Reconnaissez que j'ai raison : la France s'appauvrit, et les Français n'ont plus les moyens de se payer une voiture neuve ! Si elle est électrique, elle coûte un bras, sauf si vous achetez une Chinoise, avec la culpabilité terrible de ne plus acheter ni Français, ni même Européen ! Si vous achetez une thermique, vous savez être un jour excommunié par les Ecologistes, qui ont décidé à Bruxelles de casser l'industrie européenne dont allemande en mettant un terme à leur production dans dix ans, les contraignant à la faillite, ainsi qu'au chômage des salariés. Gravissime, cette décision dogmatique, ignorant totlament les conséquences sur l'emploi ! Nous, nous avons perdu Citroën, la vraie DS, et de nos jours, nous rêvons des voitures d'autrefois sans puces chinoises, sans électronique, qui roulaient aussi bien à 130Km/h que celles d'aujourd'hui capables de rouler à 180 ce qui ne sert qu'à provoquer les radars !
C'est pour ces raisons que les Commingeois fêtent ce passé révolu le DDay en faisant défiler les voitures d'autrefois.
https://babone5go2.blogspot.com/2025/04/dday-2025-preparation-la-veille-au.html
Les Français retrouvent ainsi les voitures d'avant, retapées, qui ayant atteint la limite de 150.000 Km, étaient mises au rebut tant qu'il était moins cher d'acheter une neuve, mais redeviennent attractives puisque l'on vend toujours du pétrole, que le prix reste stable, et que le thermique est encore facilement réparable, pour atteindre sans problème 300.000Km, voire davantage, surtout une bonne allemande alimentée au diesel. Mon nouveau copain Kevin possède un camion Renault qui dépasse 600 mille km !
Faute de pouvoir remplacer mon Puretech Citroën soigneusement entrenu, mais mal vendu, j'avais donc craqué pour une vieille Classe S Mercédès-Benz de 390.000Km, en allant cette fois très fort, au bout de l'usure des innombrables composés électroniques, devenant obsolètes comme la fusée Apollo ayant envoyé des homme sur la lune et que personne ne sait plus réparer aujourd'hui. Ne sachant plus la faire entretenir, la Classe S est vendue.
Comment racheter une voiture aujourd'hui en restant sous les dix mille Euros, voire beaucoup moins, un quart de moins disons 6 à 7000 ? Cette gageure, je l'ai réussie, c'est une histoire amusante !
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Dodge Spirit est une automobile de taille moyenne commercialisée par Dodge dans les années 1989 à 1995. Succédant à la Dodge Aries, la Dodge Lancer et la Dodge 600 , la Spirit a été commercialisée entre la Shadow et la Dynasty au sein de la gamme de produits Dodge, exclusivement comme une berline à quatre portes à hayon sur une seule génération.
La Spirit utilisait la plateforme Chrysler AA, une version à empattement allongé de la plateforme Chrysler K, et des variantes rebadgées ont été commercialisées par les trois divisions de Chrysler, notamment sous le nom de Plymouth Acclaim (1989-1995 ), de berline Chrysler LeBaron (1990-1994) et en Europe sous le nom de Chrysler Saratoga (1989-1995). Car l'objectif de Chrysler restait celui de Trump aujourd'hui : vendre aux Européens une voiture de style européen, pour les envahir de voitures américaines !
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nous y voilà, avec la Chrysler-Saratoga :
- d'une part les Européens pouvaient se référer au célèbre premier nom Chrysler, synoyme de Cadillac, la grosse américaine qui défile chez nous le DDay
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- ensuite, pléonasme indispensable pour les ignorants, le nom Saratoga ré-évoquait les grosses américaines, qui incitent, à Mirande dans le Gers, les Gersois à se retrouver habillés en cowboys pour danser la country
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| nous avons partagé cette ambiance américaine, à Bézuès-Bajon; avec bien entendu le festival de Marciac |
Chrysler a finalement assemblé la Spirit et ses variantes rebadgées à l'usine d'assemblage de Newark (Newark, Delaware) et de Toluca (Toluca, Mexique), la production s'arrêtant le 9 décembre 1994, remplacée pour l'année modèle 1995 par la Dodge Stratus .
La Spirit pouvait accueillir six passagers grâce à une banquette avant fractionnable en option. Dotée d'un essieu arrière rigide et d'une suspension avant à jambes de force MacPherson, la Spirit se distinguait des autres modèles de la plateforme A principalement par le style de sa calandre et de ses feux arrière , ainsi que par la disponibilité d'une version R/T plus sportive et plus performante.
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| après la restauration du plastique poussiéreux, je vais pouvoir changer l'air filter box trouée |
Le moteur de base des modèles Spirit et Spirit LE était un 4 cylindres TBI de 2,5 L (150 pouces cubes) développant 100 ch (75 kW). En option sur tous les modèles, à l'exception de la Spirit R/T, un V6 Mitsubishi de 3,0 L (180 pouces cubes) développant 141 ch (105 kW). Également disponible de 1989 à 1992 – et de série sur la Spirit ES – une version turbocompressée du moteur 2,5 L de 150 ch (112 kW). Voilà mon option, et mon 6 cylindres en V, traction avant bien entendu, pour rouler sur la neige.
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Il se trouve qu'en 1990, un Notable-Commingeois vivant dans cette période américaine du Comminges à Boussens, notre ville du gaz et du pétrole, au niveau social correspondant, expliquant la belle architecture de Saint-Gaudens notamment, les Banques, les vitraux, les commerces florissant alors, voilà donc que l'un de ces Notables acquiert une Chrysler-Saratoga, d'origine et de syle donc américain.
Il choisit comme options le moteur japonais de 141cv, le radiateur noir sans chromes, et l'intérieur en cuir caramel. Il ne roule pas beaucoup puisque après trente cinq ans, le compteur affiche moins de 140.000Km. Il est maniaque, je retrouve l'intérieur frais, cuir et moquettes impeccables, un peu de nettoyage et le tout retrouve son neuf d'autrefois. Les ouvertures de portières, du coffre, sont parfaitement parallèles, aucun choc ! Nous passons deux jours à tout nettoyer finement, à enlever la poussière sous les tapis, à racheter des tapis neufs sur ebay.com, et à rénover les plastiques : il ne suffira plus qu'un léger polissage déjà programmé chez Kevin au gros fourgon Renault pour retrouver le brillant du noir métallisé, qui se repère par les microparticules rouge et or en regardant de très près. Comme je ne fais rien à moitié, on va finir par un revêtement céramique.
Comme elle a chauffé, le moteur a été refait, par des mécanos cachés dans un garage secret de 5GO où l'on côtoie des merveilles, tout fonctionne, aucun bruit grâce à l'essence 95E5, des reprises, il parait que sur circuit on peut monter à 200 Km/h, il va falloir que j'aille la tester à Nogaro ?
Bien entendu la boite est automatique !
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| il existe une zone franche au centre-ville où l'on peut payer en Dollars verts |
Plusieurs boîtes de vitesses manuelles à cinq rapports étaient disponibles avec les moteurs quatre cylindres atmosphériques et turbocompressés, mais relativement peu de Spirit en étaient équipées. Toutes les Spirit R/T étaient livrées avec la boîte manuelle renforcée à cinq rapports A-568. De 1989 à 1991, toutes les Spirit V6 étaient équipées de la boîte automatique électronique à quatre rapports A604 avec surmultiplication, devenue optionnelle en 1992 et le restant jusqu'en 1995. La boîte automatique Torqueflite à trois rapports était la plus répandue sur les Spirit quatre cylindres et était également de série avec le moteur V6 de 1992 à 1995. C'est mon cas.
aucune pièce détachée présentée par ebay.com ne m'échappe : ..png)
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| Véhicules de collection je recommande évidemment cette adresse, avec des motos incroyables, et des bagnoles pareil ! |
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| on va pouvoir aller danser ! |