Enfin une éclaircie : ce n’est pas qu’il fait chaud, l’eau est à 13°, mais il fait un soleil éclatant, tellement qu’on peut faire bronzette. Et photographier les fleurs du jardin, éclatantes grâce à l’eau emmagasinée ces derniers jours. J’ai promis à Micheline pour la fête des mères de lui montrer nos rhododendrons, et c’est l’occasion de faire un peu de botanique.
Nous avons de la chance : nos prédécesseurs, férus de Bretagne et amoureux sans doute de Beg Meil, ont planté trois massifs, dans notre terre bien acide. Avec l’âge, ils sont devenus grands, et illuminent le coin Sud-Est. Inutile de vous rappeler que Rhododendron, du grec ῥόδον - rhodon : rose, rosier, et δένδρον - dendron : arbre (littéralement « arbre à roses »), appartient à la famille des Éricacées.
Comme j’ai préparé mon sujet, je puis vous dire que nous avons deux espèces : la violette ponticum ; et la rouge catawbiense.
Le plus simple est que je vous les montre. A propos, j’ai vu un bourdon, et miracle après ces pluies, un Vulcain presque neuf ! Sinon, il ne vole pas grand chose, sauf quelques « petites tortues ».
L’herbe a poussé : il va falloir (encore)
retondre !
encore faudrait-il qu’il refasse soleil ?
or, ce n’est pas programmé avant une nouvelle semaine !