dimanche 27 septembre 2020

Antigüedades de Sitges






Le rite consiste à aller à Sitges, heureusement que le GPS a enregistré l’adresse : sur l’autopista il faut payer deux fois aux péages. Et arrivés sur place on ne descend pas au centre-ville pour rejoindre l’altitude de la mer, mais on reste dans les hauteurs, en empruntant une petite route qui zigzague sur elle-même, pour arriver à une zone bâtie où s’amoncellent des tas d’immeubles et de commerces : un ultime virage, et on arrive si on s’y est bien pris sur une esplanade : c’est là !















Tout un condensé des antiquités espagnoles, on ne sait précisément quoi, il y a un style que l’on ne trouve que là : que ce soit les statues ; certaines viennent d’églises, il y a une madone, et même un Pierre qui lit un évangile commode pour lui attacher les clés du bureau à la main droite ! Des tableaux ; des meubles ; des lampes ; de la vaisselle en quantité. Et comme cela devient la mode, les objets liés au culte catholique disparaissent même ici, remplacés par des bouddha, des petits, et des grands, il faut dire qu’ils sont fabriqués en Chine !







Miracle, comme cela nous arrive tous les ans, il y a quelques cadres dorés à vendre : les encadrements espagnols sont composés d’éléments sculptés, dorés, volumineux et très lourds : parfait pour encadrer une prochaine huile d’Anne au retour !

Pour une fois, on décide de ne pas déjeuner en ville, de pinxos, trop risqué s’il y a trop de monde : pourquoi pas faire un tour à san Salvador, au bord de la mer, au musée Pau Casal ?

Comme on a visité le musée des tas de fois, on fera un tour du jardin

On regardera la mer

Et on ira au restaurant de l’autre côté de la Villa !

Pau Casal avait le bec fin !

personne ! et le restaurant est fermé !


il faut trouver où déjeuner...

comment on fait ?