Cette histoire fictive est inventée de toutes pièces of course !
Nous sommes à Saint-Servan, pays béni baignant dans la mer. Les villas se nomment Ker.Ys, ou Ker Solidor, car la Tour du même nom (qui abrite le musée des Cap-horniers) est tout proche. Derrière chaque fenêtre, une maquette de voilier, une bisquine. On respire un gros plein d’iode, et on en prend plein les yeux des couleurs changeantes du ciel.
Les bateaux reposent à marée basse sur leur nageoires pectorales, prêts à une promenade nautique quand la marée haute sera de retour. Travailler ici doit être un bonheur, (est un bonheur) car il suffit de regarder la mer pour se redonner le moral, au cas où les rigueurs du travail vous auraient donné du vague à l’âme.
Les bateaux reposent à marée basse sur leur nageoires pectorales, prêts à une promenade nautique quand la marée haute sera de retour. Travailler ici doit être un bonheur, (est un bonheur) car il suffit de regarder la mer pour se redonner le moral, au cas où les rigueurs du travail vous auraient donné du vague à l’âme.
Nous pénétrons dans l’Etablissement National des Invalides de
Je respecte évidemment les personnes chargées des services, qu’il ne faut pas déranger elles aussi tellement leurs tâches sont importantes. Il serait dommage notamment que ces personnes arrivant en voiture errent de parking en parking et perdent leur temps à promener leur véhicule. Cécile a donc sa place de parking. Réservée. A son nom perso. A elle, et personne d’autre. Touche-pas-ma-place ! Sa voiture regarde la mer, et respire le bon air iodé comme sa propriétaire. Craignant le risque qu’un invalide (indélicat) ne la lui pique, l’Administration a mis une pancarte sur la dite place de parking, permettant ainsi à Cécile de garer promptement sa voiture, et de rejoindre sans tarder son poste de travail. Ouf ! quelle compétitivité ainsi garantie ! (ouf : j’ai réussi à placer, comme je me l’étais imposé le mot compétitivité, très à la monde en ce moment).
Vous remarquez un truc : la petite voiture de Cécile, tellement petite qu’il reste une place immense, à tel point qu’on pourrait garer aisément une grosse Porche Cayenne sur l’emplacement disponible.
Il me vient une hypothèse (terrible) : Cécile a perdu tous ses points en brûlant les radars, et n’a plus de permis ! Elle part de chez elle trop tard pour arriver à l’heure ? Pas très honorable vu son rang dans l’Etablissement. On dirait même qu’elle a du se payer une voiture sans permis. Elle est toute neuve sa bagnole. Tout cela s’est passé récemment ? On souhaite à Cécile de suivre quelques cours de remise en forme, et de réapprendre le code de la route. Elle récupérera avec ses points retrouvés, le droit de remettre en place
In fine, tout ce Monde de la Mer
se retrouve à égalité
devant le code de la route !
je propose à Cécile de passer le permis mer, et de s'acheter ce bolide ! |