J’essaie les DJI Googles !

 

Si je veux vraiment m’engager dans l’Armée et piloter des drones, je dois aller jusqu’au bout : devenir un oiseau, voir en l’air, voir ce que voit la caméra ! Notre époque connectée n’a d’intérêt pour les séniors (et les jeunes) que s’ils font l’effort nécessaire pour apprivoiser tous ces gadgets numériques que leur propose la publicité. Pourtant, il faut un effort réel d’auto-formation si l’on veut utiliser ces outils, parler leur Anglais, et peu à peu s’adapter à eux : j’ai commencé avec mon nouveau drone, dois continuer sans me décourager, écouter et réécouter les tuto abondants sur internet, et mieux encore, faire les bons choix, parmi la masse des pubs ! .

On peut depuis le sol s’immerger dans ce que voit la caméra du drone : il suffit de poser sur ses propres lunettes des DJI Googles : voilà ce que j'imaginais !

J’étais connected, j’espérais être advanced,

je suis disappointed !

Mon problème est que je tente de m’acheter des appareils d’occasion, moins chers évidemment que les neufs. Or depuis que les Chinois sont les seuls dans la gamme que j’utilise, ils montent les prix comme je vous le disais hier. Je trouve sur le BonCoin des lunettes pour 240€, moitié prix, des Google Racing Edition, elles sont parait-il « quasi neuves ayant peu servi » (les acquéreurs de ces appareils vivant en ville n’ont pas le droit de s’en servir, et revendent leur achat assez vite, constatant qu’il traine dans une armoire), et je les achète ! Livraison : samedi de Pâques ! Je déballe, constate que le pavé numérique ne répond pas, et remballe, la formule à donner au Bon Coin pour être remboursé étant : « j’ai un problème ». Je m’aperçois que ces lunettes ajoutent un Kilogramme à ma (petite) tête, qu’elles forcent sur mes cervicales abîmées, et qu’elles ne me vont pas. Je découvre l’existence de la version moderne Google V2 (la version 2 est toujours mieux que la Version.0), elles valent 700€ neuves, mais j’en trouve à 400€ : le poids passe à 290g, mes cervicales vont apprécier, et les performances sont évidemment supérieures !

C’est le dimanche de Pâques, je prie pour le Saint Père qui va nous bénir ce midi

Urbi et Orbi 

Mardi 2 avril, je renvoie les lunettes qui ne fonctionnent pas

semaine prochaine je reçois les bonnes V2

Je vais être connected

Advanced

Je verrai en l’air comme un oiseau

j'ai trouvé le nom (prononcer en Anglais) :Aigle ! 

 

PS : https://www.youtube.com/watch?v=1pMUS3GBSxM

voici un tuto, évidemment on se fait embarquer par la Blonde... sympa mais pas connected !

La Rolls des drones DJI !

il est connected !

je suis du coup connected aussi ! 

IL m'engage à "Go Fly" !

IL ne parle qu'anglais ! il ne va pas s'embêter avec les langues locales, sachant que nos petits-enfants font désormais leurs études en Anglais, partent en Inde parler Anglais, et bientôt au Japon où là aussi ils parleront Anglais. Moi avec ma première langue Allemand, je suis bien embêté, j'ai fait Anglais seconde langue, mais manque de vocabulaire. J'ai quand même appris trois ans la langue que parle Poutine, (sauf les gros mots) ça n'était pas si bête vu le contexte ! Maintenant, IL est là pour me re-connecter, il m'inflige un vocabulaire technique pas possible, mais j'ai vite compris qu'il fallait tout allumer, se mettre proche de la box raccordée à la fibre, charger la dernière version de DJO GO4 (on rentre dans le vocabulaire chinois puisque DJI est la célèbre marque de drones Chinois) !  et tout mettre à jour pour satisfaire l'Intelligence artificielle ! Oui le bougre est bel et bien intelligent ; il sait la présence des satellites ; il sait vérifier les batteries ; il sait (tout seul) montrer où il est sur la carte ; il sait return go home, c'est à dire revenir à son point de départ en cas d'incident. 

Une attirance intellectuelle  (très) forte s'est immédiatement installée entre nous !

ça ressemble à une liaison 

(comme avec ma voiture et mon ordi)

il faut entrer le Device !

Je viens de charger le last Firmware, IL est content comme s'il sortait d'un bon repas, et il ne rechigne plus par ses éclairs de lumière rouge, ni par ses sons stridents et déstabilisants, à ne pas m'obéir.

Je vole... vous allez dire comme avant, sauf qu'IL est la dernière version tellement devenue rare que même Amazon avoue n'en avoir plus à vendre ! Le must du genre était la version Phantom 4 V2, introuvable, au prix dépassant les 2500€. J'ai trouvé dans le 74 (il s'appelle David R. et est Réalisateur) la version presque identique : Phantom 4pro V2, on le reconnait au fait que l'écran est (enfin) incorporé à l'émetteur. Le drone reste gros (1,28Kg) donc plus apte à rester insensible au vent, (contrairement aux derniers modèles qui équipent la police et se replient). IL dispose de radars sur 5 côtés (forcément rien pour l'empêcher d'aller au ciel) et la caméra est top 4K. Il vous suit en marchant, il a plein de compétences que je vais devoir découvrir (en Anglais) ! Quand je pense que j'ai découvert les fauteuils massants de ma Citroên seulement trois ans après l'avoir achetée, je risque de ne jamais utiliser toutes les astuces dont IL dispose ! .

.. Il faut que je LUI trouve un nom ! 

C'était hier... Noël. Il est arrivé dans la voiture jaune de La Poste superbement emballé. Dans un sac conçu pour, avec des poches, une fermeture de luxe protégée par un scratch... une Rolls du drone !

J'ai actualisé mon permis de conduire les drones, passé l'examen médical conseillé aux séniors pour ne pas causer d'accident lié à mon âge (et mes réflexes vieillissants), et soigneusement rangé les papiers fournis par la DGAC, susceptibles de m'être demandés par les forces de l'ordre protégeant notre territoire des extrêmistes radicaux, vu l'ambiance en Vigilance 3/3...!

voici l'appareil que vend d'occasion (comme neuf) Rakuten : 

Il n'a pas de sac adapté comme le mien...

faites attention aux prix : de nos jours, le même objet peut valoir de 1 à 3

le mien ne m'a coûté que la moitié puisqu'il était d'occasion ("peu volé")  !

Au cas où Poutine nous attaquerait, je puis toujours m'engager dans l'Armée comme

"pilote-sénior-de-drone-diplômé"

au sol obervation  attentive de la biodiversité

malgré leur grand âge, mes tuiles inspectées et réparées par Anthony sont intactes prêtes à tout aléa climatique

je vends sur le BonCoin mon drone précédent (bien entendu déclaré)

dans sa valise, parfaitement réglé, avec un porte-tablette Coréen en prime

une affaire !

Pharmaphone répare mon ordi

à vrai dire, j'avais mis de côté cet article de la Petite République (du Comminges)

Je m'étais dit (dans mon for intérieur) qu'un jour ou l'autre, j'aurai des ennuis, comme ma batterie pourtant déjà changée qui retomberait en panne, selon les principes de l'obsolescence programmée ! 

elle tombe en panne

alors je vais voir Pharmaphone

j'y vais à pied de toute façon, la Municipalité refait toutes les rues, on ne peut se garer nulle part

Dylan est plus que sympa : malgré l'étiquette déchirée par le premier réparateur, il trouve l'identification de mon ordi, cachée pour empêcher les propriétaires d'autoréparer une batterie tellement cachée qu'il faut démonter une vingtaine de vis (elles-mêmes cachées par les deux cordons de caoutchouc qui protègent le dessous) pour accéder à l'intérieur. Il a fallu entre-temps commander une batterie neuve, et attendre que la Poste la livre, jamais avant quatorze heures. 

Il manque la photo de l'ouverture, triste spectacle, le premier réparateur n'a pas pris attention aux vis des extrêmités, plus courtes que celles du centre : il a vissé les grandes vis aux quatre bouts, cassant ainsi une partie visible du tableau en bas des touches... tout en épargnant le disque dur ... que Dieu le pardonne !

voilà la vieille batterie, j'ignore la couleur de la poubelle de Dylan !

Je repars à 15 heures, l'heure promise, le jour même de la livraison postale ! 

si vous aussi voulez rester connecté

et cherchez un réparateur efficace, rapide et souriant

allez rencontrer Pharma (astuce avec Pharmacie) Phone (astuce avec téléphone) !

tél = 07 68 75 63 60

merci Dylan, la preuve que mon ordi

fonctionne à nouveau !

Mariposa del ano 2024 en Espana

tous les ans, nos voisins espagnols sollicitent les intérssés, pour voter pour le papillon de l'année !

une manière amusante d'évoquer la biodiversité

surtout pour eux qui disposent d'îles célèbres pour les touristes ...

... abritant des espèces rares, puisqu'elles ont évolué différemment que sur le continent : 

toujours Darwin ! 

On ne va pas s'extasier, du coup, sur la femelle du petit paon de nuit, qui vient d'éclore chez nous, ni sur le vulcain, dont la chenille vit sur les orties laissées intactes par les débrousailleurs du bord des routes. 

je repère une feuille refermée par du fil, la chenille de vulcain est cachée dedans

la voilà toute confuse

Par contre, je ne connais pas les deux de droite !

Laberento africano, sent son origine... africaine... (du nord ?)  !

pour nous c'est l'azuré du jujubier

une sublime photo de Luque Francisco-Rodriguez, qui confirme que l'envers est bien mieux que l'endroit

... quoique... vous avez vu les caudales des postérieures ?

Nous on l'appelle Tarucus theophrastus sachant que le jujubier, autrement dit Zizyphus jujuba (aucune plaisanterie sur le début du nom) est un joli arbre tortueux à cultiver de préférence dans les régions méditerranéennes. Il a un port arrondi et une forme pleureur. Sa croissance est lente. Il possède un tronc à écorce brune et rose très décorative.

voilà nos amoureux en train de perpétuer l'espèce

et comptant sur votre discrétion, je vous donne l'adresse :

du continent, nous passons aux Canaries avec Pararge xiphioides

vous allez voir, nous sommes dans le raffinement :

dans mon jardin habitent des Tircis, Pararge aegeria

mon Tircis, est bien banal

leur Tircis à eux Canariens, le voilà,

c'est le Tircis canarien

il est ... plus "contrasté"

il est "différent" tout en étant pareil

typique de la bio-"diversité" :

la richesse dans la Nature, c'est la diversité !

Je serais Espagnol, je voterais pour lui !

ça sera plus difficile de savoir

pour qui on votera en juin :

je viens d'entendre ce matin Jean-Michel Edouard Leclerc, qui avoue "réfléchir en se rasant le matin"

ce type me plait : j'attends de savoir s'il entre en Politique !

PS : neuf ans après, j'ai encore dans la bouche le goût des huitres de l'inauguration : https://babone5go2.blogspot.com/2015/06/leclerc-tomorow.html

Julien Ollivier à la SEC !

la présomption d'innocence oblige à dire "présumé"
rien ne permet de prouver que ce captage soit ... romain !

Grande nouvelle ! Un sujet historique, certes, mais un sujet technique aussi : les Romains disposaient d'un système d'adduction d'eau comparable aux nôtres depuis ici 2090 ans, créé vraisemblablement en -50 ! Cette ville que nous appelons Le Lyon des Convènes, Lugdunum convenarum aujourd'hui Saint-Bertrand de Comminges, est une maquette de cet équipement bénéficiant à toutes les villes et villas romaines : une source ; un réseau de canaux "écoulemnt à surface libre" ; une citerne ; un réseau enterré "sous pression" (les lois d'écoulement ne sont pas les mêmes); des robinets jusqu'à la salle d'eau, ou les toilettes collectives justement créées par Vespasien (9-79), qui avait eu l'idée, non de créer des urinoirs publics à Rome, mais d'établir un impôt sur la collecte d'urine, engrais reconnu aujourd'hui par les écologistes comme bon pour la planète !

La conférence de Julien rend officielle la cause jusque là défendue par les seuls amateurs :

merci Julien !

l'histoire de la technologie fait partie de l'Histoire !

voici d'ailleurs ce qu'annonce la Société d'Etudes du Comminges

"Entre 2022 et 2023, une fouille archéologique menée au lieu-dit Courne de la Bielle à Tibiran-Jaunac (Hautes-Pyrénées) a permis de réaliser de nouvelles observations sur le point de départ supposé de l’aqueduc de Lugdunum. (vous voyez ; le point de départ reste "présumé" !) Depuis l’époque moderne au moins, un puits situé à cet emplacement est en effet considéré comme un ouvrage destiné à capter les eaux qui alimentaient la capitale de la cité des Convènes, située à un peu plus de 2 km à l’est. Bien que des matériaux d’origine antique aient effectivement été employés dans les constructions, les dernières recherches archéologiques ont montré que le puits et les canaux qui lui sont associés en surface étaient bien plus récents et probablement liés à un moulin situé en contrebas". 

fin de citation ! 

Nous modestes amateurs, nous sommes persuadés, ayant retrouvé tout le canal à l'aval du "puits artésien présumé" (ce serait plutôt un siphon), canal qui aboutit à moyenne altitude à Saint-Bertrand, que sous la route git la citerne, alimentant le théâtre et ses vespasiennes, puis les Thermes et leurs toilettes. Que le "poudac" de Tibiran, est bien le puits initialement romain. (oui la citerne n'a pas été retrouvée, car il n'est pas question de faire un trou sous la route). Qu'il était à l'air libre à l'époque, comme le montrent les photos du sondage électrique. 

au sud-ouest de l'ouvrage, la trace des canalisations souterraines en marbre placées dans une ancienne vallée, colorée en vert, ultérieurement remblayée. La roche-mère est en bleu
la veine d'origine aurait pu être figurée presque Sud-Nord, elle remonte jusqu'à la maison Fuzeré explorée par Norbert Casteret, puis repart par un Y au sud pour aboutir à la fontaine dont l'écoulement actuel reste permanent 

...puis remblayé comme le montrent les enrochements arrangés au pied des talus, comme on le fait encore pour les barrages en terre. Qu'il a été relié à la veine liquide du karst local par 2 "sarcophages" en U posés bout à bout + une "crépine" remplie de déblais de marbre romains. Le puits placé là pour rejoindre après un virage la ligne droite jusqu'à Lugdunum, à la cote utile pour que l'eau coule au Sud ensuite. Un sacré travail de conception, une réalisation peu soignée. Le tout totalement remanié par le meunier pour faire fonctionner un double système de meules, il lui fallait un max d'eau vive pour faire tourner l'usine !.l'actionnaire avait besoin de "thunes" pour faire rentrer la monnaie ! Que dis-je, c'est 7 moulins recencés depuis 1600 dont le conférencier nous cite l'existence ! ! 

sortie du 17 mars 2024

Jean-Luc Laplagne le Président de l'Association Patrimoine et Environnement Pyrénéen a même retrouvé à l'aval du Gouffre de Générest les vannes posées par le dit moulinier (très proactif à l'époque) pour forcer l'eau sortant de Générest à entrer dans la veine souterraine, renforçant ainsi le débit destiné à alimenter son moulin. 

photo : Didier Libralesso de la vanne de M Gautier Tristan
quand le bief se vide, apparait le vortex signalant la fuite dans la veine souterraine

Par contre, nous n'avons pas encore trouvé la vanne souterraine (sans doute rouillée ou détruite) qui fermait la sortie actuelle du lavoir, pour faire "regonfler" l'eau dans l'Y amont, et la forcer à sortir en permanence hors du puits-supposé. Il coule après les orages ! A ce moment, l'eau sort du puits (heureusement que personne ne se ballade dans les sarcophages) et part où elle peut, pendant que la fontaine continue de couler. Elle serait fermée, le puits fonctionnerait en permanence ! 

Il reste supposé romain, 

mais c'est bel et bien un puits (c'est en réalité un siphon)" presque artésien" ! 

l'eau rejoint immédiatement l'aval puisque le canal ("supposé" ?) est comblé de terre !

la coupe du canal

roche mère à gauche, le mur aval à droite

à l'aval du puits, le canal bouché, avant la seconde mission 2023

mais j'ai commencé trop vite !

Yoan Rumeau présente les co-organisatrices : Archives départementales et nouvelle Conservatrice du musée de St Bertrand de Comminges

photo Jean-Luc Laplagne, dont le siège vide en bas signale la présence
l'assistance est majoritairement composée des habitants de Tibiran-Jaunac,
 je dois dire "sidérés" de voir leur poudac "supposé" romain ! 

Les faits, rien que les faits, du travail solide et très documenté. Relevés topo; exploration électrique. Survol du drone du Syndicat de communes local. Julien Ollivier a même retrouvé la trace des propriétaires des moulins depuis 1525, dénombrés par Philippe-Antoine de Monléon (ne pas confondre avec Mauléon,  le nom du créateur des stalles de la Cathédrale, pourtant évoqué par le conférencier !). Qu'ils s'installent tous sur ce modeste ruisseau confirme bien la puissance de l'eau disponible au cours des siècles !

maintenant, on est à peu près certain que les meuniers ont réutilisé le puits dont seul reste d'origine les éléments de merbre souterrains, ont du effacer les traces superficielles antiques, pour s'approprier le maximum du débit possible.?

La classe ! notre "poudac" comparé aux ouvrages similaires :

le Président de la SEC pose la question finale : y a-t-il une perspective de suite ?

"-Le travail de la DRAC est pour sa part terminé, compte-rendu à venir dans la prochaine revue du Comminges. Quant à aménager l'ouvrage, il est probable que la Commune de Tibiran-Jaunac déjà propriétaire de la partie aval du site a fait un échange avec le propriétaire du puits pour acquérir ainsi l'ensemble. C'est à elle de décider si elle lance un réaménagement... reprenant ce qu'avaient réussi  les meuniers" ?

merci au conférencier d'un exposé des faits très précis et passionnant !

et puis... la suite appartient aux Autorités locales...!

 PS (1) : https://babone5go2.blogspot.com/2021/03/printemps-tibiran.html

              les observations sur place dès 2011 :

               https://babone5go2.blogspot.com/2022/02/lidar-devoile-lugdunum-convenarum.html

PS (2) :  

Je n'ai pas cité l'entièreté de l'annonce de la SEC : voici la fin  :

"Julien Ollivier est archéologue à la Direction régionale des affaires culturelles Occitanie, service régional de l’archéologie, UMR 5608 TRACES. 

"Conférence organisée en partenariat avec les Archives départementales de la Haute-Garonne (Antenne de Saint-Gaudens) et le Musée archéologique départemental de Saint-Bertrand-de-Comminges.

PS (3) : bientôt l'été ! Les recherches ne sont pas terminées ... va-t-on la trouver ? (la vanne) ...

... et d'un canal romain...

re-voici ma photo aérienne du 8 septembre 2022 :

Le puits est bien raccordé à son canal dont la rive gauche est bien visible, la droite étant la roche-mère elle-même. A l'aval, quatre pierres forment un passage-piéton pour manoeuvrer les vannes obligeant l'eau à prendre le déversoir, réalimentant ainsi le ruisseau alimentant le moulin. A l'origine, c'était sans doute un déversoir, stoppé par les vannes disparues quand l'eau était envoyée vers Lugdunum.

09/09/2022

Julien Ollivier, Ingénieur, met la main à la pâte,
il fait et puis il dit !

à défaut d'avoir retrouvé une Vénus locale,  voici "Rebecca au puits" d'Emmanuel Villanis
dont j'ai fait l'égérie locale, indispensable à la beauté des lieux !