jeudi 12 janvier 2017

La maison de Sainte-Thérèse…

…pour 210.000 Euros !

... j’achète ?

Vous connaissez ma propension à acheter (virtuellement bien entendu) des maisons extraordinaires ! En voici une, qui me tente bien, la maison de Sainte-Thérèse de Lisieux, enfin pas tout à fait…la maison où elle allait en vacances :

C’est Pierre Besse qui parle (ou plutôt qui écrit…enfin ce sont ses collaborateurs…bref !)

« Au cœur du Pays d'Auge, dans le Calvados. À 2 heures de Paris, 35 minutes du centre de Deauville et 5 minutes des portes de Lisieux, vieille cité dont le marché traditionnel du samedi est très achalandé. À 25 minutes de Pont-l’évêque et 15 minutes de l'A13 pour Paris. À 10 minutes à peine de la gare de Lisieux qui dessert Paris Saint-Lazare. Écoles, hôpitaux, médecins, vétérinaires, grandes et moyennes surfaces se trouvent à proximité immédiate ».


 « La maison se trouve dans l'arrière-pays entre Pont-l’évêque et Lisieux. La route d'accès serpente au milieu de la belle campagne augeronne connue pour ses vallons et son patrimoine naturel préservé. Au détour de l'église d'un petit village formé de plusieurs hameaux éparpillés, une voie descend puis remonte vers la maison qui pointe à un carrefour. Que ce soit vers Lisieux ou vers la mer, toutes les rues s'ouvrent sur un paysage apaisant fait de massifs forestiers et de bocages accrochés sur les pentes douces des vallons. Quelques habitations se dressent face à la maison, mais elles restent à l'écart. L'ensemble est entièrement clos d'une haie de buis sur trois côtés du jardin et d'une façade aveugle en colombage sur le dernier ».

« Placée en léger retrait de la rue, la maison est de plan rectangulaire avec des façades à deux niveaux en maçonnerie de plaquettes de pierre calcaire et briques de terre cuite. Le soubassement est également en briques de terre cuite, la toiture en ardoise naturelle. Ouvertures équipées de menuiseries en bois et vitrages en petit bois. Un treillage soutient une glycine qui recouvre partiellement les façades ».

« La maison s’ouvre sur un petit jardin légèrement pentu entouré d'une haie de buis. Au centre, un if domine une roseraie dont le pied-mère adossé à la façade principale a vu la petite Thèrèse courir autour de la maison ».


« Le jardin étant en très léger dévers, l'entrée se fait par le séjour côté rue, ou via la cuisine côté jardin par quelques marches. Ces deux pièces formant le rez-de-chaussée. La salle de séjour, assez vaste, est éclairée d'une lumière traversante. En pignon sud-est, des placards en boiseries vernies. En face, une cheminée marquée de deux vis sans fin en bois massif est adossée à l'escalier en bois qui donne accès aux chambres à l'étage. Dans la cuisine, un plan de travail partage la pièce en deux et ménage un coin-repas face à la porte ouverte sur le séjour ».


« Le plancher en bois et la poutre maîtresse sur fond de boiseries vernies et de murs peints s'harmonisent en une décoration épurée et chaleureuse. Les sols sont en briques couchées ou tomettes de terre cuite ».

















« L'escalier aux marches de bois patinées comme sa rampe mène à deux chambres, une pièce palière transformée en chambre et une salle d'eau récente avec des toilettes séparés. De larges penderies sont dissimulées dans les boiseries murales. D'origine tout comme les sols, les cheminées ont conservé la patine de leur bois ciré. La modernité des pièces d'eau est le seul signe qui rattache l'intérieur à notre époque ».



Ce qu’en pense Pierre Besse herself ?

« Difficile d'oublier que dans ce jardin retentirent les rires de la petite Thérèse Martin, qui fut béatifiée et canonisée en 1925. Nous sommes après tout à deux pas de Lisieux et de la basilique qui y fut édifiée en son honneur, site devenu le deuxième plus grand lieu de pèlerinage de France. Pourtant, le souvenir de l'enfant n'appesantit pas l'atmosphère intérieure de la maison, où les rayons de lumière qui flirtent entre les volets impriment une ambiance profondément humaine et chaleureuse. Divin rendez-vous de vacances, ilot de calme loin du tumulte urbain, la maison voisine avec des propriétés où ont séjourné d'illustres écrivains qui adoraient le paysage de cette combe, qu'on peut considérer comme la plus belle, la plus mystérieuse et la plus poétique du Pays d’Auge ».

210 000 €
"Les prix indiqués incluent nos honoraires de négociation"

je comprends que l'on peut s'entendre à 199.000 ?

Pierre fait un rabais au bon Dieu


Il ira (le moment venu) 

droit au Paradis !