un peu de vocabulaire de notre chère langue française déconstruite, oubliée, anglicisée par des médias ignorant la langue anglaise et la nôtre, et n'ayant pas lu la littérature française à l'école primaire ...
Me vient en tête un autre exemple, dû à notre Président dont les propos sont qualifiés par Donald Trump "d'insignifiants" : - "il qualifia le Général de Villiers, frère de Philippe de Villiers, de propos acerbes". Aussitôt, le Général en démissionant reprit son devoir de réserve et expliqua ce que signifie pour celui qui est un Chef, le verbe "gouverner". La même situation vient de se produire avec le Chef d'Etat Major qui vient de démissionner après avoir accusé Vladimir Poutine d'être l'ennemi de la France, propos que le Président Macron refuse de couvrir, restant l'ami de Poutine en train de détruire irrémédiablement l'Ukraine, que le même Président prétend défendre, sans disposer de l'argent pour le faire, ni des obus pour lui en fournir, vu qu'il a massacré notre Industrie en général dont celle de la Défense en particulier.
C'est ainsi que le ton acrimonieux du Chef de l'Etat s'adresse à ses proches, quand ils prennent la liberté de dire ce qui se passe, sujet qu'il ne faut évidemment pas aborder pendant les jours bien longs qui nous séparent des élections présidentielles de 2027.
De la même façon, dire le pour et son contraire, changer d'avis, vouloir faire plaisir à tout le monde, s'humilier devant l'Algérie, on dit comment en langue de bois élyséenne ? ah oui "pratiquer le : en-même-temps", peut être qualité de propos abscons, dites plutôt : "son intervention était remplie de propos abscons", quand il propose le premier et trop prématurément de créer un Etat palestinien (qui serait immédiatement accaparé par le Hamas), ce qui lui amène la réaction immédiate de Donald Trump, (il vient de manger Ursula Van des Leyen au petit-déjeuner en nous imposant 15% de droits de douane à l'Europe, ce qui est pour nous un camouflet) proposant que cet Etat soit créé...sur la côte d'Azur française ! Nous voilà tous humiliés, nous les Français, nos morts dont on propose de supprimer le jour du souvenir du 8 mai, ceux qui ont fait le service militaire, blessés en Algérie. Nos forces armées, les travailleurs qui travaillaient 40 heures par semaine, les retraités villipendiés tous les jours... !
Vous voyez qu'immédiatement, le propos proposé pour l'adjectif "accort" est conjugué au féminin, pour dire que la jeune femme est "accorte". J'imagine (n'en ayant jamais fréquenté) qu'une Escort se doit être accorte, ses manières plaisantes et surtout engageantes. Je suis incapable en toute franchise de donner un sentiment sur l'épouse du Président dont je respecte l'âge et la fonction, je ne la qualifierais pas "d'accorte", c'est plutôt sa fille (qui a l'âge du Président, le mari de sa mère) à qui j'accorderais cet adjectif ?
je disposais dans mes archives de vieilles photos montrant une
Marie-Madeleine accorte
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on comprend que même Jésus ait cédé à une telle tentatrice, en même temps très pudique dans sa tenue d'Eve (3) |
sinon, beaucoup de Français pensent cela :
nous sommes cent ans en arrière
voici la France buvant "la coupe jusqu'à la lie"
il s'agit donc d'une très très belle Mariane
...pour moi qui suis sensible à la "Pure-Beauté"
la parole sourd aussi des dessins les plus simples
le mot "arcane"
quelle drôle expression "l'âme d'un peuple"
on se fiche de ce que cela peut signifier à Paris
où la gloire c'est l'argent public pour faire des repas de Chefs
...dépenser sans compter l'argent public
...et se moquer du peuple comme pendant l'ancien Régime
voilà mes paroles de fin Juillet
il y a je ne sais quoi dans l'air
renforcé par le désarroi de tous ces gens dont la maison a brûlé
...et de ces pompiers astreints à résidence pour combattre les feux
...et demain pour dénoyer tous ceux qui seront atteints par les crues
et la banalité de toutes et tous s'exposant aux UV sur des plages bondées
j'ai bien peur que le bonheur par "la consommation à crédit "
soit bien vide de sens :
manque un vieux mot de la religion chrétienne d'autrefois :
"espérance" !
Au fil de mon chemin, j’ai appris
Que tout instant s’efface,
Que la vie suit son cours,
Que le temps jamais ne se lasse,
Et que l’hier toujours s’éteint.
Que l’enfance est un jeu,
Que la jeunesse est un printemps,
Et que, lorsque la vieillesse arrive,
Elles se fondent en un même temps.
Que la passion nous enflamme,
Que la peur nous paralyse,
Que l’habitude devient routine,
Et que tout attachement nous emprisonne.
Au fil de mon chemin, j’ai appris
Que les gens parfois changent
Quand le pouvoir les enivre.
Que l’argent, bien qu’essentiel,
Ne referme jamais une blessure.
Que le courage est une force,
Que la soumission nous détruit,
Que la vérité nous libère,
Tandis que le mensonge nous lie.
Que le savoir fascine,
Que l’esprit crée de la magie,
Que le travail n’avilit pas,
Et que l’adieu porte en lui la nostalgie.
Au fil de mon chemin, j’ai appris
Que la jeunesse ne s’éteint pas
Même quand la vieillesse nous atteint.
Que l’école instruit,
Mais que l’éducation naît à la maison.
Que les rêves se poursuivent,
Mais que la paix se construit.
Que la liberté se réclame,
Et que l’orgueil nous consume.
Que le pardon est un baume
Qui guérit lentement,
Et que la rancune est un tourment
Qui empoisonne l’esprit.
Au fil de mon chemin, j’ai appris
Que nos enfants ne nous appartiennent pas,
Mais qu’ils sont comme des mouettes sur la mer,
Qui, lorsqu’elles déploient leurs ailes,
Prennent leur envol et disparaissent.
Qu’un ami est un trésor
Qu’il faut chérir sans compter,
Et que la famille est ce sanctuaire
Où l’on apprend à aimer.
Que demain est une incertitude,
Que l’humilité nous honore,
Que la mort est une certitude,
Et que la vie est une leçon.
Que l’univers ou ton Dieu
Sont la source de la foi,
Et que l’Amour est l’espérance.
Au fil de mon chemin, j’ai appris
Que la vie ne s’arrête jamais,
Que le temps passe inexorablement,
Alors vivons heureux,
Au cas où demain ne viendrait pas.
Dhiaga Cosaint