vendredi 15 juillet 2016

Folie à Nice

Les journaux étrangers sortent des images étonnantes, de quoi se poser des questions ?


l'armée parait bien présente ? c'était avant ?

toujours l'armée, en armes ?

armée ; police nationale ; police municipale ?

bizarre position. Il est sur la chaussée, pas sur le trottoir ? de quel côté de l'avenue ?


tous ces corps sont bien sur le trottoir le long de la mer ?
pas une seule barrière ?

pourquoi ces impacts majoritairement sur le passager de droite ? ...alors qu'il n'y en avait pas ?
Pourquoi si peu sur le conducteur, à gauche ?

D'où sortent toutes ces forces...après ?

où étaient-elles...avant ?

on est en guerre...ou pas ?




Nous sommes samedi 16 juillet. Les commentaires s'ajoutent aux commentaires : 

Tunisien, ou Français ? C'est un Tunisien avec un permis de séjour en France. Il faut dire : "c'était..."

Terroriste, ou fou ? Il avait bien l'air d'un fou... influencé et rendu fou par tous ces appels au djihad !

Juppé : le drame aurait pu être évité ? Réponse : que voilà une remarque indécente : le Gouvernement gouverne. Il répare (à peine) les dommages causés par la Présidence précédente. Il mène une guerre totale...Le risque zéro n'existe pas. Le récent rapport parlementaire sur le Bataclan fait l'objet d'une évaluation sans concession. En tous cas, nous voilà à nouveau en "Etat d'Urgence". Pourquoi puisque des lois d'exception ont été votées ?

Deuil national de trois jours : la promenade des Anglais doit absolument être rendue d'urgence aux touristes, ce n'est pas le moment de leur faire peur, aux touristes, et de nuire au commerce.

Deuil national : ça veut dire quoi au juste ? La télé s'interrompt pour nous vendre sa pub. Pas question de l'interrompre la pub : nous sommes une Société de consommation ou pas ? Rien n'empêche d'être en deuil et de consommer des produits anti-insectes qui bouzillent les insectes, de laver son linge sale, et de regarder Fort Boyard : il ne faut pas tout mélanger.




Toutes ces vies brisées, toutes ces familles qui cherchent encore leurs proches. Tous ces morts, et blessés gravissimes. Ces enfants sans parents, ces parents sans enfants !

...pour rien...

...nos pensées vont à eux...