Une fois encore, Stéphane Bern nous emmène dans ses secrets d'Histoire : cette fois, c'est à Vienne qu'il décrit la vie de Ludwig van Beethoven. Je me retrouve dans mon univers allemand d'autrefois, une émission grandiose où la musique s'ajoute aux images et aux palais de marbre. Jusqu'à une photo qui passe très vite : le tombeau du Maestro, dont une représentation me frappe évidemment, bien qu'elle ne dure qu'une demi-seconde.
voyez comme moi :
tout le monde va regarder l'inscription : Beethoven |
dessous, il y a le détail. Dessus, une lyre, désignant la musique |
Je devine votre désir de la contacter, comme je l'ai fait,
une Maude qui fréquente les cimetières n'est pas banale, non ?
voilà le haut de la pyramide :
un papillon;, plutôt ein Schmetterling
c'est Psyché, c'est l'âme de Beethoven
entourée d'un ouroboros
L’ouroboros est un dessin ou un objet représentant un
serpent ou un dragon qui se mord la queue. Il s'agit d'un mot grec ancien, οὐροϐόρος
/ ourobóros, formé à partir des deux mots οὐρά (queue) et βορός (vorace,
glouton), qui signifie littéralement « qui se mord la queue » ; il a été
latinisé sous la forme uroborus.
c'est le début et la fin de toutes choses.
C'est un symbole
d'espoir et de renouveau.
Ludwig revient ainsi parmi nous dans l'hymne européen
https://www.youtube.com/watch?v=8nGhHL6Dhok&ab_channel=marsaress
et tout le temps dans notre univers musical
merci Stéphane de m'avoir emmené à Vienne
(et de m'avoir fait rencontrer Maude ... un soir de clair de lune...)
https://www.youtube.com/watch?v=Bmwkx0tSvKc&ab_channel=SeigneurPoupoudou
la musique de Beethoven met de l'ordre ans nos peines
l'original doit être une piéride blanche, ici napi |