dimanche 6 avril 2025

Trente anges Lalique à Saint Nicaise-Reims




....un Ange passe...


un Ange jaune en verre Lalique

et puis deux... trois.... trente











pour réparer les Anges, il n'y a que Lalique qui les a créés à l'origine

a-t-on conservé tous ses secrets ?

il avait mis en l'air l'Harmonie
(comme à St Bertrand de Comminges mais ce n'était pas lui)
pour recréer l'Harmonie dans la Jérusalem céleste, protégée du bruit extérieur par trente Anges
(faut se méfier des Anges, si on n'est pas cash avec eux, ils peuvent vous casser cash)

le verre est très épais, c'est le secret de Lalique



rassurez-vous : le titre annonce le secret de René
il l'a gardé dans la tombe

il l'a mis en oeuvre partout en réalité : nous étions à Jersey, il n'y avait que Jersey. Pareil à Douvres la Délivrande; Il n'y avait que deux églises où Lalique avait oeuvré.  Se rajoute Saint-Nicaise. Ca fait déjà trois. Dedans des pièces maagnifiques, grandeur nature. Souvenez-vos les portes au Japon, immenses, René n'a pas créé que des bijoux....

https://babone5go2.blogspot.com/2022/07/lalique-au-palais-tiesen-tokyo.html
https://babone5go2.blogspot.com/2016/01/verre-toulouse.html






une pour l'église

une autre pour le salon


une lampe énorme inaccessible, voilà pourquoi les miennes sont de Müller

Je ne vous ai pas écrit de texte genre Conservatrice de Musée diplômée, Certifiée, avec Historique dans Wiki, et Notes numérotées de bas de page...quoique j'ai introduit mes modestes PJ bas de page, en les glissant dans les pages car Lalique depuis 15 ans, j'en ai publié des billets sur lui et ses bijoux, quand ils étaient papillons ou libellules (ce qui n'est pas pareil ) ! voici des Dragonflies :


parce qu'il y a l'exécution : les ateliers Lalique réparent les Laliques passés

mais le plus difficile, voyez, c'est l'inspiration des Dieux
le don de Créativité

pas de dessin à l'origine, pas de Verre

et là, René, était très trtès fort en dessin et peinture
il était entouré d'Anges
et ses Anges bossaient dur pour le pousser au haut niveau, celui du Créateur lui-même


les Anges ont été exposés un peu partout au fur et à mesure de leur sortie des fours

aujourd'hui il faut faire le voyage à Saint-Nicaise pour les voir tous les Trente reposés



il y a pire comme voyage
et à l'arrivée, on est plongé dans la Beauté
dans l'atmosphère de Dieu

par rapport aux univers sur-Terre de Trump, Musk, Poutine, Erdogan et les autres

c'est encore le Paradis sur Terre

eux ils construisent leurs Empires de l'Enfer

René a fait son dernier voyage en wagon Lalique

au père Lachaise




PS : j'ai un texte académique s'il vous manquait, mais j'ai pensé vous épargner en ne mettant qu'à la fin, pour dire qu'il en existait un sans le mettre


revoici l'harmonie avec la photo que j'ai trouvée

je vous souhaite de trouver l'Harmonie
si vous l'avez déjà trouvée, alors ...vous n'avez plus besoin de rien...
...encore moins de moi !


je vous ai remis Maurane, moi je ne m'en lasse pas
et puis là-haut elle lui fera un bisou de ma part




PS : il existe un commentaire officiel, et je l'avais égaré, le voici retrouvé : "C’est un projet muri depuis presque dix ans qui commence à se concrétiser du côté du Chemin Vert, un quartier résidentiel et populaire à l’histoire unique, forgée par le Foyer rémois, bailleur social historique de la ville, et son fondateur, l’industriel Georges Charbonneaux. Née au sortir de la Première Guerre mondiale, la cité-jardin du Chemin Vert est pensée pour héberger des ouvriers rémois, tout en leur offrant des équipements sociaux et culturels : une maison commune, une maison de l’enfance, des centres commerciaux, un groupe scolaire et une église.

chaque baie abrite un Ange, dont les 5 à l'Ouest au-dessus du porche
puis de chaque côté trois, puis tout autour du clocher octogonal par groupes de deux soit 16

Cette dernière, dans un style romano-byzantin remarquable, est édifiée en 1923. Trois ans plus tard, c’est le célèbre verrier René Lalique (originaire d'Aÿ), qui est chargé d’habiller ses façades. « Cet ensemble unique de 30 verrières représentant des anges est le premier modèle d’art sacré réalisé par Lalique sur des moules de grandes dimensions", explique Dominique Potier, secrétaire général de l’association Les Amis de Saint-Nicaise du Chemin Vert. Malheureusement, à la fin de l’année 2013, des détériorations ont été détectées, dues à des ferronneries rouillées, gonflées ou cassées. » Même un coup de fusil ! on rigole comme on peut ! 

30 anges en verre moulé, créés par le Marnais René Lalique dans les années 1920 pour l'église Saint-Nicaise de Reims, sont petit à petit restaurés et réinstallés dans l'édifice religieux. Fragilisés, ils avaient été remplacés par des répliques en 2014.

Depuis le lancement du chantier en mars 2023, 11 anges restaurés ont pu retrouver leur place. De quatre types différents, ils mesurent 1,80m de haut pour les plus grands et 1,30m pour les plus petits. "À midi, le soleil donne en plein dedans et c'est éblouissant. Mais ce n'est pas une lumière qui vous aveugle, c'est une lumière enrobante", se réjouit Marie-Luce Colas, membre de la commission accueil et visite de l'église Saint-Nicaise.

"Ces pièces sont absolument uniques au monde", souligne de son côté Dominique Potier, le secrétaire général de la Société des Amis de Saint-Nicaise et du Chemin vert. L'association, créée il y a 12 ans, pilote la restauration des anges. "La transparence vient de la très faible épaisseur, et vous allez jusqu'au jaune profond sur les parties les plus épaisses. C'est cette audace, que Lalique a développé dans sa technique, qui est aussi la rançon qu'on paie dans l'exploitation de ces verrières : elles sont fragiles", décrit-il devant un ange pas encore restauré. "Surtout qu'à l'époque, elles ont été montées directement dans les baies, avec des calfeutrements qui n'étaient pas souples, donc tout a travaillé pendant un siècle" depuis la pose des anges en 1926 jusqu'à leur remplacement par des copies en transparentes, et la réhabilitation actuelle.

C'est à la manufacture Vincent-Petit de Troyes que les anges sont remis sur pied avant de retrouver leur place dans l'église rémoise. "Chaque pièce est totalement nettoyée, dépoussiérée, purifiée... Donc on retrouve le verre dans son état absolu. Et ensuite on réalise des collages et des comblements par des résines, mais on n'efface pas la blessure des pièces en verre. On ne fait pas de correction des cassures", précise Dominique Potier. "Elles reviennent installées dans un berceau métallique, avec des supports découpés à la forme pour chacune : on élimine tout risque de cisaillement et d'appui. Côté extérieur, une vitre protectrice contre toutes les dégradations possibles et imaginables a été installée, accompagnée d'un système de circulation d'air qui assure la bonne tenue et la propreté de la verrière". Le coût total du chantier, auquel il faut ajouter des travaux de maçonnerie en raison de l'écartement des baies existantes pour pouvoir réinstaller les anges, est de 1,6 million d'euros. Il est financé notamment par la Drac Grand-Est (Direction régionale des affaires culturelles) à hauteur de 50% et par la Fondation du patrimoine.

L’église Saint-Nicaise de Reims, construite par l’architecte Jean-Marcel Auburtin et décorée par de nombreux artistes, dont Maurice Denis, entre 1925 et 1933, est gérée par un bail emphytéotique entre le propriétaire, office d’habitation à loyers modérés, et l’association diocésaine. Cette disposition permet la mise en valeur et le maintien in situ de l’ensemble des objets mobiliers, conçus spécifiquement pour l’église et classés majoritairement au titre des monuments historiques.

Après une première phase de travaux en 2023, la réinstallation des 11 anges de la partie centrale de l'église est prévue pour novembre 2024. Une troisième phase, qui concerne le transept nord, est quant à elle prévue pour 2025. Nous sommes en 2025, le moins que je pouvais faire, était de saluer cette magnifique réhabilitation...et de faire un clin d'oeil à René ! 


que l'on ne me parle plus de Los Angeles :

ils sont à Saint Nicaise !

samedi 5 avril 2025

Déjeuner au Poisson à Voile, chez Chantal et Eric



Mon Histoire de ce jour commence par le détournement de l’Adour : cette histoire mêle ingénierie, rivalités locales et caprices de la nature. Jusqu’au XVIe siècle, l’Adour ne se jetait pas là où elle le fait aujourd’hui. À l’origine, son embouchure se trouvait plus au nord, dans les Landes, notamment à Capbreton, puis à Vieux-Boucau après un bouleversement naturel vers 1310. À cette époque, une violente tempête, combinée à des crues et à l’accumulation de sable, avait obstrué son cours à Capbreton, poussant le fleuve à se frayer un nouveau chemin plus au nord, à Port d’Albret (l’actuel Vieux-Boucau, "vieille embouchure" en gascon).

en 1712

Ce changement posa un gros problème aux Bayonnais. Leur ville, un port fluvial prospère grâce au commerce sur l’Adour, se retrouve à une trentaine de kilomètres de la nouvelle embouchure, rendant l’accès à la mer difficile pour les gros navires. Le port de Bayonne déclinait face à la concurrence de Capbreton et de Vieux-Boucau, plus proches de l’océan. Les marchands bayonnais, déterminés à retrouver leur avantage, firent pression sur les autorités royales pendant des décennies. Dès 1491, sous Charles VIII, une première enquête fut lancée, mais sans suite. Ce n’est qu’en 1562 que Charles IX prit la décision de redonner à Bayonne un accès direct à la mer.



L’homme chargé de cette mission ambitieuse fut Louis de Foix, (1535-1604) un ingénieur-horloger-architecte talentueux qui avait déjà travaillé pour le roi d’Espagne sur des projets comme l’Escorial. En 1572, il signe un contrat avec le roi Charles IX pour détourner l’Adour. L’idée était audacieuse : creuser un chenal de 1 800 mètres depuis un point près de Bayonne, au lieu-dit Trossoat, jusqu’à l’océan, et construire une digue pour bloquer l’ancien cours du fleuve. Les travaux furent titanesques pour l’époque : des ouvriers creusaient à la pelle dans un terrain sablonneux et instable, luttant contre les marées et les crues. Pendant six ans, le projet avança péniblement, ralenti par des sabotages des Landais – qui voyaient d’un mauvais œil la perte de "leur" fleuve – et par des fonds insuffisants.

Le tournant décisif arriva le 25 octobre 1578. Une tempête exceptionnelle gonfla la Nive, provoquant une crue massive. Cette force naturelle acheva ce que les hommes peinaient à accomplir : l’Adour se précipita dans le chenal inachevé, perça le cordon dunaire et se fixa dans son nouveau lit, entre Anglet et Tarnos. L’ancien cours, au nord, s’ensabla peu à peu et disparut complètement entre 1700 et 1800, laissant des vestiges comme le lac d’Hossegor. 

On doit aussi à Louis de Foix la construction du phare de Cordouan, à l'embouchure de l'estuaire de la Gironde, auquel il consacre 18 ans de sa vie et toute sa fortune (selon une légende du XVIIIe siècle, il y serait secrètement inhumé). Son fils, Pierre de Foix, reprend sa succession mais ruiné, il transmet le flambeau à François Beuscher, ancien conducteur de travaux de Louis de Foix qui termine son œuvre en 1611, soit 27 ans après la signature du contrat passé entre Louis de Foix et le maréchal de Matignon.

Nous avons décidé de venir là, comme nous l'avions déjà fait autrefois en parcourant la barre.







Nous sommes rive gauche. En face, pas de plages, pas de touristes, pas de baigneurs : l'activité industrielle du port, au restaurant nous voyons des Patrons ; des ouvriers ; des travailleurs, quand je constate cela devant Chantal la Patronne au moment de régler, elle sourit voyant que j'ai compris ce qu'elle cherchait avec Eric en créant leur restaurant : faire manger les gens du coin, les marins et travailleurs du Port. C'est tout à fait nous, n'oublions pas que je suis modéliste de marine aussi, et que j'ai depuis longtemps le permis Marine.


juste à côté, le port de plaisance, avec les barques de sport qui font la renommée des fêtes de Bayonne

Un peu plus loin à l'amont, la fameuse forme de radoub ici vide, mais l'Hermione y est bel et bien, peu à peu reconstruite entièrement par l'intérieur, un chantier énorme, ils se sont vraiment laissés gagner par la merule qui peu à peu a rongé toute l'infrastructure mouillée, ils n'ont pas utilisé à l'époque du bois laissé dans l'eau de mer comme le faisaient les charpentiers de marine, ou comme l'ont fait les Vénitiens en construisant sur pilotis : le bois durcit dans l'eau pour devenir imputrescible, ce qu'ignoraient les constructeurs des siècles plus tard quand ils ont pourtant mis le temps qu'il faut pour recréer le bateau de Lafayette. Mais avec de nouveaux sous, avec de nouveaux dons, la fondation du Patrimoine ou autre, ils vont y parvenir, et revoir l'Hermione sur l'Adour ici même sera un spectable merveilleux, nous y serons sachant où il faut se rendre ! 

https://babone5go2.blogspot.com/2021/09/la-cale-pour-lhermione-3.html


notre équipage féminin a repris la barre et nous guide (d'une main ferme) dans la circulation.
Serrés derrière, les Hommes sont un peu secoués
mais deux marins expérimentés serrent les dents, et supportent la houle
le tangage et tous les mouvements de la mer


nous entrons par le port de plaisance, il faut savoir où est l'entrée du parking, il faut savoir passer devant et tourner à l'envers au prochain rond-point, à cette date d'avril, il y a de la place, mais l'été, tout est bondé


nous jetons notre dévolu sur celui-là : il nous faut absolument ce bateau



vous savez quand-même que Ibaialde c'est le Roi du Jambon

Askatasuna (le mot basque signifiant Liberté) est le parti politique nationaliste et séparatiste basque inscrit dans le registre des partis politiques du ministère de l'intérieur espagnol le 31 août 1998, et basé à Bilbao. Toute activité sauf maritime a été suspendue le 18 février 2009.

extrait de l'intervention d'Emmanuel de Oliveira, Président de la Société nationale de sauvetage en mer en 2024 : "L'antenne locale de la SNSM va du sud Landes aux Pyrénées-Atlantiques, c'est quatre stations et un centre de formation. Cela représente une activité opérationnelle très forte. Ella a doublé par rapport à l'année dernière, avec beaucoup d'interventions à la fois d'assistance aux navires en panne et surtout de sauvetage de la vie humaine. Nous avons sauvé cette année 218 personnes exactement sur la côte basque et gasconne. Ce qui est particulier ici, c'est que c'est une zone très accidentogène, avec une côte difficile et des risques importants. Nos quatre stations de sauvetage sont extrêmement actives. Nous allons renouveler l'année prochaine le canot tout temps (CTT) de Bayonne en particulier, le "Martin-Jolis", avec un nouveau navire de sauvetage hauturier (NSH) très performant". 
j'ai préféré saluer ce CTT que l'Hermione, nous reviendrons plus tard (ndla)

le restaurant est à gauche, sur un promontoire, qui oblige à monter les derniers escaliers


le Comte tend un bras secourable à ma Comtesse






Ma vessie a été secouée, brinquebalée sur les ralentisseurs, ballotée à babord et tribord, serrée pendant la route, il me faut absolument aller à la cale, qui se trouve effectivement au sous-sol, proche de la sortie qui j'imagine doit aboutir à l'Adour, pour se jeter dans l'Océan, et se mêler aux autres eaux mêlées de l'Atlantique, de tous les rejets de la terre à la mer ?


l'ambiance intérieure est au top, mais nous, comme les autres convives, préférons le vent du large

 comme si nous étions sur le pont de l'Hermione : nous faisons face

et nous protégeons à l'ombre de l'ardeur du soleil


vous allez voir, on n'a absolument aucun choix d'autre que la suite :

1-il faut absolument un en-cas au Comte qui meurt de faim, les vitraux lui ont plu et il est plein d'ardeur, fouetté par ce vent : -"des soupions pour entrée" ! (je ne crois pas qu'il ajoute : "tonnerre de Brest", ce serait déplacé, nous sommes à Anglet)

2-Bar 2 personnes deux fois, puisque nous sommes quatre

-"deux personnes sur un Bar suppose un Beau Bar", il fallait que je le place

3-Café gourmand final puisque je suis interdit de sucre, et les glaces en dessert, c'est trop banal

et le vin est à la hauteur : vous connaissez le principe de la maturation du vin sous l'eau ? Comment choisir autre chose, puisque c'est un vin-blanc-Basque, et que nous sommes Basques au Pays-Basque : en plus il sert d'apéritif, et les Comtesses qui conduisent doivent choisir : pas boire, mais continuer à conduire (sauf celle qui ne tient plus le GPS au retour car la conductrice connait le chemin par coeur, c'est là qu'ils viennent tous les dimanches avec le Comte se mêler aux marins du peuple, pour conserver le contact, en leur offrant un pôto-Bar).

je lève mon verre à vous cher(e)s lectrices-lecteurs


quand vous viendrez guidé par ce billet ici, vous ne pourrez pas choisir d'autre vin

un jour je vous dirai où c'est et comment j'en achète


les soupions, j'en raffole dès Arles en 1976, à Albaron ! 




les bars sont magnifiques, ce sont de beaux-bars, un gros demi-bar suffit par personne

vous comprenez que la phrase aurait un sens différent si j'écrivais ; un bar-beau, quand les messieurs seront servis après les Dames


j'ai demandé à la serveuse de nous laisser les deux têtes

je puis ainsi découper délicatement les quatre joues et les distribuer à l'assemblée
les joues sont aux bars, l'équivalent des "solilaisses" chez les poulets

"les sots l'y laissent" !


le café gourmand présenté sur une ardoise appelle avec humour à conclure
et je passe à la caisse c'est là que je me présente à Chantal

j'ai promis de lui présenter ce billet pour "bon à tirer", en lui disant le bonheur d'avoir été reçu au Poisson à Voile, quelle jolie idée de nom au lieu du banal Poisson volant

je lui explique que volant avec mon drone
j'apprécie son humour, et on s'apprécie réciproquement,
ce qui m'invite vous avez compris à revenir

puisque j'ai noté le chemin sur mon GPS perso

profitons des moments de bonheur dans la Vie

pour finir, je dis à Chantal que je lui décerne une étoile

une étoile de Mer : je n'en ai jamais mangé ! 

je vous recommande le Poisson à Voile,

le Marlin du Vieil Homme et la mer







au Pays Basque
il existe des endroits surprenants
Basques
encore plus beaux que tout ce qu'on raconte sur le Pays Basque

nous y sommes en deux heures
en respectant strictement le 130 sur l'A6
et nous pouvons boire et buvons chez nous du Egiategia
pas difficile de mettre une caisse dans la malle !
Quant aux Bars, même Auchan en vend
et moi je le fais flamber au Ricard
car ça s'appelle en Provence un Loup ! 
je suis un peu un "lou-bar" en grande cuisine ! 


j'ai en Provence un copain qui vit là-dedans



tout le monde peut pas être de Paris ! 

c'était super Chantal, on revient dès que l'on peut
et-on-peut-vite ...

il y a un autre nom Basque caché ! 

PS : je vous cite un texte plus académique : "Le Poisson à Voile est situé au cœur d’Anglet, une ville balnéaire du Pays basque français. Le restaurant propose aux Angloys une cuisine à base de poissons frais et locaux. La décoration mêle élégance et tradition basque marquée par les tons chauds, le bois et les détails maritimes. Les grandes baies vitrées offrent une vue imprenable sur l’océan. La carte met à l’honneur les poissons et fruits de mer frais, sélectionnés chaque jour. Vous pourrez déguster des plats typiques de la région comme le fameux axoa de veau, le ttoro (poisson mijoté dans un bouillon parfumé) ou encore le chipiron à la basquaise (calamar cuit dans une sauce tomate épicée). Les influences basques se marient subtilement avec des touches méditerranéennes. Le restaurant propose également des options végétariennes ainsi qu’une sélection de vins locaux. Le restaurant est à quelques pas de la plage des Sables d’Or et de l’océan Atlantique. Un service de livraison à domicile a été mis en place par l’équipe."

j'avais repéré les "touches méditerranéennes"...
... mais j'avais raté ... le ttoro ! 
(deux-étoiles-la-prochaine-fois)

évidemment ils s'imposent :

il faut cliquer sur la flèche à droite
(je dis ça pour les Parisiens à qui il faut tout expliquer)