samedi 1 juillet 2017

Deux matelas pour T.











J'avoue être intrigué : T. emménage à Rangueil pour sa 5è (et dernière) année d'INSA, et a réussi à obtenir un logement plus grand, 5è étage avec ascenseur, à quelques minutes de son lieu de stage (où il analyse les spectres émis par je ne sais plus quelle constellation). Il faut dire que l'environnement est de qualité, Le baron de CREPS dans son château visible depuis la fenêtre. L'Ecole Nationale d'aviation civile, et Sup-aéro : nous sommes dans la Garonne-valley de Toulouse, of course !







Le premier stade de l'emménagement, a comporté le transport du gros ordi (à ce stade il faut bien deux écrans), du micro-onde complété d'un gril, (toujours en double), du remplissage du frigo, du ventilateur (par cette chaleur), et une petite voiture a suffi. Se pose après la question du transport du matelas, qui ne figure pas dans l'inventaire des lieux ; il faut un véhicule assez long, car on voit mal le trimbaler dans le train. C'était aujourd'hui, jour de pluie, des camions partout, les éternels bouchons du matin, banquettes arrière rabattues.

salle de muscu au RdC vide : ce sont les vacances scolaires

le gros ordi, les deux écrans, pas un fil ne dépasse
classé secret-défense

Arrivé sur place, je vérifie, le lit n'a qu'une place. Il implique donc un matelas. Pourquoi alors en porter deux, que la maman illico pose l'un sur l'autre, comme une sorte de double-matelas susceptible d'héberger (s'agissant du second) une tierce-personne ?

Je devine qu'il est inconvenant de pousser plus loin les investigations, mieux vaut in fine un matelas supplémentaire que pas de matelas du tout.

Ca y est, T. est logé, pour quelques années peut-être !


il travaille cet été

il peut héberger tout étudiant privé (momentanément) de matelas

il a trois mois d'avance :

la rentrée n'est...qu'à la rentrée !

retour dans les étoiles
au milieu des lauriers roses
(nous sommes à Toulouse, qui porte bien son nom)