Toujours mon fil d'Ariane : une page facebook adressée comme par hasard, le site bien connu La Conchiglia di Venere, et je tombe sur une artiste le même âge que Jo Biden et moi : des octogénaires en pleine créativité : Francine Van Hove, la peintre des jeunes filles encore innocentes !
Francine Van Hove est une peintre contemporaine française
née le 5 mai 1942 à Saint-Mandé. Voilà la fameuse année 1942 ! Elle a fait
ses études secondaires et supérieures (professorat de dessin et arts plastiques
pour les lycées et collèges) à Paris. Après avoir enseigné un an au lycée de
jeunes filles de Strasbourg, elle a démissionné de l'Éducation nationale en
1964 pour revenir à Paris et s'y consacrer à la peinture.
une démission de l'Education nationale dès 1964 ! ça alors, elle doit avoir du tempérament ?
Elle est connue pour ses sujets exclusivement féminins et
les attitudes rêveuses de ses personnages. Sa technique graphique et picturale
classique est proche de celle des Renaissants Italiens et des Flamands des XVIe
et XVIIe siècles. Outre de nombreux dessins et pastels, son œuvre compte
actuellement plus de 400 tableaux dispersés dans des collections privées.
j'en ai trouvé (par miracle) beaucoup, mais pas tant que cela finalement. Une fois, Google (qui me surveille) m'a interdit d'en copier-coller un, qui était intitulé "le nez dans l'oreiller" !
J'essaie de le remettre, interdit !
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ce n'était pas celui-là |
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c'était celui-là, il vient de passer par miracle, peint en 1992 |
En 2014, Alain Blondel, son marchand historique, prend sa
retraite après avoir soutenu son travail pendant 32 ans. Depuis, Francine Van
Hove est représentée par Jean-Marie Oger, ancien collaborateur d' Alain
Blondel à la Galerie du même nom. Selon la critique d'art Aude de Kerros, Van
Hove est l'un des principaux représentants du courant « moderne classique ».
Ouf, voici que la biographie de Francine me donne un point de repère, la Galerie Blondel ! Je cherche, et trouve : Galerie Blondel, 50, rue du Temple 75004 Paris. S'il n'y avait pas les Jeux Olympiques, je saute dans un avion, et y vais de suite !
Téléphone : 01 42 78 66 67
Email : galerie.blondel@orange.fr
Site Web : http://www.galerieblondel.com
Ouverture
Du mardi au vendredi, de 11<sp>h à 19<sp>h, le samedi, de 14<sp>h à 19<sp>h.
et je trouve la vio d'Alain, décidément un Grand Homme !
Alain Blondel, né en 1939, est un galeriste et marchand d'art français spécialisé dans l'Art déco puis l’art contemporain.
Il commence en 1959 des études d'architecture à l'École des beaux-arts de Paris qui l'amènent à découvrir l'œuvre oubliée de l'architecte de l'Art nouveau parisien Hector Guimard. En 1964, il co-réalise un film de court-métrage sur cet architecte, Hectorologie, qui obtient, l'année suivante, le Lion d'or de la Mostra de Venise dans la catégorie des documentaires sur l'art.
En 1967, avec sa sœur Françoise, son ami Yves Plantin qui épousera celle-ci, et sa future femme Michèle Rocaglia, il ouvre rue des Quatre-Vents à Paris une galerie spécialisée dans les tableaux, tapis d'artistes et meubles de la période 1900-1925. En 1968, la galerie déménage rue de Tournon dans un local partagé avec Alain Lesieutre, prend le nom de "galerie du Luxembourg" en raison de sa proximité avec le Sénat, puis s'installe en 1970 ou 1971 au 986, rue Saint-Denis, dans une ancienne murisserie de bananes. Continuant d'explorer les courants artistiques, à l'époque méprisés, de l'art nouveau et de l'Art déco, il prend contact avec les meilleurs représentants survivants de ces mouvements. La galerie produit de nombreuses rétrospectives de peintres et de décorateurs des années 1920 et 1930 qui constitueront autant de découvertes : Tamara de Lempicka en 1972, Burne-Jones et l'influence des Préraphaélites en 1972, Bernard Boutet de Monvel, le sculpteur Rupert Carabin en 1974, le laqueur Jean Dunand en 1975, les peintres néo-classiques des années 1930, en 1976. Certaines de ces œuvres ont enrichi de prestigieuses collections, comme celles du musée d’Orsay et du Metropolitan Museum of Art à New York. En 1970, il participe à l'élaboration de la première rétrospective Guimard au Musée d'art moderne de New York, qui sera ensuite reprise au Musée des arts décoratifs de Paris.
A Côté des rétrospectives de peintres oubliés, la galerie du Luxembourg s’ouvre à la création contemporaine en montrant de jeunes artistes comme Christian Babou, Antony Donaldson, Jürg Kreienbühl, Christian Renonciat, Guy de Rougemont…
Galerie Alain Blondel
Après la disparition de la galerie du Luxembourg en 1978, il ouvre avec sa femme Michèle une galerie sous son nom au 4, rue Aubry le Boucher, près du Centre Georges Pompidou. La galerie Alain Blondel continue à organiser d’importantes rétrospectives (Jean Dupas en 1980, Pierre Marcel-Béronneau en 1981, Mayo en 1985, Hector Guimard en 1992 et Federico Beltrán Masses en 2012) mais se spécialise dans la promotion d’un art contemporain figuratif. À partir des années 1980, la galerie commence une collaboration durable avec ses artistes qu’elle soutient en participant à de nombreuses foires d’art contemporain et en publiant des catalogues d’exposition.
En 1999, Alain Blondel publie le catalogue raisonné de l’œuvre de Tamara de Lempicka (éditions Acatos, Lausanne). Depuis cette date, il a apporté son aide à la réalisation de plusieurs rétrospectives de cette artiste (Royal Academy of Arts à Londres en 2004, Palazzo Reale à Milan en 2006, Museo de Bellas Artes à Mexico en 2009, Bunkamura Museum of Art à Tokyo en 2010...).
En 2004, la galerie Alain Blondel quitte sa galerie près du centre Pompidou pour s’installer dans le quartier du marais. En fin d’année 2014 avant de prendre leur retraite, Alain et Michèle Blondel organisent leur dernière exposition, Jürg Kreienbühl - Le Muséum d'histoire naturelle, un des premiers peintres contemporains qu’ils ont soutenu dès les années 1970.
à la fin nous y voilà...
Jean-Marie Oger – son ancien collaborateur pendant une dizaine d’années - continue de représenter certains artistes de la galerie depuis 2015.
je ne vous cite pas les artistes en question, mais il y a bien : Francine Van Hove
Ah oui, Alain est Chevalier des Arts et Lettres (1996)
je fouille toujours
ou bien je trouve un détective
ou il faut que je me rende à Paris ASAP !
(la suite, demain !)