Car le dimanche, une fois sortis de la messe dominicale, on regarde (une fois de plus) les sculptures des stalles : on trouve toujours quelque chose d'amusant et de nouveau, comme la roue de la fortune, fortune représentée par les plumes d'autruche, difficiles il est vrai de trouver sur place :
ou encore cette sirène qui fait fantasmer le pêcheur,
qui pour éviter la tentation, la regarde de dos :
ou encore cette autre Eve séductrice, (vachement bien balancée),
dont les attribués sexués
sont particulièrement détaillés !
Donc il est l'heure de déjeuner, c'est à dire treize heures à l'heure espagnole, et nous avons réservé à la Table de Saint-Bertrand, car la tradition raconte qu'il avait fait de cet endroit sa cantine : à vrai dire, il faut redescendre dans la ville-basse, car nous étions-en-haut.
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| les eaux pluviales sont canalisées dans ces canaux vides l'été, nous faisons le chemin à l'envers |
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| c'est complet car nous avons réservé presque toute la terrasse |
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| https://www.tabledestbertrand.fr/ |
les hôtesses nous ont préparé un kir parfumé à la violette
même si la fleur de saison est l'hortensia rose
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| les rillettes de cabillaud, à l'huile de noix |
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| le confit de poule |
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| baba au rhum, ou tarte à la myrtille ? |
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| une flute pour reprendre la route |
Très sympa, on comprend que Saint-Bertrand appréciait
toujours partageur
je vous file le zéro six :
mêmes avis positifs chez Tripadvisor :