![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZD-kcgN6tpO02dcdMRKn3tmjeEa6eP0eKtco6f4j_9gSRLmPjXRdPfEryBnxawRWJmp1y85azOe6YUN3RjrjdwjrJCztQTns5ZSpuwOzX0nkXiMv0TWc8gTbvDfbU3GU8yCGCSHn_Qls/s400/800px-Curtis%2527s_Botanical_Magazine%252C_Plate_4289_%2528Volume_73%252C_1847%2529.png)
C’est une convolvulacée, ce dont
j’imagine vous vous moquez éperdument ! Elle s’enroule sur tous les
supports qui se trouvent à sa portée, je vous dis : les palmiers
disparaissent sous ses feuilles, et elle n’hésite pas à une escalade de trois mètres de
haut. Quant aux fleurs, elles ont la forme d’énormes trompettes, énormes
et bleues, une couleur que l’appareil photo même à l’ombre arrive à peine à
fixer.
Voici mon coin
(secret)