eight days without
computer
Est-ce un lapsus volontaire ou
non ? j’oublie le chargeur de l’ordi, c’est dire s’obliger à faire avec la
batterie huit jours. Il faut économiser au maximum. Impossible de surfer sur
internet. Pourquoi surfer dedans alors qu’il est si agréable de se balader
dehors ? Les touristes sont partis. Les prix sont dégringolés de moitié.
Il ne fait pas trop chaud l’après-midi, les matinées sont fraiches, et la mer…
à 24°.
On entre et on se met à l’eau,
pas besoin de s’accoutumer un quart d’heure avant, on entre et c’est tout !
C’est merveilleux. Ne rien faire est divin. Je me vautre dans la procrastination… !
Le plus simple est de faire comme
tout le monde : rester à la piscine. Certes, cela manque quand même d’aventure !
Un matin, la voiture s’oriente quasiment toute seule vers Tarragone, on va à
Creixell. Difficile de retrouver la plage. Personne. Les maisons sont fermées.
Les escargots engourdis. C’est parfait, c’est pile la saison pour profiter de
la mer, avec de petites vagues.
Octobre en mer,
sur la costa daurada