Voici à nouveau non plus la Nature d'hier, mais Mère-Patrie, le sein droit dénudé, apparemment ses neuf gosses sont repus, aucun ne cherche à s'allaiter.... pour le moment ! On ne peut pas dire non plus qu'ils soient épanouis leur estomac rempli, ils ont l'air nostalgiques : -"était-ce mieux avant" ?
l'Abondance était-elle plus ... abondante ?
vous notez encore que plus on distribue de sous, moins les gens sont contents ?
Nos amis Anglais
continuent dans leur langue :
The Motherland painted in 1883 by William Bouguereau. The woman in this image represents Mother France nurturing her children. Her face is filled with resolution and a determined steadfastness to her cause. The nine children surrounding her look poor and in desperate need of her aid.
An incredibly large and
monumental canvas, a « statement piece » extraordinaire of French
master William Bouguereau called Alma Parens (The Motherland). This work is
undoubtedly one of the most significant paintings ever offered for post-Rafael
art. An unparalleled composition of an attentive mother to her children. This
painting illustrates why Bouguereau's masterpieces are so coveted by museum
curators and art collectors worldwide. Once owned by actor Sylvester Stallone,
who outbid Michael Jackson for this magnificent painting was sold by Sotheby's
in oct 1998.
Je précise que le tableau est énorme par ses dimensions (230 x 140cm), et a atteint la valeur de $15 millions dans la vente de New York.
A partir du moment où ce ne sont plus uniquement : Liberté, égalité, fraternité, mais "le bonheur pour tous par la consommation (à crédit) et un revenu universel décent", il est certain que la Répubique, Mère-Patrie, est de plus en plus contrainte face aux exigences (c'est là qu'il faut préciser "bien légitimes") de ses administrés-citoyens-électeurs.
Jésus reviendrait en Italie, pareil en Europe, voilà ce qu'il entendrait
nombre d'entre nous rêvent des temps anciens où l'homme (dominant) rendait heureuse sa meuf (savamment décoiffée) en lui offrant un ours des cavernes
voilà l'affiche de Quinsac à Bordeaux où "Dieu l'ordonne" ! |