lundi 30 janvier 2017

YCM Toulouse et les Grecs

Je reviens à ma courte ballade à Toulouse, la Capitale : une Capitale se distingue par des particularités statistiques : comme beaucoup de monde se rassemble au même lieu, la statistique joue pour rendre possible l'apparition des nombres rares : des décorateurs, des boutiques spécialisées, des antiquaires apparaissent par exemple, alors qu'ils ne représentent qu'une très très faible proportion de la population.



C'est ainsi que je visite la rue Ninau pour saluer Florence Grimm et ramener du Gravelack, ce saumon extraordinaire au goût si subtil. Dans la même rue Via Chandernagor me vend son seul boutis d'Inde aux couleurs éclatantes glissé en bas d'une pile pourtant fournie. Et je passe rue Bouquière où je suis attiré, au travers de la vitrine, par ce buste grec, tout rapiécé, plus vrai que vrai !

Le C de Y.C.M c'est Christophe, passionné d'Art, qui vient de quitter Auch (histoire de statistique) pour s'installer à Toulouse, rechercher la clientèle internationale qui fabrique Airbus, et irrigue de là les appartements huppés de New York.






Les reproductions de Christophe sont fabriquées d'après des modèles originaux, de Stéphane Davoy qui ensuite moule ses modèles en résine imprégnée de poussière de marbre.


De loin, cela donne ça :







tout ce coin est grandiose, autour du Palais Niel :





la boutique de Florence est à deux pas à gauche


un palais entièrement réservé aux cabinets d'avocats


faites un tour de ma part rue Bouquières

allez saluer Christophe

il vous invente un salon grec

plus vrai que vrai !