sept gares à Bilbao, il ne faut pas se tromper !
ça se passe gare d'Abando
la station majeure de la route des vitraux de Bilbao
voici le Mercato
c'est là qu'Alexandre Minda me donne un coup de main
avec un carton d'Arrue que je vous montre à nouveau demain
voici la plaja au Musée, avec deux sirènes sous deux espadons
au Musée maritime, il y a aussi ce vitrail qui montre mes chères chaloupes à vapeur
et des modélistes construisant leurs modèles
une immense verrière en ville
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Lege zara = tu es la Loi, sous l'arbre de la Connaissance |
mineurs ; agriculteurs, et pêcheurs basques
ils ont tous le type Basque, le nez basque, l'attitude farouche basque
ils font la tronche... basque
c'est dur d'être basque !
pour les touristes, c'est comme à Ibiza, c'est rigolo
mais pour les gens du coi, devant bosser dur, mine ou pêche ou labours
ça n'est pas marrant tous les jours !
alors, pour ceux qui prennent le train, l'immense verrière représente le peuple Basque
d'où que l'on arrive on tombe dessus
les vaches tirent les tombereaux
les rameurs rament, et les joueurs de pelote basque vont taper sur le fronton
là, c'est la mine
en haut, le ciel, la montagne et ses torrents ; les villages
je ne vous ai pas parlé de Guggenheim
car c'est la gare d'Abando et son immense vitrail qu'il faut voir d'abord
Alexandre Minda m'a fait découvrir d'autres aspects du pays Basque
je vous montre ... demain :
les couleurs du Pays Basque 3 !