vendredi 14 novembre 2025

Jean-Eudes Gannat et l'effet Streisand : les Ruraux se rebiffent !



Il m'arrive j'en conviens, de râler contre l'hégémonie que le Pouvoir a voulu confier aux Villes, dont la plus puissante est la Capitale, dans de nombreux domaines, dont celui de l'immigration : comment en effet à la fois favoriser l'immigration délibérément, (c'est apparemment la volonté du Président, même si les Français paraissent ne pas être si enthousiastes de perdre ainsi ce qui fait notre Nation), tout en évitant les tentes en pleine rue qui gênent la vue des Bobos parisiens, soucieux de conserver la valeur immobilière de leurs beaux quartiers, mise en cause par la misère-humaine déployée devant leurs balcons ?

Puisque le désert rural ne peut être résolu uniquement par le développement de la forêt, (notre Agvriculture étgant apparemment sacrifiée aux importations du Mercosur et autres voisins comme le Maroc) une solution simple apparait : faire émigrer les migrants dans Périphéria, dans les zones rurales, pire, dans les bassins de vie "hyper-ruraux", ne bénéficiant pas d'industrie, et faire en sorte que les Ruraux se saisissent de la question : intégrer les immigrés, leur donner du travail et un mode de vie rural, ce qui, il faut en convenir, n'est pas des plus facile ! 


Voilà qu'un jeune militant Jean-Eudes Gannat vient de subir une mésaventure judiciaire tristement révélatrice de la situation de la liberté d’expression dans notre pays. Résidant dans une petite commune du Maine-et-Loire, il a filmé et diffusé sur Tik Tok des réfugiés afghans « zonant » autour d’un centre commercial. Dans les heures qui ont suivi, il a été placé en garde à vue (pendant 48 heures !), poursuivi pour incitation à la haine raciale (avec pression sur sa famille) et placé sous contrôle judiciaire.

je re-découvre l'effet Streisand

L'effet Streisand est un phénomène médiatique qui se concrétise par une sur-diffusion d'une information qui était, à l'origine, sujet à censure ou retrait. La victime de ce phénomène obtiendra l'effet inverse de ce qu'elle désirait: l'information qu'elle voulait cacher sera propagée en masse.

L'expression « effet Streisand » fait référence à un incident survenu en 2003. Le millionnaire de la Silicon Valley et écologiste Kenneth Adelman prend une photographie aérienne du domaine privé de l'actrice et chanteuse Barbara Streisand ; l'image est diffusée via le site pictotpia.com. Barbra Streisand lance alors une action en justice, réclamant dix millions de dollars, afin d'empêcher la propagation de cette image.

Le blogueur Mike Masnick affirme que c'est lui qui a lancé l'expression « effet Streisand », en janvier 2005, à l'occasion d'une affaire d'urinoir : en Floride, l'établissement Marco Beach Ocean Resort avait demandé à la société urinal.net (un site consacré à des photographies d'urinoirs) de supprimer une photo d'un urinoir de cet hôtel, en déclarant qu'il était illégal d'utiliser ainsi son nom. Cette demande, là encore, ne fit qu'attirer davantage l'attention sur le rapprochement entre le nom de l'hôtel et urinal.net. À la suite de cela, Mike Masnick écrivit sur son site Techdirt :

« Combien de temps faudra-t-il avant que les avocats réalisent que le simple fait d'essayer de réprimer quelque chose en ligne qu'ils n'aiment pas risque de faire en sorte que quelque chose que la plupart des gens ne verront jamais, jamais (comme la photo d'un urinoir dans une station balnéaire quelconque), soit maintenant vu par beaucoup plus de gens ? Appelons cela l'effet Streisand. »

j'en reviens à la garde à vue de Jean-Eudes Gannat

En l’occurrence, de toute évidence, ce qui est reproché à Jean-Eudes Gannat est d’avoir montré la réalité de ce « saupoudrage » de l’immigration jusque dans les campagnes les plus reculées (évidemment, dix immigrés dans un village, ne font pas la une des grands médias).

Or, sa garde à vue et le vaste mouvement d’indignation devant le traitement qui était réservé à ce jeune homme ont rendu la réalité de l’immigration contemporaine accessible à tous. L’indignation a sans doute même retenu le procureur qui prévoyait, semble-t-il, de le juger en comparution immédiate et qui a finalement opté pour un « simple » contrôle judiciaire. C’est évidemment déjà scandaleux pour une vidéo se contentant de décrire le réel (et l’exaspération des autochtones), mais c’est nettement en retrait de la comparution immédiate.

Ce rôle des réseaux sociaux, à la fois dans la révélation du réel (que les oligarques et les médias de grand chemin à leur solde voudraient occulter) et dans la défense des lanceurs d’alerte, est bien sûr ce qui conduit Emmanuel Macron à vouloir en interdire l’utilisation comme source d’information alternative. Cassons le thermomètre pour cacher la maladie! Mais il est déjà trop tard. Bien sûr, les moyens de coercition d’Emmanuel Macron, grand admirateur du « contrôle social » chinois, sont gigantesques – et peuvent broyer les simples citoyens qui auraient le tort de vouloir penser par eux-mêmes. Mais le monde entier voit ce que « Jupiter » prétend faire et il y a fort à parier qu’un Elon Musk, à la tête de Twitter, ou un Pavel Durov, à la tête de Telegram (peut-être même un Mark Zuckerberg, à la tête de Facebook), refusent cette censure d’État et offrent aux dissidents de puissants moyens d’y résister.

Messieurs les censeurs, nous n’avons pas encore gagné, mais vous avez déjà perdu !

Accusé d’« incitation à la haine raciale » pour une vidéo TikTok anodine, Gannat incarne le dernier avatar d’une répression judiciaire acharnée contre les voix dissidentes. Père de famille, militant catholique enraciné et cofondateur du Mouvement Chouan, Jean-Eudes n’est pas un raciste : il est un patriote qui ose nommer ce que des millions de Français constatent au quotidien dans nos campagnes. Et pour cela, on le traîne en justice comme un criminel.

j'en découvre des choses ...à mon âge !

je découvre le signataire des lignes qui suivent : Pierre Herblais


vous avez compris : "le référent de Reconquête" en Mayenne... c'est lui ! 

quant à Reconquête, c'est le Mal-absolu : Eric Zemmour, pire, Sarah Knafo, qui explique que l'on peut diminuer les impôts, en supprimant des dépenses ! 

...- "diminuer les dépenses" ? ?

le Budget de Sarah Knafo est révolutionnaire : il casse tous les privilèges mis en place par le Pouvoir, les places gardées pour les Copains et Copines divers, à la télé d'Etat aux salaires indécents, dans les Agences diverses, les ONG, toutes les strates de la Société, là où les gabegies, voire les intérêts contraires à ceux du Pays s'exercent sans contrôle ni utilité

Reconnaissez qu'un tel raisonnement est vicieux, carrrément balsphématoire, car justement on peut et doit faire payer davantage les Riches, qu'ils soient Ultra et aussi tous ceux qui dépassent 4000€ par mois. Voilà pour les recettes.

... et s'agissant des Dépenses, on doit maintenir notre train de vie, nos Palais dorés ; notre Mille Feuilles territorial, nos retraites à 60 ans, notre train de vie de santé sans aucune franchise, la pouvoir d'achat de nos immigrés justement, leurs retraites à eux aussi, qui fait notre Modèle Mondial, j'oublais les retraites des morts Algériens, qui profitent à leurs familles à Alger...tout cela en posant des éoliennes partout, en construisant un second porte-avions Charles de Gaulle ; en créant une armée de drones ... et en armant l'Ukraine

donc les propos qui suivent sont ceux de Pierre d’Herbais...

... que je découvre, encore une découverte

il tient à l'évidence des propos, j'ai trouvé le terme : "séditieux"

tant pis, je répète ses propos : "entre guillements"

"Rappelons les faits, sans fard ni complaisance. Le mardi 4 novembre, Jean-Eudes publie une courte vidéo sur TikTok. On y voit un parking banal devant un supermarché Leclerc à Segré, en Maine-et-Loire – la ville où il a grandi, un coin de France profonde, paisible en apparence. Devant l’entrée, un groupe d’hommes afghans, en tenue traditionnelle, assis par terre. « Toujours au Leclerc en train d’acheter de la bouffe, à rien branler », dit-il crûment. Pas de violence, pas d’appel à la haine : juste une description brute d’une réalité qu’il dénonce comme symptomatique de l’immigration incontrôlée dans les campagnes françaises.

"Après avoir vu la vidéo, je peine à comprendre comment on peut y voir une incitation à la haine raciale. D’après moi, il n’y a pas matière à poursuite. Mais la justice tranchera — encore faut-il qu’elle le fasse sereinement, sans céder à la pression idéologique.

c'est ainsi qu'est né le #MontronsLeRéel : en Bretagne, filmer le réel c'est montrer la réalité de "l'effet islamique"

"Le réel, c’est la file d’attente de la CAF, le bus du matin, la cour de récréation, la salle d’attente d’un hôpital public, la promenade du dimanche dans une ville où l’on ne reconnaît plus ni les visages, ni la langue, ni les coutumes. On nous dit : “Ce sont des Français comme vous et moi”.  Certes, ils ont pour une partie d’entre eux les mêmes papiers administratifs, pour une partie seulement. Mais à force de changer de peuple, ce n’est plus l’Europe, ce n’est plus la Bretagne, ce n’est plus la France.

"Des millions d’étrangers, légaux ou non, errent dans nos rues, hébergés, nourris, encadrés par des associations subventionnées pendant que les autochtones, eux, payent, se taisent, et surtout n’ont plus le droit de protester."

"Mercredi 5 novembre, les gendarmes le convoquent. Garde à vue. Le parquet d’Angers, qui suit Jean-Eudes depuis des années, y voit une « incitation à la haine raciale ». Pourquoi cette précipitation ? Pourquoi cette comparution immédiate est-elle requise, réservée aux délits flagrants ? Parce que décrire le réel est devenu un crime quand il dérange le narratif officiel. Parce que Jean-Eudes n’est pas n’importe qui : ex-leader de l’Alvarium – dissous en 2021 pour ses positions identitaires –, il reste une épine dans le pied d’un système qui préfère ignorer le chaos qu’il a engendré.

"On peut accuser Jean-Eudes de militantisme radical, d’actions « coups de poing » au sein du Mouvement Chouan ou de l’Alvarium – ces groupes qui, comme je l’écrivais en mai 2024 dans Mayenne Aujourd’hui, portent une voix marginale mais résolue contre un paysage politique déconnecté. Des manifestations contre l’immigration massive, des campagnes pour l’héritage culturel des régions, un plaidoyer pour les valeurs familiales et traditionnelles : voilà ce qui motive ces rebelles, inspirés des Chouans de 1793.

"Jean-Eudes m’avait confié alors : « L’offre politique reste décevante, déconnectée des citoyens ordinaires. Nous voulons labourer la terre politique, être proches de notre communauté. » Et pourtant, pour ces actions, c’est la justice qui les laboure : gardes à vue, condamnations, dissolutions. Une justice qu’ils perçoivent comme partiale, indulgente envers les voyous et impitoyable envers les patriotes.

"Accuser Jean-Eudes de racisme ? C’est absurde. Sa famille, comme le montre le film Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu ?, est un modèle d’ouverture : mariages mixtes chez ses frères et sœurs, ouverture aux autres cultures sans renier la nôtre. Lui-même, catholique fervent, défend une France enracinée, pas une haine aveugle. Sa vidéo n’appelle pas à la violence ; elle interpelle sur une situation politique : l’arrivée massive de migrants dans des territoires déjà fragiles.

Montrer le réel : les violence masculines

"À Segré, comme dans tant de villages, les parkings deviennent des zones d’attente, les traditions s’effritent, et les habitants se sentent abandonnés. Décrire cela, est-ce un crime ? Quid de la liberté d’expression, ce pilier de notre droit, gravé dans l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen ? Quid du débat des idées, que la presse – empressée de coller l’étiquette « extrême droite » ou « raciste » – étouffe sous un linceul de bons sentiments ?

"Cette affaire n’est pas isolée. Elle s’inscrit dans une traque systématique : depuis la dissolution de l’Alvarium, Jean-Eudes accumule les ennuis judiciaires pour des faits mineurs. La presse, elle, titre sans nuance sur « l’ex-leader de l’Alvarium en garde à vue pour incitation à la haine », sans un mot sur le fond : l’échec patent d’une politique d’immigration laxiste qui bouleverse nos campagnes.

"Aujourd’hui, devant le tribunal d’Angers, Jean-Eudes Gannat ne sera pas seul. Ses camarades du Mouvement Chouan, de l’Oriflamme et du RED seront là pour rappeler que la France n’est pas qu’urbaine et cosmopolite : elle est aussi rurale, enracinée, et en droit de s’exprimer. Filmer la réalité n’est pas haïr ; c’est alerter.

Si le parquet gagne, c’est la France entière qui perd : une dictature douce où le réel devient tabou, où les campagnes sont muselées pour plaire aux élites parisiennes.

***

Nous sommes le 12 novembre, lendemain du Souvenir des morts des guerres qui ont tué tant de nos soldats, dépeuplant nos campagnes, explosant l'Exode Rural 

Le Président est prêt à tout pour éviter que le Peuple s'exprime avant mai 2027 : sa réforme sur les retraites, censée répondre à l'équation impossible : plus de retraités, moins de travailleurs pour y faire face, on paie les retaites avec la dette : pour donner satisfactin aux Socialistes au squore électoral pourtant bien faible, il laisse le Premier Ministre "suspendre" une réforme accouchée dans la douleur : coût pour 2026 : 3 milliards... de plus ! Nous n'en sommes plus à trois milliards de plus : déjà que le réchauffement climatique entraine des périls naturels augmentés, le péril financier va finir par nous appauvrir et déclasser tous, lui aussi ! 

Le Président joue donc la France qui fonctionne : il se rend à Toulouse, la ville de l'aérospatiale. Il veut profiter de l'ambiance de l'Airbus, renouvelant le pastel de l'époque qui a permis d'édifier les Palais de la Ville Rose.

Mais à Toulouse, un agriculteur veille. Il avait mené les conversations avec le Premier ministre Attal, et avait obtenu des promesses. La promesse de ne pas signer le traité du Mercosur parait oubliée ?


toute la France le connait : il s'agit de Jérôme Bayle

aux élections aux chambres d'Agriculture, son mouvement a été élu

Va-t-il être mis en garde à vue pour bloquer Toulouse ?

Annie Genevard est la ministre de l'Agriculture, de l'Agro-alimentaire et de la Souveraineté alimentaire. Nommée le 12 octobre 2025, elle porte ce titre ronflant intégrant le mot Souveraine. Il y a longtemps que nous ne sommes plus souverains, en volailles, oeufs, viande, fruits et légumes, cntraints à autoriser des nicotinoïdes pour produire nos betteraves, et spectateurs de la baisse de la consommation de vin mettant en cause nos amis Bordelais.

Va-t-elle dire à Jérôme que les campagnes, demain, vont être sauvées

 par le peuplement d'immigrés ...

... et l'importation de viande sud-américaine, remplaçant notre race Gascogne ?

je crains que ça se passe très-mal :

si elle désobéit au Président : 

va-t-elle être, elle aussi, mise en examen ?



dernière minute : les promesses n'engagent que ceux qui les croient


apparemment Jérôme n'aime pas qu'on le "prenne... par derrière" ?


sûr : les Ruraux se rebiffent

ils ne supportent plus les mensonges d'Etat :

on en a marre ! 




mercredi 12 novembre 2025

Je suis prêt

 

En fouillant sur ebay.com, les objets à vendre aux Etats Unis, dès fois que je tomberais sur une vieille pîèce détachée de Chrysler, cela m'arrive, je tombe sur ce badge émaillé, avec sa devise en langue française... comme s'il venait d'Angleterre, encore influencé par notre Langue, introduite par mon compatriote Guillaume... Guillaume le Conquérant, celui dont la Reine et maintenant Charles III ont retenu la devise : "qui s'y frotte s'y pique" ! 


Je suis prêt ! 

cette devise me trouble, car elle ne ressemble pas à celle des Scouts

be prepared

toujours prêt

La devise des scouts est une expression caractéristique des scouts depuis la création du scoutisme par Lord Baden-Powell en 1907 et déclinée dans les diverses langues. La plupart des associations membres de l'organisation mondiale du mouvement scout et de l'association mondiale des guides et éclaireuses la partagent, avec des variations de sens plus ou moins importantes.

En français, cette devise est, le plus souvent "Toujours prêt". En Angleterre, la traduction est Be Prepared, ce qui peut être aussi abrégé par BP, soit les initiales de Baden-Powell, ce qui n'est pas une coïncidence.

Dans la troisième partie d'Éclaireurs, Robert Baden-Powell explique le sens de cette phrase :

« The Scout Motto is: BE PREPARED which means you are always in a state of readiness in mind and body to do your DUTY.

Be Prepared in Mind by having disciplined yourself to be obedient to every order, and also by having thought out beforehand any accident or situation that might occur, so that you know the right thing to do at the right moment, and are willing to do it.

Be Prepared in Body by making yourself strong and active and able to do the right thing at the right moment, and do it. »

On peut traduire cela par :

« La devise scoute est : SOIS PRÊT, ce qui signifie que tu es toujours en état d'agir, dans ton corps et dans ton esprit, pour faire ton DEVOIR.

Sois Prêt dans ton Esprit par ta discipline personnelle et en étant obéissant à tout ordre, et en étant paré à toute éventualité potentiellement problématique, de sorte que tu saches quoi faire à quel moment, et fais-le s'il le faut.

Sois Prêt dans ton Corps en te faisant fort et actif, en te rendant capable de faire la chose juste au bon moment, et fais-la s'il le faut. »

« Fais la chose juste au bon moment » est un propos qui peut être extrême. Baden-Powell donne l'exemple du contexte de guerre où l'Angleterre se trouvait, lors de la création du scoutisme :

« BE PREPARED to die for your country if need be, so that when the moment arrives you may charge home with confidence, not caring whether you are going to be killed or not »

« SOIS PRÊT à mourir pour ton pays si besoin est, de sorte que quand le moment arrivera, tu chargeras avec confiance, sans te soucier de si tu vas mourir ou non. »

« Where a man has gone so far as to attempt suicide, a Scout should know what to do with him. »

« Quand un homme est allé aussi loin, qu'il a tenté de se suicider, un Scout doit savoir quoi faire avec lui. »

comme il y a une Madame Powel, elle a un commentaire pour les femmes :

Le premier ouvrage destiné aux femmes scoutes, How Girls Can Help to Build Up the Empire, écrit en mai 1912 par Agnès Baden-Powell, explique lui aussi cette devise :

« The motto of the Girl Guides is "Be Prepared". Why is this? It is because, like the other Guides, you have to be prepared at any moment to face difficulties and even dangers by knowing what to do and how to do it. »

« La devise des Guides et Éclaireuses est « Sois prêt ». Pourquoi ? C'est parce que, comme les véritables guides, tu dois être prête, à tout moment, à faire face aux difficultés et aux dangers et tu dois savoir quoi faire et comment le faire. »

***
il existe une interprétation chrétienne, oubliée cela va sans dire :


C'est l'Évangile selon  Saint-Luc XII, v.40 : et vos estote parati, quia QUA HORA NON… 

– "et vous, tenez-vous prêts, car vous ne savez à quelle heure le fils de l’homme viendra…"

pour nous c'est différent, cela fait deux mille ans qu'il est venu,
et nous a laissé ses commandements
notre Société non seulement les a oubliés, mais les réfute, ce qui est à l'origine de l'ensauvagement actuel, même les Forces de l'Ordre n'osent plus faire jouer leur Autorité

***

Vous voyez bien la nuance : toujours prêt, c'est être disponible pour faire son devoir, et en cas de guerre êtrre prêt à mourir pour sa Patrie. Mais être capable d'affirmer : "je suis prêt", et l'écrire en Majuscules : "JE SUIS PRET", pour moi c'est carrément s'affirmer, à soi-même, et par voie de cnséquence aux autres, (dont ses ennemis), qu'on est prêt mourir.

Le colonel Beltrame était prêt :

il a donné sa vie pour l'échanger avec la vie d'une otage

il n' a pas hésité, il était entrainé

il s'était entrainé.

Je cherche, et je cherche, qui peut être le Chevalier, forcément puisqu'il a un blason, et des pensées élevées, un Chevalier qui se serait entrainé comme le faisaient les Templiers avant d'aller aux Croisades, pour défendre ses Idées, ses convictions, sa Religion car il faut ce genre de valeurs pour justifier de les défendre ardemment, jusqu'à la mort.

On apprennait cela en faisant son Service Militaire, en côtoyant les Officiers qui répètent et méditent ces paroles, en préparant le risque de mourir avant l'âge calculé par les Statisticiens comme l'âge moyen où l'on meurt "normalement" de vieillesse

en ce moment, cet âge est pour un homme de 79,4 ans
pour une femme de 85,3.


Quand je me rends sur les pages de l'INSEE, je trouve des chiffres vieux de ...7 ans ! "En France, en 2018, l’ espérance de vie à la naissance est de 85,3 ans pour les femmes et de 79,4 ans pour les hommes. L’espérance de vie avait reculé en 2015 pour les femmes comme pour les hommes. Depuis, elle n’a jamais régressé pour les hommes et dépasse désormais le niveau de 2014 : les hommes ont gagné 0,2 an d’espérance de vie depuis 2014. Ce n’est pas le cas pour les femmes, dont l’espérance de vie a reculé en 2017. Cependant, l’espérance de vie des femmes en France est l’une des plus élevées de l’Union européenne. En 2016, seule l’Espagne (86,3 ans) devance la France. En revanche, la France n’est qu’en neuvième position pour l’espérance de vie à la naissance des hommes". 

Outre Madrid, l'Espagne classe trois autres régions parmi les 10 plus favorisées de ce point de vue-là : la Navarre (85 ans), Castille-et-León (84,9) et le Pays Basque espagnol (84,7).

Je ne regrette pas d'avoir choisi de vivre en Comminges : à défaut de vivre au Pays Basque, le fait de manger comme là-bas, de boire à l'apéritif de la Sangria toute l'année, de manger du poisson, du jambon de porc-noir avec du gras, et plein de légumes dont l'oignon et l'ail en quantité, ne peut faire que du bien. En parallèle, il est évident que la médecine préventive aide aussi, en simultané avec la marche à pied !

Mais vous reconnaitrez que, quand vous approchez de l'âge fatidique de 85 ans, donc celui de l''espérance de vie maximale, et que vous embrassez la carrière (à rissques) de centenaire, pourtant réussie par beaucoup aujourd'hui, vous devez préparer votre avenir.

L'avenir vous est dicté en permanence par votre Banquier : le mien est plein de  bon sens-vert, a des Succursales dans les campagnes, et me dit d'abord qu'il ne peut me consentir un prêt à partir de 80 ans. Ce serait trop risqué pour lui de me faire un prêt disons de 5 ans, et d'atteindre le chiffre sacré de 85 ans qui est présumé comme celui statistiquement difficile à dépasser : la peine, pardon Robert Badinter, est bien la peine de mort. Ce n'est pas la Justice cette fois qui l'administre, mais c'est la Vie qui vous éteint.

Ensuite, ma Banque a une peur terrible que je laisse un découvert à mes héritiers quand je vais mourir : elle m'a donc précédemment incité à verser dans une urne une petite somme tous les mois, pour faire face aux frais d'inhumation : je voudrais un simple cercueil de Pin Sylvestre, des poignées en fer qui rouille, une croix en pin posée dessus. Une cérémonie sobre dans une chapelle, il y aura disons dix personnes, et on entendra Nadau chanter : Marie. J'ai écrit tout cela dans mon testament, remis officiellement à Pacifica-Obsèques, qui dispose aujourd'hui de quatre mille Euros TTC, ce qui n'est pas bien gros, mais il faut dire que j'ai loué il y a bien longtemps un magnifique Monument Funéraire Romain, digne d'un Centurion, il est vrai pour une durée de cinquante années seulement. Après, viendra un autre locataire.

Alors puis-je dire : Je suis prêt ?

Je m'entraine assez, pour espérer pouvoir le penser, et donc me l'avouer

l'avantage est énorme sur le plan psychique :

si en effet on peut se dire résolu devant cette extrêmité, qui a été vécue précédemment par nos parents, grand-parents, amis chers, voisins...on n'a plus peur de mourir

ne plus avoir peur de mourir libère l'esprit, évidemment

l'esprit libéré peut se consacrer à l'instant présent

et vivre davantage l'instant présent rend plus à même d'en goûter tout le sel, l'arôme, le goût, la Beauté

et là évidemment, le Bonheur approche, avec l'Accomplissement

au lieu de briller, comme si l'on portait des leds allumés
et de parader derrière les micros comme le fait le Président

on peut réussir à rayonner

sans avoir à rien dire

c'est ce qui est arrivé au Chevalier Ecossais Simon Fraser car évidemment je l'ai trouvé :

En Anglais : "Coat of arms of Simon Frazer, as blazoned in the Caerlaverock Poem (K-054: "Symon Fresel") "Le ot noire a rosettes de argent." Arms: Sable, [six] roses [cinquefoils] argent. (The number of roses is not specified, but the Falkirk Roll states six.)
J'apprends ci-dessous qu'il ne s'agit pas de "roses", mais de fleurs de "fraisier", allusion à "Fraser"

5 pétales, en latin Fragaria

Simon Fraser d'Oliver et de Neidpath est un chevalier écossais qui a participé à la Première guerre d’indépendance de l'Écosse, ce qui conduisit à son exécution en 1306 sur ordre du roi d'Angleterre Édouard Ier.

Simon Fraser d'Oliver Blinn' Castel hérite des terres situées autour de Peebles à la mort de son père Simon en 1291 et de la fonction familiale de sheriff de Tweeddale et demeure loyal au roi d'Angleterre jusqu'en 1296

Toutefois, il sert le roi d'Écosse Jean Balliol lorsqu'Édouard Ier envahit l'Écosse en 1296. Fait prisonnier à la bataille de Dunbar, il est emprisonné en Angleterre. Il est libéré en 1297 et accompagne Édouard lors de son expédition en Flandres. Ses terres lui sont restaurées le 27 mars 1299. En 1300, il assiège le château de Caerlaverock pour le compte d'Édouard.

Il rallie cependant les Écossais hostiles aux Anglais en 1301. Il est ainsi l'artisan de la victoire écossaise aux côtés de John III Comyn lors de la bataille de Roslin en 1303. Il refuse de se soumettre à Édouard lorsque Comyn abandonne la lutte en janvier 1304. Il combat ensuite avec William Wallace lors de la bataille de Happrew la même année puis se cache.

Après l'avènement de Robert Bruce le 25 mars 1306, Fraser poursuit la lutte contre Édouard mais est défait lors de la bataille de Methven le 19 juin. Capturé peu après près de Stirling, il est transféré à Londres où Édouard le condamne à être exécuté par hanged, drawn and quartered le 7 septembre 1306 

pendu, traîné et écartelé

mais ce n'est pas terminé : il y a les Lovat ! 

Lord Lovat est un titre dans la pairie d'Écosse, similaire au rang de baron, créé en 1458 en faveur de Sir Hugh Fraser, 8e de Lovat.

je me dois de vous faire court, car nous en sommes de nos jours au ...18 ème ! !

Je dois citer le brigadier-général Simon Fraser, le 15e lord Lovat (1911–1995), qui se distingua durant la Seconde Guerre mondiale, particulièrement au débarquement de Dieppe et celui du 6 juin 1944 puis la bataille de Normandie : le brigadier Fraser commandait la 1re brigade de commandos britanniques débarquant sur Sword Beach.

Aujourd'hui, les titres familiaux sont détenus par son petit-fils, Simon Fraser (né 1977), seizième et actuel lord Lovat, qui lui succède en 1995. L'homme politique conservateur, Sir Hugh Fraser (1918–1984), était le plus jeune fils du 14e lord, et Sir Ian Fraser (1923–2003), président de Rolls-Royce Motors, celui d'Alastair Fraser et de sa femme lady Sybil Grimston.

Les numérotations seigneuriales du clan Fraser diffèrent de la numérotation légale, ignorant la disparition du titre de 1747 à 1854, ce qui fait que le 16e lord est désigné « 18e lord Lovat ».


Une autre célèbre contemporaine de cette famille est Honor Fraser, mannequin et sœur aînée du 16e et actuel lord Lovat ; son frère puîné l'héritier présomptif au titre est Jack Fraser, maître de Lovat.

le blason devient ainsi : Fraser of Lovat

Blazon: Quarterly 1st & 4th Azure three fraises Argent 2nd & 3rd Argent three antique crowns Gules.

***

ma découverte sur ebay.com est donc celle d'un blason complexe

- le clan écossais Fraser of Lovat 
- surmonté d'un Heaume de Chevalier portant une tête de cerf-hilare
- avec dessous la devise :
Je suis prêt

il existe au Canada la Fraser Université


"Écartelé, aux un et quatre d’azur à trois quintefeuilles d’argent, aux deux et trois d’argent à trois couronne antiques de gueules, le tout enclos dans une bordure écartelée d’argent et de gueules, au chef de gueules chargé de trois livres ouverts au naturel, la tranche d’or, reliés du même"

Les armes nouvellement concédées reprennent le dessin original avec trois livres en chef qui symbolisent les trois campus de l’université. Les autres éléments sont basés sur les armoiries des Fraser de Lovat, d’où vient le nom de l’université, par le biais des Fraser de Culbokie. Les quartiers bleus avec fleurs de fraisier blanches (« fraisier » rappelant toujours le nom Fraser) sont les armes des Fraser, tandis que les quartiers blancs avec couronnes rouges sont les armes des Lovat.

La devise est une variation de celle du clan Fraser. Elle symbolise la disposition des étudiants et du corps professoral à l’égard des études, de l’enseignement et de la recherche.

tous ces gens se disent prêts

je crois que le Christ était prêt lui aussi

c'est pour cela que son exemple et son héritage sont si fondamentaux

je m'efforce d'être prêt

si cela peut mettre un peu de temps, je ne ne suis pas pressé


en ai-je toujours envie ?

ou me contentè-je de celui-là ?


j'ai craqué, je l'ai commandé hier
ce sera mon Noël perso

le Kyrye Eleison des Gueux me semble approprié pour enjoliver la (future) cérémonie

lundi 10 novembre 2025

Le Baleinier San Juan lancé à Pasaia : la Gloire des Basques !

 















aujourd'hui, seul le Grand canot représente l'Hermione encalminée dans sa cale
bien entendu, pas question de dériver quoi que ce soit des crédits disponibles pour Notre Dame
ni la TVA récupérée virée pour laisser béant le trou de la Sécu
encore moins vendre l'Hermione aux ....Américains ? aux 
Basques ?

l'Hermione à Pasaia

Vous avez compris que je détourne volontairement les yeux du spectacle effarant de l'Assemblée nationale, forcenée à détruire notre pays déjà malmené par l'Europe et autres Empires, pour rechercher et trouver, il y en a beaucoup, tous les pays qui conservent leur foi en l'avenir. La capacité d'inventer, de construire, et de conserver une harmonie sociale liée au maintien de valeurs communes, basées sur leur Histoire, des coutumes, des vêtements, des chants, un savoir-faire. Les pays maritimes conservent cette foi en la vie : la Bretagne ; les îles ; la Corse ; nos Pays d'Outre-mer....l'Espagne dont la Catalunya... et le Pays Basque ! 

J'ai une attraction particulière pour Pasaia d'où est parti Lafayette avec l'Hermione, tout en rappellant que Lafayette était poursuivi par la police française (déjà) et qu'il n'a pu partir sauver les Amériques qu'en partant d'un port étranger, donc libre, Pasaia au Pays Basque, pas si loin de Bayonne. Victor Hugo y est passé ensuite, et puis nous, avant le Covid !


Pendant que l'Hermione continue de pourrir tout doucement dans le bassin de radoub de Bayonne, et que les derniers résistants emmènent le canot voguer pendant les fêtes voisines pour tenter de faire vivre la frégate. Ou bien démontent le lion figure de proue, pour le faire voir dans les festivaux maritimes, les Espagnols, eux, poursuivent leur grand-oeuvre : la reconstitution d'un Baleinier du XVIè siècle, qui a l'allure des navires de Christophe Colomb : au lieu de Santa Maria, le nom a été vite re-trouvé : le San Juan. 



En 1563, le San Juan, construit dans les mêmes chantiers navals de la baie de Pasaia, en Guipúzcoa, hisse les voiles direction Terre-Neuve. Il est l’illustration des premiers cargos transatlantiques destinés à la pêche à la baleine, reflet également de l’hégémonie mondiale de l’industrie navale basque de l’époque. Deux ans plus tard, victime d’une violente tempête, le navire sombre dans les eaux glacées des côtes canadiennes. Ses marins sont sauvés par des équipages alentour. Le bateau, lui, restera endormi durant plus de quatre siècles. Jusqu’à ce qu’en 1978, une équipe d’archéologues canadiens localise son épave à Red Bay, à une dizaine de mètres de profondeur, il faut préciser les recherches de l’historienne Selma Huxley et les campagnes du Service d’archéologie subaquatique de Parcs Canada, dirigées par Robert Grenier. Un travail de fouille sans précédent débute alors. Les pièces de la structure du bateau sont retirées une à une, ainsi qu’une chaloupe baleinière découverte coincée sous la nef. L’épave se révèle en très bon état, le bois et même certaines cordes sont dans un état de conservation exceptionnel. L’inventaire et l’étude de milliers de pièces ont permis de définir précisément la forme de la coque et les techniques de construction du XVIe siècle, faisant du San Juan une référence internationale pour l’archéologie sous-marine. Albaola a entamé la construction de la réplique scientifique après avoir reçu le rapport détaillé réalisé par Parcs Canada.

A l’initiative d’un basque passionné par cette histoire, Xabi Agote est créé, après 30 ans d’études et de travail, une maquette du San Juan, et l’ensemble archéologique est alors désigné patrimoine de l’humanité par l’UNESCO.



La fondation maritime basque Albaola, dont la principale activité réside dans la construction d’embarcations historiques, prend alors le relais de cette recherche, toujours sous l’impulsion de Xavi Agote et décide de redonner vie à ce navire emblématique. Cette association forme également des charpentiers de marine venus de tous les pays (il y a même des bretons !).


Ces baleiniers, ramenaient la graisse de baleine en Europe. Celle ci servait essentiellement de combustible, notamment pour les lampes. Elle était à l’intérieur des 1000 tonneaux qui lestait plusieurs étages de stockage. A l’inverse des marins qui étaient au dernier étage dans une promiscuité hygiénique et morale probablement très dure. Alors que leurs armateurs étaient réellement très riches et influants.

Les marins, une fois sur place, chassaient les baleines à la chaloupe, les ramenaient au bord ou elles étaient dépecées. Les campagnes duraient environ 9 mois.





La construction de la réplique du San Juan, sur la base de ses vestiges sous-marins, a débuté 2014, à l’endroit même où le baleinier avait été construit il y a 450 ans, dans la baie de Pasaia

Tous les jours, une dizaine de charpentiers mesurent, taillent, poncent et scient les pièces en bois qui constituent le navire de 28 mètres de longueur et 7,5 mètres de large pour un poid de 100 tonnes.

 Les outils ont évolué, mais les méthodes de fabrication restent les mêmes. Albaola souhaite fabriquer la réplique la plus fidèle possible, en utilisant les mêmes matériaux que ceux de l’époque: bois de hêtre pour la quille, bois de chêne pour le reste du bateau.

Le projet, d’un montant de plus de 3 millions d’euros, est financé en partie par la fondation en charge de « Donostia/Saint-Sébastien Capitale Européenne de la Culture 2016 ». Albaola a lancé par ailleurs, via un système de crowfunding, un appel aux entreprises et particuliers qui peuvent parrainer le navire en achetant une des pièces du bateau.


la chaloupe baleinière, inspiratrice des bateaux de course d'aujourd'hui


La mise à l’eau de la coque clôt la phase terrestre et elle marque le début de la phase de construction à flot, qui se déroulera entièrement dans la baie de Pasaia. Cette phase vise à rendre le navire navigable et à effectuer l’équipement complet du bateau sur l’eau : environ 4 km de cordages, 2 jeux de voiles (600 m² chacun), ancres forgées, chaloupes baleinières, chaudrons en cuivre, tonneaux et autres équipements, tous reproduits avec les matériaux et les techniques d’époque pour constituer un galion basque du XVIe siècle, réalisé avec la plus grande rigueur historique.



Un Saint chrétien, pour bien proclamer leurs racines chrétiennes, la volonté de privilégier l'amour, plutôt que la charia. Nos amis Basques se souviennent de la Reconquista, pendant que nous sommes (dixit Philippe de Villiers) le seul pays du monde (et de l'Histoire) à faire entrer, à nourrir, à soigner gratis, les envahisseurs-immigrés-ennemis jurés chassés autrefois à Poitiers, qui envahissent sur notre demande nos villes et nos campagnes. Mais attention, le constater vaut de nos jours une mise en examen, si je me faisais mettre en tôle au moment où Sarkozy est remis en liberté, ce serait dommage (pour moi).

il suffit souvent d'un passionné pour que tout se déclenche : Xabier Agote, l’homme qui a eu l’idée de se lancer dans ce pari fou.

Des milliers de personnes ont assisté ce vendredi 7 novembre à Pasaia aux premiers pas dans l’eau du bateau basque, reconstruit à l’identique au sein de la Faktoria Albaola. Un chantier de onze ans, pour une bouleversante résurrection patrimoniale.



tout Pasaia est là ! 




la coque sans ballast est très haute : on comprend pourquoi le Wasa s'est retourné à l'époque tellement le centre de gravité peut être trop haut. Pourtant, il est déjà rempli de cailloux, mais il manque les tonneaux pleins de graisse de baleine !




Le temps s’étire, nouant les gorges un peu plus, centimètre après centimètre. Il est 17 h 15, ce vendredi 7 novembre 2025, dans la baie de Pasaia. La coque nue du « San Juan » s’avance vers l’Océan à la vitesse d’un escargot frileux. Le silence des hommes accompagne cette première mise à l’eau. Seul le régulier et lancinant micro-fracas des vagues s’invite en bruit de fond. Difficile de faire instant plus solennel. Au bout de deux minutes trente d’apnée émotionnelle, un autochtone n’y tient plus et rompt bruyamment le mutisme ambiant : « Eskerrik asko Xabi ! ». Merci Xabi ! Les cœurs respirent et les mains claquent en rythme. Depuis le pont, Xabier Agote sourit, l’air pénétré. À quoi pense-t-il alors ? Peut-être au moment où son « bébé » n’était qu’une folle idée embryonnaire. C’était en 1985. Il y a quarante ans. A l'époque on construisait le San Juan en six mois !

La réussite tient dans l'opiniâtreté,

dans la poursuite continue de réaliser l'objectif initial dans le temps

c'est toujours ce qui a construit les nations

c'est quand elles décrochent que s'effondre l'Empire romain

c'est comme cela que l'Europe de Madame Van der Leyen s'effondre quand personne ne veut le voir

et que notre Président qui a décidé de -"lâcher le manche" préside à notre abaissement...

...avec  Bruno Lemaire, Professeur émérite d'éconimie, qui le lâche publiquement.

La revanche, pour les Résistants, va tenir dans le Local, dans Périphéria

une fois encore, se lèveront les Gueux, les Paysans, et les Marins

je m'honore d'en faire partie

sur Terre

et sur Mer

il m'est plus facile de me mettre au Basque qu'au Chinois

pas si difficile de se mettre à naviguer


on trouve même des meufs comme en avait trouvé Victor Hugo pour vous initier :

voici Mathilde

Mathilde n'a pas froid... (aux yeux) ! 

pour faire des sacs de noeuds, il suffit de tourner la manivelle

sur un navire à voile, tous ces sacs prennent un ordre impeccable
il faut un Patron, qui tienne le navire, en étant responsable :
quand finira-t-on par mettre des Marins à la tête des Nations ?

celui-là a des canons, mais c'est le même style ... la Grande Armada

PS : Pasaia avant !







quand San Sebastian recevait la Santa Maria. 


Elle est aujourd"hui dans un musée situé à Palos de la Frontera (Huelva). À l'intérieur, la Niña, la Pinta et la Santa María, construites en 1992 pour célébrer le Ve Centenaire de la découverte de l'Amérique.


il faut que la Région Aquitaine se remue un peu ...
... et rachète l'Hermione pour la remettre à l'eau...
... à Pasaia, c'est sa place ...

sinon, c'est Bayonne :

31 millions d'investissements en 2025, elle doit pouvoir en caser cinq ?
il suffit de relever la taxe d'habitation des résidences secondaires vides 
et la taxe foncière des maisons ...hors de prix !


l'an passé, j'avais photographié d'en haut :