mardi 3 juin 2025

Sciences et Avenir l'affirme : l'aura existe !

 


Découverte : tous les êtres vivants émettent une lueur étrange qui s'éteint à leur mort

par Enola Tissandié le 27.05.2025 à 17h18

Tous les êtres vivants, y compris les humains, émettent en permanence une lueur qui semble disparaître presque aussitôt après leur mort. L'observation de ce signal pourrait un jour permettre de surveiller la santé des forêts, voire de détecter des maladies chez l'humain.

Cette lueur émanée par nos corps n’a rien de mystique, et s’explique par le processus de chimiluminescence oxydative, qui correspond à une libération de photons et donc une production de lumière à la suite d'une réaction chimique avec de l’oxygène.

https://www.youtube.com/watch?v=px4Wp96HWeI&ab_channel=Blablareauaulabo

Depuis des décennies, des scientifiques constatent qu’une lueur étrange entoure tous les êtres vivants. Si ce phénomène a longtemps été controversé, on sait aujourd’hui qu’il s’agit d’une émission biologique de photons ultrafaibles (UPE). "L'UPE est une émission spontanée de photons dans la gamme du visible au proche infrarouge (principalement entre 200 et 800 nm) qui provient de réactions biochimiques chez les organismes vivants, en particulier celles impliquant des espèces réactives de l'oxygène (ERO)", explique Daniel Oblack, physicien à l'Université de Calgary au Canada, à Sciences et Avenir.

Dans une récente étude publiée dans The Journal of Physical Chemistry Letters, le chercheur et son équipe montrent que cette lueur est sensible aux situations de stress et disparaît presque aussitôt après la mort de son émanateur.

"Ce phénomène est aujourd'hui indéniable"

Cette lueur n’a rien de mystique, et s’explique par le processus de chimiluminescence oxydative, qui correspond à une libération de photons et donc une production de lumière à la suite d'une réaction chimique avec de l’oxygène. Néanmoins, ces biophotons sont extrêmement difficiles à détecter tant ils sont peu nombreux. "Pour voir l'UPE, nous devons enfermer notre installation dans des enceintes obscures, dans une pièce sombre, toutes lumières éteintes", ajoute le chercheur. Ils sont aussi masqués par d'autres processus biologiques ou sources lumineuses, comme le rayonnement de chaleur.

"Nos recherches et d'autres études montrent que les mécanismes sont liés quel que soit le type d'organisme vivant étudié, poursuit Daniel Oblack. Ce phénomène est aujourd’hui indéniable". Pour l’étudier, les chercheurs ont visualisé l'émission de photons ultrafaibles sur quatre souris entières avant et après leur mort, en utilisant des caméras numériques capables de détecter des photons individuels.

L'étude précise que pour exclure les facteurs de température et de luminosité, les souris étaient maintenues à une température constante, dans une boite sombre. "Notre étude révèle un contraste significatif entre l'UPE (la lueur de biophotons) de souris vivantes et mortes". Pour les chercheurs, il n’est pas étonnant que la lueur s’affaiblisse, jusqu’à s’éteindre quelques instants après la mort car elle provient de processus cellulaires métaboliques. En effet, sans molécules de dioxygène, la chimiluminescence oxydative, à l’origine de la libération de photons, ne peut plus s’opérer.

Lire aussi Âme et esprit : pourquoi croit-on en leur existence et a-t-elle été prouvée ? (2)


Rien de surnaturel

Si on sait en expliquer le mécanisme, difficile d’en comprendre les causes. "Des questions subsistent quant aux rôles physiologiques et à la signification fonctionnelle de ces émissions, affirme le physicien. Le phénomène est réel et mesurable, mais son interprétation reste un domaine de recherche ouvert et fascinant."

Mais pour le chercheur, rien de surnaturel : "Je pense que la notion de « luminescence » émanant d'êtres vivants est naturellement associée à des concepts mystiques, tels que les auras et les esprits. Mais, l'UPE est le résultat d'un processus biochimique et s'apparente donc à la réaction chimique qui se produit lorsque l'on brise un bâton lumineux, qui n'a manifestement ni âme ni esprit."

Chez les plantes, les résultats montrent qu'une augmentation de la température et des blessures (rayures) entraînaient toutes deux une augmentation de l'intensité de l'UPE. Cette technologie pourrait alors être utilisée pour surveiller la santé des forêts, en particulier la nuit, en repérant les arbres et plantes en situation de stress.

La mesure de l'UPE présente également un potentiel en médecine. Elle pourrait être utilisée comme outil de diagnostic non invasif, notamment pour détecter le stress oxydatif (à l'origine d'une altération des constituants des cellules), les premiers signes d'inflammation ou la dégénérescence tissulaire. Mais des avancées en biologie quantique et en techniques d’imagerie sont indispensables pour y parvenir.

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j'ai dévoré des tas de livres bouddhistes depuis les années 50
comme La Caverne des anciens de T. Lobsang Rampa,
la réincarnation était considérée comme un phénomène courant

on lisait aussi qu'un Lama sortait aisément de son corps, relié par un fil lumineux, et se balladait partout dans le monde, son  corps physique restant apparemment inanimé pendans son voyage

au retour, son aura illuminait son corps, et des initiés pouvaient voir cette aura
la même qui auréolait la tête des Saints chrétiens

 il savait, en lisant l'aura de son interlocuteur
interpréter son état de santé

que l'on découvre que nous possédons une "lumière intérieure" me conforte et ne m'apprend rien

Dans le bouddhisme, les auras sont également considérées comme des manifestations d'énergie spirituelle. Certaines écoles de croyances bouddhistes les interprètent comme le reflet de l'état de méditation et d'éveil spirituel d'un individu.

Un déséquilibre énergétique non corrigé sur plusieurs années finira par s’exprimer dans le corps physique.

Nous avons sept corps qui entourent notre corps physique appelés sept corps subtils ou énergétiques. Les corps énergétiques sont tous reliés à un chakra et l’ensemble de ces corps forment ‘l’aura’.

Lors d’un déséquilibre sur un de nos corps, les autres se retrouvent également perturbés.

L’énergie est précurseur de la matière, un trouble peut se percevoir dans l’aura bien avant que cela atteigne le corps physique.

Cela étant dit, chacune de nos maladies ou de nos problèmes ne sont que des déséquilibre en nous.

Et nous pouvons les transformer avant que cela arrive dans notre corps physique si nous apprenons à interagir avec nos corps subtils et l’aura dans son ensemble.


Que des initiés "voient" l'âme d'un mort "partir" par la partie centrale du crâne au moment du décès sous forme d'une légère fumée ne m'étonne pas davantage, disposant de témoignages fiables de cette observation.

Nos Sciences sophistiquées de l'Ouest en mettent du temps pour rejoindre les obserbations millénaires de confrères asiatiques accoutumés par leur Religion et leurs pratiques à ces phénomènes.

L'aura est un concept ésotérique qui désigne un contour coloré, comme un « halo de lumière » qui rayonnerait autour du corps ou de la tête d'un être vivant et qui serait la manifestation d'un ou plusieurs « champs d'énergie » ou d'une force vitale.


PS (1) : Couleur et symbolisme : dévoiler l'importance des couleurs et des symboles dans l'art et leur résonance avec les doshas ayurvédiques.

L’art, sous ses innombrables formes, a toujours été un moyen puissant d’exprimer les émotions humaines, les croyances et les récits culturels. Des fresques vibrantes de l’ancienne Pompéi aux mandalas complexes du bouddhisme tibétain, les artistes ont exploité le langage des couleurs et du symbolisme pour transmettre des significations plus profondes. Dans le contexte de l’art ayurvédique, cette interaction entre couleur, symbole et guérison prend une signification profonde. Plongeons dans les nuances de ce royaume fascinant, où les pigments et les motifs deviennent des vecteurs d'équilibre, de transformation et de bien-être.

1. La palette des Doshas :

L'Ayurveda, l'ancien système de médecine indien, reconnaît trois énergies fondamentales ou doshas : Vata, Pitta et Kapha. Ces doshas régissent nos états physiques, mentaux et émotionnels. Chaque dosha est associé à des qualités et des éléments spécifiques :

- Vata : Air et éther ; léger, sec et mobile.

- Pitta : Feu et eau ; chaud, vif et intense.

- Kapha : Terre et eau ; lourd, stable et nourrissant.

Les artistes, consciemment ou intuitivement, puisent dans ces énergies doshiques lorsqu'ils sélectionnent les couleurs de leurs créations. Voyons comment :

2. Correspondances des couleurs :

- Vata : pour équilibrer l'excès de Vata, les artistes privilégient les couleurs chaudes et terreuses. Les tons terreux comme la terre cuite, l'ocre et les bruns profonds évoquent la stabilité. Ces teintes résonnent avec le dosha Kapha, apportant un contrepoids.

- Pitta : Pour un Pitta fougueux, les couleurs froides et apaisantes sont essentielles. Pensez aux bleus, aux verts et aux pastels. Ces nuances apaisent la chaleur intense de Pitta, favorisant l'harmonie.

- Kapha : les artistes combattent la lourdeur de Kapha avec des couleurs vibrantes et stimulantes. Les rouges, les oranges et les jaunes revigorent les sens, réveillant l’énergie Kapha paresseuse.

3. Motifs symboliques :

- Lotus : Le lotus, avec ses racines dans la boue et ses pétales tendus vers le soleil, symbolise la croissance spirituelle et la pureté. Ses teintes roses et blanches s'alignent sur le chakra du cœur, équilibrant les émotions.

- Paon : Dans l'art indien, le paon incarne la beauté, le renouveau et la protection. Ses bleus et verts irisés évoquent le jeu des émotions et de la créativité.

- Mandala : les mandalas circulaires, souvent ornés de motifs complexes, représentent l'unité cosmique. Les couleurs des mandalas reflètent les doshas, ​​harmonisant le microcosme avec le macrocosme.

4. Chromothérapie et guérison :

- Rouge : Associé à la vitalité et à la passion, le rouge stimule le chakra racine. Il dynamise et réveille les énergies stagnantes.

- Jaune : Le chakra du plexus solaire résonne avec le jaune. Il favorise la confiance, la digestion et la clarté mentale.

- Bleu : Calmant et rafraîchissant, le bleu apaise le chakra de la gorge. Il facilite la communication et l’expression de soi.

5. Étude de cas : peintures de chakra :

Imaginez une série de peintures de chakras, chacune dédiée à un centre énergétique spécifique. La toile du chakra de base présente des rouges profonds, ancrant le spectateur. Au fur et à mesure que nous montons, les couleurs changent : orange pour le chakra sacré, jaune pour le plexus solaire, etc. Ces peintures embellissent non seulement les espaces mais influencent également subtilement le flux d'énergie du spectateur.

L'art ayurvédique transcende l'esthétique ; cela devient un outil thérapeutique. Tandis que les artistes manient leurs pinceaux, ils tissent une tapisserie de vibrations curatives, un trait à la fois.

N'oubliez pas que la prochaine fois que vous admirerez un tableau ou contemplerez un mandala, pensez au langage caché des couleurs et des symboles. Ils parlent à nos âmes, murmurent la sagesse ancienne et nous invitent à danser avec les doshas. ️

(Remarque : l'article « Art et musique ayurvédiques, exploration du mélange harmonieux : principes ayurvédiques de l'art et de la musique » propose une exploration complète de ces thèmes, mêlant art, musique et bien-être holistique.)

:éférence : Art et musique ayurvédiques, Exploration du mélange harmonieux : principes ayurvédiques en art et musique.

Dévoiler la signification des couleurs et des symboles dans l'art et leur résonance avec les doshas ayurvédiques - Art et musique ayurvediques Explorer le melange harmonieux   principes ayurvediques dans l art et la musique

trois couchers de soleil de Vallotton




PS (2) : La différence entre âme et esprit

La différence entre âme et esprit : comment définir l’âme et l’esprit ? Quelle relation entre les deux ?

La triade corps-âme-esprit est incontournable dans l’approche philosophique et métaphysique de l’Homme. On parle de la triple nature de l’homme.

Mais en pratique, il n’est pas toujours simple de distinguer l’âme de l’esprit, les deux termes étant souvent confondus. Essayons d’y voir plus clair.

Définition de l’âme : L’âme est le siège de l’activité psychique et des états de conscience d’un individu. L’âme porte l’ensemble des états et dispositions intellectuelles, morales, affectives qui forment l’individualité, autrement dit le « moi » profond. L’âme est liée à la conscience, à l’ego, mais aussi au coeur, à la raison et à l’intellect. Elle peut donc être attirée vers le bas (la matière) ou vers le haut (l’esprit).

Définition de l’esprit : L’esprit est le souffle vital et divin, Principe créateur. En réalité, l’esprit peut renvoyer à deux choses :

L’esprit en l’homme (avec un « e » minuscule), ou « noûs », correspond à la dimension spirituelle de l’être humain ; il spiritualise à la fois l’âme et le corps ; il est capable de s’ouvrir à Dieu.

L’Esprit (avec un « E » majuscule) est l’Esprit Saint, le Principe divin qui vient d’en haut.

Le schéma suivant permettra d’y voir plus clair :

corps âme esprit différence

Voyons plus précisément la différence entre âme et esprit.

Remarque : En alchimie spirituelle, âme et esprit sont intervertis dans leur définition.

La différence entre âme et esprit : définitions

Tentons les définitions suivantes de l’âme et de l’esprit.

L’âme : une médiatrice entre le corps et l’esprit

Un bon moyen de comprendre la différence entre âme et esprit est d’associer l’esprit au feu, et l’âme à l’eau, élément changeant qu’on peut retrouver sous trois états différents :

solide (attaché à la matière),

liquide (fluctuant, instable, souvent attiré vers le bas),

ou gazeux (associé à l’esprit).

L’âme est donc ce phénomène invisible et psychique, fait d’émotions et de pensées ; l’âme est par nature fluctuante et instable, balançant entre le corps et l’esprit.

L’âme est attirée vers le bas (monde de la matière) quand :

-elle s’attache à l’ego (orgueil, désirs, passions…),

-elle est soumise au mental non maîtrisé,

-elle est soumise aux déterminismes intérieurs et aux influences extérieures,

-elle ignore sa nature profonde.

Au contraire, l’âme est attirée vers le haut (monde de l’esprit) lorsque :

-elle s’appuie sur la raison,

-elle se détache du mental et de l’ego,

-elle se détache du passé et du futur pour s’arrimer dans le présent,

-elle cherche à se connaître elle-même,

-elle s’ouvre à la transcendance.

Il y a ici l’idée que seule la volonté peut permettre à l’âme de s’élever pour s’autonomiser par rapport au corps, cette prison de ténèbres et de passions. Seule une mort symbolique permettra cela. L’âme sera alors prête à accueillir l’Esprit saint : elle deviendra le temple de l’Esprit.

Dans le même ordre d’idée, les Grecs distinguaient plusieurs niveaux du corps et de l’âme :

-le soma (corps physique, physiologie),

-la psyché ou âme mortelle qui anime le corps (psychisme, sensibilité, désirs, humeurs…),

-le noûs, intellect ou raison, partie la plus divine de l’âme, en contact avec le divin. Le noûs peut être vu comme l’esprit en l’homme, l’intelligence active de la raison et du coeur, celle qui devrait guider l’âme. Le noûs est jugé immortel, du fait de sa participation au monde spirituel et divin. C’est par le noûs que l’homme est à l’image de Dieu.

Là encore, la psyché est associée à l’eau, au féminin et à la Lune, alors que le noûs est associé au feu, au masculin et au Soleil.

Sur un plan plus psychologique, la partie inférieure de l’âme pourrait correspondre au « moi », alors que la partie éclairée pourrait correspondre au « soi », l’objectif étant d’aller du moi vers le soi.

L’Esprit : le souffle divin

L’Esprit avec un grand « E » est le souffle divin, l’Esprit Saint, le pneuma, la force vitale qui donne la vie et qui est présente, bien qu’invisible et cachée, dans toute chose et tout être vivant.

L’Esprit saint est susceptible de toucher l’humain qui est prêt à le voir et à l’accueillir en ouvrant son coeur et son intellect. Il se manifeste par le logos (raison du monde, verbe, parole divine du Prologue de Saint-Jean).

L’Esprit saint, âme du monde, cosmos, est associé au feu pur de l’éther, subtil et chaud.


Où se trouve l’âme dans le corps humain ?

La philosophie hindouiste décrit la relation entre le corps, l’âme et l’esprit à travers les chakras, sortes de centres spirituels régulant l’énergie entre le corps, l’âme, la terre et l’univers.

Les chakras sont au nombre de 7 et correspondent chacun à un emplacement dans le corps : périnée, sacrum, nombril (plexus solaire), coeur, gorge, front et fontanelle (couronne)

dans une salle d'opération, nombreux sont les témoignages de patients "sortis de leur corps"
la réaction de l'équipe s'exprime par cette phrase :-"il ne faut pas le laisser partir" !