaient des faux. Mais ils croyaient également volontiers au fait que les saints avaient le pouvoir de donner des reliques en proportions miraculeuses, comme ça les églises pouvaient revendiquer la possession du corps d’un saint en particulier. »
Il faut bien reconnaitre que de nos jours, les restes de Saint-Valentin ont bien moins d’attrait. À Rome, des files de touristes font la queue tous les jours devant la basilique Santa Maria in Cosmedin, qui date du 6e siècle. À l’intérieur d’une boîte dorée, on y trouve un crâne orné d’une couronne de fleurs. Pourtant, ces hordes de visiteurs ne s’intéressent pas à cette relique de Saint-Valentin (ou bien ne la connaissent pas) et viennent plutôt pour enfoncer leurs doigts dans la Bocca della Verità, une célèbre bouche d’égout de l’époque romaine.
« Quand nous y allons, mes clients ne demandent pas si l’on va voir le corps de Saint-Valentin », confie Sara Verde, guide touristique à Rome. « Ils ne savent même pas que le corps de Saint-Valentin s’y trouve. »
Les habitants de Rome non plus ne s’intéressent pas vraiment à cette relique. Ils doutent de son authenticité. -« À Rome, nous croyons que ce crâne, qui continue d’être vénéré par les pèlerins, a appartenu à un autre martyr du nom de Valentin, précise-t-elle. Je suis allée à Terni pour voir le vrai corps de Saint-Valentin. »
À titre de comparaison, à Glasgow, certains couples écossais organisent des rendez-vous romantiques auprès des reliques de Saint-Valentin à l’occasion du 14 février. Selon le père George Smulski de la confrérie des Duns Scotus, les os du martyr sont arrivés dans cette ville portuaire encore poussiéreuse à la fin des années 1870. Il s’agit d’un don d’une riche famille catholique française et ils reposent désormais sous verre dans un reliquaire raffiné dans l’atrium de la confrérie.
« Chaque année, pour la Saint-Valentin, des visiteurs, principalement des couples, viennent voir la châsse, commente George Smulski. Certains viennent renouveler leurs vœux de mariage ou, mais ce n’est arrivé qu’une fois à notre connaissance, faire une demande en mariage à sa promise. »
Le père John McGrath de la confrérie John Duns Scotus de Glasgow allume un cierge à côté d’un cercueil scellé avec du laiton qui contiendrait les restes de Saint-Valentin. Ses reliques font l’objet d’un conflit entre une église dublinoise et une église romaine. Elles clament toutes deux être la dernière demeure du saint.
Plus à l’ouest, par-delà les flots rugueux de la mer d’Irlande, Saint-Valentin est en compétition avec un autre saint célèbre. En effet, à Dublin, la majestueuse cathédrale du saint patron des Irlandais, Saint-Patrick, est un incontournable et attire des visiteurs toute l’année.
Non loin de là, à l’intérieur de l’église plus quelconque de Whitefriar Street, Saint-Valentin repose dans un anonymat relatif. Sous une grande statue du saint se trouve un coffre en bois renfermant son cœur. Cet organe sacré a été rapporté de Rome en 1836 dans une « procession solennelle », selon l’écriteau présent dans l’église.
D’après Alan Byrne, guide touristique dublinois diplômé d’Histoire et ayant fait sa thèse sur l’Église catholique, les restes de Saint-Valentin sont bien connus des habitants mais sont absents des circuits touristiques de la ville. Le 14 février est selon lui le seul jour de l’année où des visiteurs viennent se recueillir sur ses reliques. « Les gens écrivent des messages d’amour et les laissent sur la châsse, explique-t-il. Les couples qui viennent de se fiancer viennent souvent y faire bénir leurs bagues ce jour-là ; de temps en temps on a même droit à une demande en mariage devant la châsse. »
Malgré tout, les jeunes tourtereaux irlandais passent bien plus volontiers leur Saint-Valentin dans les lieux photogéniques de la capitale, qui font d’excellentes toiles de fond pour les photos qu’ils postent sur les réseaux sociaux. « Peut-être qu’on devrait créer un compte Instagram à Saint-Valentin pour que plus de personnes viennent visiter l’église », plaisante Alan Byrne.
Voilà un trait d’humour irlandais qui recèle une part de vérité. Le 14 février, on est en effet bien plus susceptible de de poster un emoji romantique que d’aller voir en personne le cœur, le crâne ou l’épaule de l’homme saint que l’on fête.
J'ai repris les propos de Ronan O’Connell : c'est un journaliste et photographe australien qui vit entre l’Irlande, la Thaïlande et l’Australie-Occidentale. Vous voyez, il cherche Valentin partout sur la planète.
Une certitude, il n'est nulle part en Comminges !
Nadau n'en a jamais eu besoin
pour s'adresser à Marie
il faut offrir un bouquet de roses rouge (-passion)
à votre amoureuse
(et/ou des chocolats pralinés au lait d'AZTEK')
on peut faire les deux, louer une chambre au Commerce,
et diner d'un ris de veau (nus) dans l'eau thermale chaude d'un SPA
c'est plus simple et finalement moins cher que se rendre en plein hiver à Terni
tant qu'à aller voir un Valentin décapité, on peut très bien aller voir Saint-Gaudens recapité, avec la cicatrice (saignante), dans la Collégiale, la niche au fond à gauche, c'est à dire au Nord-Est.(prévoir une pièce)
PS (1) : pour se rentre à Terni cet été :
en voiture c'est un peu loin ! |
joyeux annniversaire Vincent !
et pour les mecs : the ten tenors
un peu tard dans l'après-midi, Emilio piano
nous joue Ave Maria
un jeune garçon chante :