mardi 21 mai 2024

Des murs si ajustés ? (1)

Les archéologues ont une théorie de l'Histoire très simple : la civilisation a commencé avec la naissance de Jésus-Christ, a franchi quelques étapes décisives à partir du XIXème avec l'invention de la machine à vapeur, et puis a accéléré sa marche vers le monde d'aujourd'hui, avec la numérisation, et maintenant les ordinateurs quantiques. Entre-temps, le monde a tremblé avec la bombe atomique d'Hiroshima ... et la disparition progressive des rites entourant la mort humaine, puisqu'aujourd'hui, la majorité considère qu'il n'y a pas d'âme, et pas de vie éternelle après la mort physique : on  peut ainsi incinérer les corps, sans se préoccuper que l'âme (invisible) en soit bien sortie ! 

...  un point c'est tout ! 

et pourtant ... avant ... que de merveilles :

quelle différence entre la baignoire de Néron, et celle d'un Prince du pétrole en Arabie saoudite ?



des routes faites comme de nos jours






(si, à Poméi, les Romains vivaient comme nous, avec des latrines, de l'eau potable, du chauffage, des fast food, des navires à voile, des routes, mais aucun engin thermique, encore moins électrique, pas de télé ni de smartphone, rien quoi qui rende heureux, si ce n'est les jeux du cirque, qui permettaient de s'éclater grave en voyant des mecs éventrer des chrétiens (ennes) in live) !

comment se représenter l'énormité des temps passés ?









Avant l'an zéro, la naissance de Jésus-Christ, il y a eu des centaines de milliers et de millions d'années, où Homo sapiens était précédé de Néanderthal et autres bipèdes pensants. Au mieux, ils avaient découvert le feu. Ils avaient éradiqué le tigre à dent de sabre, et le mammouth. Mais les pauvres, aucune technologie, aucune domestication des animaux, sauf le chien et le cheval, sans oublier chameau et dromadaire. Quand-même, des bijoux, de l'or, l'âge du bronze ! Et puis, les Egyptiens avaient construit des chars extrêmement rapides qui leur donnaient l'avantage sur leurs rivaux. Mais aucun char auto-mobile ! 

Si, en architecture, il faut bien le reconnaitre, il existait les sept merveilles du monde. Si également, un certain Pythagore aurait inventé un laser à froid pour détruire les flottes ennemies, mais on n'en a jamais retrouvé un seul intact, donc le doute est légitime ! Et puis il y a des histoires romanesques d'Atlantes, mais là encore où sont-ils ? Donc, tout cela ce sont ...des fables, des légendes !  Concernant par exemple le maniement des pierres, rien, même si la tentative de reproduction des transports par bateaux n'a jamais pu être testée, le mystère de l'édification des pyramides reste entier.... On sait de source sûre que des géants ont existé :





même de nos jours une basketteuse géante domine son mec


l'essentiel se passe au ciel


Si ! On admet que nos anciens avaient des connaissances en cosmographie, et avaient (on ignore toujours comment) produit la machine d'Anticythère ! (2). Des piles électriques ? On en a retrouvé, mais jamais d'ampoule pour s'éclairer la nuit : voyons, ils utilisaient des torches imbibées de pétrole natif retrouvé dans des mares naturelles !




L'intelligence humaine, c'est nous, avant, c'était les ténèbres, d'ailleurs à Alexandrie, la bibilothèque... où sont les livres ? Certains retrouvés évoquent la matière composée d'électrons, certes, mais ça ne va pas plus loin, et puis les Archéologues n'ont aucune notion de quoi que ce soit relatif aux machines ; à l'énergie ; à l'hydraulique comme moyen d'actionner des moulins ; à l'énergie éolienne moyen d'actionner des moulins à vent, à pas grand chose concernant la taille des pierres, justement je vais vous montrer...





personne n'a jamais expliqué ces phénomènes
ni les images de Nasca, ni même les Pyramides




les Pyramides sont-elles de gigantesques antennes ?

c'est pour moi le moment de vous montrer ces murs, aux pierres ajustées







comment ont-ils fait ça ?



pour gérer l'eau, il n'y a pas mieux de nos jours :







de l'irrigation au bathtub de riche


le bassin est resté, l'eau a disparu ?

ils observaient le ciel !



ils adoraient le soleil



ils savaient lire les étoiles

ils avaient inventé des horloges


les archéologues adorent retrouver les notices d'emploi !

et ils enterraient leurs morts ...

... préparant ainsi leur vie éternelle ...






ils avaient découvert l'amour

(et le french kiss)


l'égalité homme-femme ?

ils avaient inventé les maternités


et le bikini


et leurs joailliers faisaient des merveilles




Daum n'a pas fait mieux ! 





ma jeunesse aura été ensoleillée par le Matin des Magiciens, 

dont le souvenir ne m'a jamais quitté :

je n'ai pas l'impression que rien n'ait changé après ce livre, publié en octobre 1960, il y a 64 ans !
 (1)

Grâce aux touristes partageant leurs photos de par le monde, j'ai pu réunir ces témoignages émouvants du passé. Très peu, trop peu d'explications des témoignages qui précèdent ! 

on a tant à découvrir sur 

qui étaient nos ancêtres ?




PS (1) : encore une fois Wikipedia me permet de reprendre le texte explicatif : ..."Le thème central de ce livre repose sur l'idée qu'une quantité de connaissances scientifiques et techniques, dont certaines proviennent de civilisations extraterrestres, ont été tenues secrètes pendant de grandes périodes de l'histoire, et que l'homme est appelé à devenir un surhomme. Pour les auteurs, le fantastique n'est pas « l’apparition de l’impossible » mais « une manifestation des lois naturelles » quand elles ne sont pas « filtrées par le voile du sommeil intellectuel, par les habitudes, les préjugés, les conformismes ».

Le contenu de l'ouvrage est très hétérogène, mélangeant des textes autobiographiques, des nouvelles de science-fiction, des théories scientifiques et des textes à « prétention historique et prospective »

Le soleil noir de l'Obergruppenführersaal (salle des généraux) dans la salle nord du château de Wewelsburg, sur commande d'Heinrich Himmler. Ce symbole nazi à connotation païenne est interprété dans l'ouvrage comme attestant une origine occulte du nazisme.

Le Matin des magiciens se compose de trois parties :

« Le futur antérieur », qui critique le « scientisme » du xixe siècle et évoque l'idée d'une « société internationale et secrète, groupant des hommes intellectuellement très avancés », société qui se formerait d'elle-même, et aborde le thème des civilisations disparues et de l'alchimie.

« Quelques années dans l’ailleurs absolu », qui s'attache à démontrer les origines occultes du nazisme et la contribution de l'ésotérisme à des théories scientifiques, dans le but de donner un exemple d'application des méthodes du réalisme fantastique. Il évoque longuement la cosmogonie glaciaire de Hans Hörbiger et les théories de la Terre creuse.

« L’homme, cet infini », consacrée aux capacités mentales de l'homme, à la parapsychologie, à la télépathie, à « l’esprit magique » et aux « mutants ».

Le livre contient une version raccourcie d'Un cantique pour Leibowitz de Walter M. Miller, récit post-apocalyptique nucléaire, l'extrait d'une nouvelle d'Arthur Machen et la retranscription d'une conférence de René Alleau, ingénieur français ayant publié des ouvrages traitant des sciences occultes et de l'alchimie.

Si le contenu de l'ouvrage est très hétérogène de par les textes rassemblés et sa structure même, le sociologue Damien Karbovnik estime que l'argumentation des auteurs sert «une finalité bien précise », avec notamment la préface qui « constitue le nœud théorique du livre ». Selon Louis Pauwels et Jacques Bergier, la réalité du monde est partagée entre une dimension visible et une dimension invisible, dont il est possible de comprendre l'intrication grâce à l'imagination, « entendue dans le sens d'une intuition aiguë guidée par les coïncidences entre science et ésotérisme ».


(à suivre ! )