Le Tour de France emprunte de temps à autre cette petite route sinueuse et pentue : nous, nous redescendons, le rocher à droite, plus facile pour prendre les virages, sauf quand une voiture (que fait-elle ici ?) veut nous croiser ! Objectif, le petit village de Ferrère, nous sommes dans les Hautes-Pyrénées, et reprenons le chemin montant dans le sens contraire à celui que prenaient à pied les évadés.
un cycliste courageux |
l'Ourse quelque peu asséchée |
Marcel Latour raconte : -"il y a aussi le 11 novembre 1942, ne l'oublions pas " ! (2) derrière lui, la Rojinegra (1) |
la plaque sur le linteau : on en découvre des choses émouvantes, dans les petites Mairies ! |
apprécions la Paix conquise par nos Anciens du monde rural |
heure espagnole pour le repas de 14 heures... chez Flunch... à Gourdan ! |
PS : (1) avec nous, les amis-chanteurs (un peu anarchistes !) de la Rojinegra, perpétuent la mémoire de Francisco Ponzan (1911-1944) arrêté à Toulouse en avril 1943 par un policier Français, remis aux Allemands, le 17 août 1944, mitraillé et brûlé par la Gestapo à Buzet sur Tarn.
ça chante pas mal dans nos montagnes !
Francisco Ponzan c'était ton nom
Seul'ment Paco pour les compagnons
L'évasion des copains prisonniers
Devient ta mission : tant d'hommes à sauver !
Un jeune instituteur de 25 ans au moment du coup d'état de Franco de 1936, militant de la CNT (Confederation nacional del trabajo, anarcho-syndicaliste, fondée en 1910_1 million et demi d'adhérents.