lundi 19 mai 2025

"Fabulous collection, Laurie" ! Laurie collectionne les Birdwings !


Laurie Wills a aimé en bas à gauche le commentaire de Gary : "Fabulous collection Laurie". Laurie n'a pas qu'une collection superbe de Birdwings : il a aussi une Ferrari ! 

Alors je suis allé visiter la collection de Gary Beardsell, elle est très belle, mais moins complètele avec des espèces moins rares : les boites de Laurie sont extraordinaires ! Pleine de mâles. Quelques femelles. Et plein d'individus variants, forcément rarissimes ! 

la "modeste collection" de Gary est aussi très belle


voici l'en-tête de Laurie Wills avec sa Ferrari

une belle voiture. Laurie est "meilleur contributeur" en Birdwings. Nous avons des amis communs comme Paul Bodnar  et Roch Defayette dont je vous ai déjà parlé



nous sommes dans les iles Salomon






les locaux ont créé une association, visant à protéger chaque variété des Ornithoptères vivant dans leur ile



les mâles sont chassés, les femelles servent à créer des élevages, la biodiversité est conservée, les locaux ont un pouvoir d'achat leur permettant de subsister, et les mécènes du coin accumulent des collectins fabuleuses, comme Laurie





Laurie a l'air de vivre dans le standing de sa Ferrari, il est fier de son fils Nick entré dans les forces de Police


Laurie est tellement fier de Nick qu'il a donné le nom de son fils à un papillon


Niclasi a des couleurs extraordinaires


les ballades d'ile en ile sont fabuleuses dans ce Paradis




je ne suis pas certain qu'il existe des routes pour faire rouler la Ferrari, mais elle signale le standing de Laurie, comme les Corses qui font de même en empruntant (en première) la route Furiani-Furiani ! 


Je crois bien que les vrais chasseurs-éleveurs sont eux :



en New Ireland

et voici la Collection (fabulous collection)



22cm d'envergure pour cette femelle ! 


un commentaire jaloux conteste la mesure ! 

Croseus



Urvillanus


je n'avais jamais vu des croisements pareils : vert et bleu

des boites et des boites

pleines les boites, de mâles essentiellement

toutes les variantes de vert, de bleu, de formes des ailes



des individus exceptionnels



forme confluenta avec des queues immenses



guadalcanal

une variante naine

un dessous bigarré

Dumont Durville doit sourire là-haut de voir son nom bien conservé

urvillanus

8 février 2014 : la collection aurait 11 ans ?

une variation dans chaque ile différente : Walalce avait découvert tout cela !

voici la littérature : il faut protéger ce Patrimoine de l'Humanité



notre vaisseau spatial Terre conserve des derniers vestiges du Paradis terrestre

grâce à Laurie et sa Ferrari

il nous permet d'en entrevoir les merveilles

continue, Laurie Wills, à nous enchanter ! 

bravo les gars : vous protégez vos territoires en vivant avec les papillons : dans les villes soit-disant développées de l'Ouest
on en fait moins, on consomme, je ne suis pas certain que ça nous rende heureux
c'est la Beauté qui nourrit l'âme, pas les dollars ni les Euros, ni le béton


L'Effet Wallace, évoqué pour la première fois en 1889 par Alfred Russel Wallace, est l'hypothèse que si deux organismes sont avantagés dans la compétition pour la survie, ils ont tendance à se reproduire préférentiellement ensemble (ce que l'on nomme un isolement reproductif), ce qui finalement aboutit à la création d'une nouvelle espèce, les hybrides entre les descendants de ces deux organismes et les autres représentants de l’espèce étant non viables.

Dans Darwinism, livre expliquant et défendant l'idée de sélection naturelle, il émit l'hypothèse que la sélection naturelle pouvait entraîner l'isolement reproductif de deux variétés en encourageant le développement de barrières contre l'hybridation, contribuant ainsi au développement de nouvelles espèces. Il suggéra le scénario suivant : quand deux populations d'une même espèce avaient divergé au-delà d'un certain point, chacune adaptée à des conditions particulières, la progéniture hybride serait moins bien adaptée que l'une ou l'autre forme parentale, et à ce point la sélection naturelle tendra à éliminer les hybrides. En outre, dans de telles conditions, la sélection naturelle favoriserait le développement de barrières à l'hybridation, comme des individus qui ont évité des accouplements hybrides tendraient à avoir une progéniture plus adaptée, contribuant de ce fait à l'isolement reproductif de deux espèces naissantes. Cette théorie est connue sous le nom d'effet Wallace.

Wallace, dans une lettre, avait suggéré à Darwin dès 1868 que la sélection naturelle pouvait avoir un rôle dans la prévention à l'hybridation mais sans plus de précisions. Cela continue aujourd’hui d'être un sujet d'études de la biologie évolutionniste tant grâce à la simulation sur ordinateur qu'à l'aide de résultats empiriques pour en prouver le bien-fondé.