vendredi 20 février 2015

La route (2)

La route des Pyrénées...



Forcément, il faut des lacets. Un paysage de montagne, avec des cimes enneigées. Ca monte dur, ou ça descend, c'est selon, car au milieu, il y a le sommet d'un col. On y arrête le car. Le chauffeur tente de trouver un arbre pour délester sa vessie (il est rare qu'il y ait un arbre au sommet). Il faut donc trouver un restau, il arrive qu'il y en ait !


Le plaisir du car, c'est le "vivre ensemble", qui fait partager les émotions à plusieurs. Il y a toujours quelqu'un pour raconter des blagues. Il y a toujours quelqu'un (quelqu'une) qui a mal au coeur. Impossible de stopper dans les virages, il faut attendre le somment justement.







































A une époque où notre ami (c'est l'ami de chaque Français) Macron qui s'essaie au "vivre ensemble" après avoir accumulé un joli pactole chez Rotschild (ne soyons pas mauvaise langue), il a compris (lui) que le vivre ensemble s'exerçait en autocar.

Il a donc fait voter une Loi qui va nous amener à retrouver ce moyen de transport collectif et convivial.

Merci Emmanuel ( c'est un prénom qui nous est cher dans la famille) de ta sollicitude, qui va nous faire partager le bus pendant que tu t'ennuieras tout seul (avec ta meuf) dans ta (coûteuse) Maserati (coupé).

sa Maserati est (forcément) rose !




Je vous explique : "avec seulement 110 000 voyageurs en 2013, le transport par autocar représente 0,0005 % du marché des voyages longue distance, selon l'Autorité de la concurrence. Vous avez compris que c'est pinut's comme on dit, ou mieux épsilonesque. La loi Macron prévoit d'autoriser les exploitations des lignes de bus sur le territoire national. Plusieurs compagnies ont déjà déclaré n'attendre que la promulgation de la loi pour se lancer dans l'aventure. L'entreprise Transdev, filiale de Veolia et de la Caisse des dépôts, souhaite, par exemple, lancer de façon massive des lignes comme Paris-Lyon, Bordeaux-Lyon, Rennes-Strasbourg, via sa filiale Eurolines."

"Néanmoins, pour des lignes inter-régionales, c'est-à-dire des lignes qui ne passent pas par Paris, un test économique va être réalisé, précise-t-on au cabinet du ministère de l'Economie. L'objectif est de s'assurer que ces lignes d'autocar ne mettent pas en péril les TER. Les contours des futures régions seront pris en compte, ajoute le ministère. Ce test sera réalisé sous la houlette de l’Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (Arafer)", comme l'explique La Tribune.



j'ai retrouvé de jolis bus en Angleterre
qui ressemblent au mien !













































Peut-être ... Emmanuel (d'avance merci !) va relancer...


... la route des Pyrénées ? ?

là, on est typiquement dans la capitale de la future Septimanie (élargie)