ils ne sont que quatre !,
mais ils interviennent un Dimanche : le Dimanche, la France est toujours fragile
le Conservateur en week-end, les quelques surveillants réquisitionnés fatigués :
le Dimanche, la France est à la messe : c'est jour de repos
l'omerta classique conduit à cacher que la fenêtre empruntée par les cambrioleurs était protégée par une alarme en panne depuis début septembre, qui était donc inactive, détail que connaissaient les malfrats, qui sont donc entrés par là, sans doute ont-ils monnayé cette information au personnel connaissant cette fragilité ? Comme c'est une omerta, je suis un des rares à être au courant, ne le répétez surtout pas, car la Présidente-Directrice n'en a fait aucune mention devant le Sénat, il ne faudrait pas qu'on la blâme !
seuls les Malfrats bossent le dimanche !
et puis on est à Paris
la Ville Lumière qui héberge le plus Grand Musée du Monde
dont des bijoux
des bijoux de Rois, de Reines, d'Empereurs, d'Impératrices
dont l'Histoire est étonnante :
les plus anciens ont été pillés à la Révolution : les aristocrates guillotinés, leurs meufs pareil
n'avaient plus de cous pour enfiler leurs colliers
ni de tête pour porter diadèmes ni couronnes
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| grâce à Paris Match, la liste des objets volés est dévoilée |
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| vu de l'avant |
| vu de l'arrière |
Pour le collier, huit saphirs de différentes tailles et très exactement 631 diamants. Tels sont les gemmes qui ornent le somptueux collier en or des reines Marie-Amélie et Hortense qui était exposé dans l’une des vitrines de la Galerie d’Apollon au Musée du Louvre à Paris et qui compte parmi les huit bijoux des Diamants de la Couronne dérobés ce dimanche 19 octobre 2025.
Faisant à l’origine partie d’une parure comprenant également un diadème, une paire de boucles d’oreilles, deux petites et une grande broches, un peigne et deux bracelets, ce joyau présente des saphirs de Ceylan dans leur état naturel. « C’est-à-dire non chauffés, pour en changer la couleur comme on le fait aujourd’hui en joaillerie », précise le Musée du Louvre.
« La plus ancienne trace écrite de cette parure est la correspondance pour son achat par le duc d’Orléans, futur Louis-Philippe, à Hortense de Beauharnais (1783-1837), reine de Hollande puis duchesse de Saint-Leu, à qui la parure appartenait », note le Louvre dans la notice consacrée au diadème. « On pense que la reine Hortense aurait tenu cette parure de l’impératrice Joséphine (sa mère, NDLR). Cependant rien ne le prouve. Une tradition familiale accroît encore le mystère de ses origines, selon laquelle la parure proviendrait de la reine Marie-Antoinette », est-il ajouté.
Bref, tous ces bijoux étaient d'origine royale. Ils appartenaient à un temps révolu. Aujourd'hui, les ultra-riches planquent leur argent dans des Holdings, domiciliées dans des paradis fiscaux, parfois proches comme à Jersey. Et les diamants sont cachés soigneusement dans des coffres, les dames portant des copies parfaites, comme en fabriquait Burma quand Burma fabriquait ses superbes créactions en "burmalite" semblable au diamant. De toute manière, il n'y a plus qu'à Versailles ; à l'Elysée ; à Londres, Las Vegas et Dubaï que l'on s'habille de robes de grands couturiers, au point d'exhiber ce genre de parures.
En 1987, Inès de la Fressange avait reçu une autorisation spéciale et unique de porter la parure en diamants et saphirs à l’occasion d’une séance photo orchestrée par Karl Lagerfeld pour le magazine Connaissance des Arts, On aurait mieux fait de lui en donner la garde, on les aurait encore aujourd'hui !
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il reste bien d'autres bijoux dans la Salle Apollon, mais ce diadème de perles a disparu |
| vue de l'arrière |
| c'est le diadème d'Eugénie, épouse de l’empereur Napoléon III, parée de son diadème en perles et diamants, par Oswald Brierly d’après un original de Franz Winterhalter |
porté plus tard par cette Comtesse, lors de son mariage, elle prie la Vierge, elle n'a pas l'air de se marrer, le mari lui a été imposé... les bijoux lui sont simplement prêtés... pour la journée !
| La comtesse Gloria von Schönburg-Glauchau parée du diadème en perles et diamants de l'impératrice Eugénie lors de son mariage avec le prince Johannes von Thurn und Taxis, le 31 mai 1980 |
elle porte aussi une superbe broche "de corsage", sans rapport avec celle volée
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| Countess Beauchamp wearing Empress Eugenie’s Diamond Bow Brooch in a portrait William Bruce Ellis ca 1938 |
212 perles d’Orient, dont 17 en poire, ainsi que 1 998 diamants et 992 brillants en taille rose. Tels sont les gemmes qui ornent le diadème en argent de l’impératrice Eugénie, qui était exposé dans l’une des vitrines de la Galerie d’Apollon au Musée du Louvre à Paris et qui figure parmi les huit bijoux des Diamants de la Couronne dérobés ce dimanche 19 octobre 2025.
C’est en 1853, peu de temps après son mariage avec l’empereur Napoléon III, célébré le 29 janvier, que le joaillier parisien Alexandre Gabriel Lemonnier signe cette superbe tiare pour l’impératrice Eugénie. Elle fait alors partie d’une parure qui comprend également une broche d’épaule.
heureusement que Paris-Match nous raconte l'histoire, non, l' H istoire !
"De l’impératrice Eugénie au Musée du Louvre, en passant par les Thurn und Taxis"
"Sous la IIIe République, ce joyau n’échappe pas à la vente des Bijoux de la Couronne orchestrée par le gouvernement dans le but de récolter de l’argent qu’il entend utiliser utilement. Le Musée du Louvre raconte qu’il est adjugé lors des enchères des 12 et 13 mai 1887 au joaillier Julius Jacoby.
En valeur, le stock français correspond traditionnellement à moins de 5% du PIB français. La récente hausse du cours de l’or a quelque peu modifié la donne.. Avec un cours de l'once d'or à près de 3 000 euros début septembre 2025 (environ 3 500 dollars), la valeur du stock d'or de 2400 tonnes de la France s'élève à un niveau théorique de plus de 250 milliards d'euros, ce qui correspond à environ 8 à 9% du PIB, estimé à 2 974 milliards d'euros en valeur en 2024.
vous remarquerez que la dette atteignant 3400 milliards, l'or de la banque de France n'en représente que ...même pas 20% !
parenthèse fermée, je reprends :
En 1890, ce somptueux bijou est acheté par Albert, 9e prince von Thurn und Taxis, « comme cadeau de mariage pour sa future femme, l’archiduchesse Margarethe Klementine d’Autriche », rappelle en 2021 « Vanity Fair ».
Ajoutant que ce diadème en perles réapparaît en 1980 lorsque le 11e prince von Thurn und Taxis, Johannes, épouse l’aristocrate allemande et comtesse Gloria von Schönburg-Glauchau, le magazine ajoute qu’en 1992, deux ans après la mort de son mari qui lui a laissé 500 millions de dollars de dettes, cette dernière choisit de s’en séparer. Figurant parmi les lots de la vente « The Thurn und Taxis Collection » de la Maison Christie’s à Genève, il est alors acquis par la Société des Amis du Louvre qui en fait don au musée afin qu’il puisse rejoindre les autres Diamants de la Couronne de sa collection.
les soeurs de l'Empereur portaient toutes un diadème pour le sacre de Napoléon
Pas de chance, si la famille quarante-cinq ans plus tard fait appel à quatre fans d'Arsène Lupin pour les récupérer, et les ranger dans leur coffre. Rien n'est certain, mais c'est mon hypothèse ! A moins que ce soit notre ami Vladimir Poutine qui veuille rehausser le niveau des collections de son Palais secret ?
Vous avez entendu parler du stress des voleurs, qui après avoir réussi le casse de l'année, ont laissé tomber la Couronne d'Eugénie, qui a été récupérée, abîmée par le choc par terre. Ils étaient poursuivis en effet par les Surveillants du musée, alertés par les alarmes (autres que la fenêtre empruntée) qui sonnaient à tout rompre. Il faut dire que ces Surveillants surveillent sans être armés, car s'ils l'étaient ils pourraient recevoir une balle de la part des voleurs, à moins que ce soit le contraire, or il faut défendre les voleurs de toute agression par des Surveillants dont la tâche consiste à surveiller le Public, pas les voleurs. On ignore si tous ces bijoux étaient assurés, et si notamment la réparation qui inclut certainement quelques diamants tombés, puis récupérés par des passants, va être prise en charge. Sinon, je suppose que malgré la crise, l'Etat va venir au secours de notre Musée parisien pour à la fois réparer cette couronne, et poser les caméras réclamées par la Cour des Comptes. C'est incroyable comment la Cour des Comptes repère toutes les anomalies françaises, sans que personne ne lise ses rapports et surtout fasse ce qui est recommandé !
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| on ignore quels dégâts a subi la couronne, et si des pierres ont été perdues |
En cette période de crise, le Sénat ne laisse rien passer : il convoque la Présidente du Louvre Laurence des Cars, (encore une qui aura échappé à la Terreur de Robespierre), qui annonce qu'"une restauration délicate" de la couronne de l'impératrice Eugénie est "possible", pour autant bien entendu que l'on paie un restaurateur en bijoux anciens, car les diamants sont taillés à l'ancienne, ce que l'on ne sait plus faire aujourd'hui, sauf à requérir un bijoutier à la retraite, qui veuille bien travailler "délicatement". Et puis il faut le payer, le restaurateur. Et puis, elle déclare être responsable mais non coupable, puisqu'une rénovation des alarmes (qui pourtant ont bien fonctionné, c'est à dire qu'elles ont sonné les services d'alarme qui sont venus et ont fait fuir les malfrats) étaient bien prévus dans le Plan quinquennal qui doit se dérouler dans les cinq prochaines années. Elle dépose sa démission, immédiatement refusée par Rachida Dati, ce n'est pas le moment de se séparer d'une Présidente avec un pareil CV, et dont la lignée est aussi prestigieuse !
In fine, le dommage est évalué par la dite Présidente à 88 millions, une bricole comparée à la dette !
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| le Président s'empresse de réconforter la Présidente : -"88 millions de moins ? Je vais arranger ça : moi j'en suis à trois mille quatre ou cinq cent milliards, alors !" |
on pense à Paris qu'avec un peu de CSG supplémentaire sur les grosses retraites des séniors,on devrait récolter une centaine de millions, permettant de couvrir les futurs vols risquant de survenir tant que les alarmes ne seront pas dopées par une Intelligence Artificielle adaptée, initialement fournie par Israël, mais chut, il est interdit d'en parler !
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| une jolie cellule à deux places à la Santé, télé pour regarder CNews |
un ancien Président hué par les détenus de la Santé
un personnel pénitentiaire furieux de voir des policiers armés protéger un Prisonnier Privilégié
le musée du Monde qui voit les bijoux de la Couronne volés
un Président en place qui n'a même pas eu le Nobel de la Paix, alors que c'est son Plan qui a rétabli la paix à Gaza,
la France ridiculisée à l'étranger :
tout cela est bien triste, mais nous, le Peuple, n'y pouvons rien
personne n'évoque le titre de de Villiers : Populicide
personne ne parle du bouquin de Marleix
il s'est suicidé, sans doute avait-il conscience de l'impossibilité dans laquelle il était
de faire quoi que ce soit à part sortir son bouquin posthume
Je cherche des égéries modernes de notre monde de Milliardaires, entourés des mannequins les plus beaux du monde, et susceptibles de les parer des parures les plus belles que les joailliers ont pu assembler, en réunissant des pierres dont des diamants rares et super-chers, produits dans des pays qui creusent indéfiniment des carrières, au prix de leur vie, pour extraire ces gemmes rarissimes.
Je trouve cette (belle) Personne
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| il s'agit de Christina Hendricks, nommée en 2010 « femme la plus sexy du monde » par le magazine américain Esquire. |
de nos jours, on préfère les dames bien en chair
on se moque qu'elles portent ou pas des bijoux
vous allez me répondre que ce ne sont pas des Reines
puisque chez nous du moins, nous n'avons plus que des Premières Dames
normalement, elles ne portent que des bijoux prêtés par les Grands Bijoutiers
les Femmes de Paris, autrement dit les Parisiennes, ressemblent à ces photos modernes
aucun bijou visible
il parait que des initiés fréquentant les spectacles de football, offrent à leurs partenaires ce genre d'accessoire
mais ce n'est pas fait pour être vu de tous
mais seulement par les (généreux) donateurs, et en privé, la nuit
et la matière est souvent du simple plastique, même avec des reflets brillants
nos moeurs se sont libérées, et même dans le Palais du Louvre
il arrive que certaines personnes se livrent à quelques exentricités
| Marie Louise engoncée dans sa tenue, était entourée de gardes du corps destinés à protéger ses parures, quel stress ! |
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| aujourd'hui, Marie-Louise passerait quelques jours de farniente sans bijoux à Ibiza |
la Première Dame, comme le faisait Joséphine, donne aujourd'hui le ton :
pas de diadème...
... mais le blazer en cuir, chouchou de Brigitte Macron
Alors qu'elle arpentait les rues de Paris, notre Première Dame Brigitte Macron a opté pour le blazer le plus trendy de cet automne. Un joli modèle en cuir qui offre une allure rock et décontractée à la Première dame. Avec sa coupe droite et légèrement oversize, il lui assure un confort inégalable en toutes circonstances. Oui quelques mots d'Anglais parci-parlà donnent à notre langue un aspect Monde qui montre que nous sommes dans le vent planétaire d'une Grande Puissance nucléaire.
Le détail que l'on adore ? Ses petites épaulettes qui apportent une touche 80's à tomber. Un style vintage mais ultra-moderne qui fait toute la différence sur une silhouette. Aussi, ses poches plaquées sur le devant permettent à Brigitte Macron de transporter toutes ses affaires du jour avec style. En complément, évidemment, de son magnifique Speedy signé Louis Vuitton.
Pour compléter son allure rock, la Première dame opte pour l'incontournable pantalon flare qui sublime ses jambes fuselées et allonge en un coup d'oeil sa silhouette. Noir pour accentuer l'esprit minimaliste de son allure, ce modèle porté par toutes les modeuses averties promet de s'imposer jusqu'à la fin de l'automne. Enfin, Brigitte Macron opte pour un pull noir épuré ainsi qu'une paire de bottes à plateforme qui élance sa silhouette en un rien de temps.
Elle qui aime le Peuple, a renoncé aux bijoux de la Couronne qu'elle pourrait cependant porter, pour faire une publicité méritée au Plus Grand Musée du Monde. Mais Brigitte s'est refusée à ce rôle ambigu, qui pourrait paraitre pour le Peuple comme une reprise des habitudes d'une période révolue, établissant un fossé entre les riches parés de diamants, et les pauvres fréquentant les restaus du coeur de Coluche.
du cuir, de la mode : OUI
les diamants, C fini !
PS : au Louvre avant :
https://babone5go2.blogspot.com/2017/11/le-louvre-abu-dhabi.html
https://babone5go2.blogspot.com/2021/05/les-bijoux-de-limperatrice.html
https://babone5go2.blogspot.com/2017/12/promenade-au-louvre-6.html
c'est la Mairie de Marignane qui a exposé Mariane
seul Nadau réussit à me faire oublier un peu mes peines :
https://www.facebook.com/watch/?v=10223050759964823
la Galerie d'Apàllon... avant !






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