... j’achète ?
Vous connaissez ma propension à
acheter (virtuellement bien entendu) des maisons extraordinaires ! En
voici une, qui me tente bien, la maison de Sainte-Thérèse de Lisieux, enfin pas
tout à fait…la maison où elle allait en vacances :
C’est Pierre Besse qui parle (ou plutôt qui écrit…enfin ce
sont ses collaborateurs…bref !)
« Au cœur du Pays d'Auge,
dans le Calvados. À 2 heures de Paris, 35 minutes du centre de Deauville et 5
minutes des portes de Lisieux, vieille cité dont le marché traditionnel du
samedi est très achalandé. À 25 minutes de Pont-l’évêque et 15 minutes de l'A13
pour Paris. À 10 minutes à peine de la gare de Lisieux qui dessert Paris
Saint-Lazare. Écoles, hôpitaux, médecins, vétérinaires, grandes et moyennes
surfaces se trouvent à proximité immédiate ».
« La maison se trouve dans
l'arrière-pays entre Pont-l’évêque et Lisieux. La route d'accès serpente au
milieu de la belle campagne augeronne connue pour ses vallons et son patrimoine
naturel préservé. Au détour de l'église d'un petit village formé de plusieurs
hameaux éparpillés, une voie descend puis remonte vers la maison qui pointe à
un carrefour. Que ce soit vers Lisieux ou vers la mer, toutes les rues
s'ouvrent sur un paysage apaisant fait de massifs forestiers et de bocages
accrochés sur les pentes douces des vallons. Quelques habitations se dressent face
à la maison, mais elles restent à l'écart. L'ensemble est entièrement clos
d'une haie de buis sur trois côtés du jardin et d'une façade aveugle en
colombage sur le dernier ».
« Placée en léger retrait de
la rue, la maison est de plan rectangulaire avec des façades à deux niveaux en
maçonnerie de plaquettes de pierre calcaire et briques de terre cuite. Le
soubassement est également en briques de terre cuite, la toiture en ardoise
naturelle. Ouvertures équipées de menuiseries en bois et vitrages en petit
bois. Un treillage soutient une glycine qui recouvre partiellement les façades ».
« La maison s’ouvre sur un
petit jardin légèrement pentu entouré d'une haie de buis. Au centre, un if
domine une roseraie dont le pied-mère adossé à la façade principale a vu la
petite Thèrèse courir autour de la maison ».
« Le jardin étant en très
léger dévers, l'entrée se fait par le séjour côté rue, ou via la cuisine côté
jardin par quelques marches. Ces deux pièces formant le rez-de-chaussée. La
salle de séjour, assez vaste, est éclairée d'une lumière traversante. En pignon
sud-est, des placards en boiseries vernies. En face, une cheminée marquée de
deux vis sans fin en bois massif est adossée à l'escalier en bois qui donne
accès aux chambres à l'étage. Dans la cuisine, un plan de travail partage la
pièce en deux et ménage un coin-repas face à la porte ouverte sur le séjour ».
« Le plancher en bois et la
poutre maîtresse sur fond de boiseries vernies et de murs peints s'harmonisent
en une décoration épurée et chaleureuse. Les sols sont en briques couchées ou
tomettes de terre cuite ».
« L'escalier aux marches de
bois patinées comme sa rampe mène à deux chambres, une pièce palière
transformée en chambre et une salle d'eau récente avec des toilettes séparés.
De larges penderies sont dissimulées dans les boiseries murales. D'origine tout
comme les sols, les cheminées ont conservé la patine de leur bois ciré. La
modernité des pièces d'eau est le seul signe qui rattache l'intérieur à notre
époque ».
Ce qu’en pense Pierre Besse herself ?
« Difficile d'oublier que
dans ce jardin retentirent les rires de la petite Thérèse Martin, qui fut
béatifiée et canonisée en 1925. Nous sommes après tout à deux pas de Lisieux et
de la basilique qui y fut édifiée en son honneur, site devenu le deuxième plus
grand lieu de pèlerinage de France. Pourtant, le souvenir de l'enfant
n'appesantit pas l'atmosphère intérieure de la maison, où les rayons de lumière
qui flirtent entre les volets impriment une ambiance profondément humaine et
chaleureuse. Divin rendez-vous de vacances, ilot de calme loin du tumulte
urbain, la maison voisine avec des propriétés où ont séjourné d'illustres
écrivains qui adoraient le paysage de cette combe, qu'on peut considérer comme
la plus belle, la plus mystérieuse et la plus poétique du Pays d’Auge ».
210 000 €
"Les prix indiqués
incluent nos honoraires de négociation"
je comprends que l'on peut s'entendre à 199.000 ?
Pierre fait un rabais au bon Dieu
Il ira (le moment venu)
droit au Paradis !