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“Danza di Luce” è un piccolo viaggio poetico nel cuore della notte.
Non è soltanto un libro sulle lucciole — è un invito a ricordarci di quanto siamo stati capaci, un tempo, di meravigliarci per le piccole cose.
Le pagine scorrono come immagini: si accendono, si spengono, si cercano — proprio come loro.
Le lucciole diventano metafora di un mondo fragile e antico che continua a parlarci anche quando non lo ascoltiamo più.
La scrittura è delicata, luminosa, mai banale.
Si sente l’amore per la natura, l’attenzione ai dettagli, il bisogno di riportarci “dentro” la notte e non davanti ad essa.
È un libro che emoziona, che riconnette, che lascia un chiarore addosso.
Lo consiglio a chi ama la natura, la poesia sottile, e a chi sente che abbiamo tutti bisogno — più che mai — di tornare alla meraviglia.
Una danza che rimane.

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La famille des lucioles et des lampyres (Lampyridae) regroupe plus de 2 000 espèces connues de coléoptères produisant presque toutes de la lumière (jaune à verdâtre, longueur d'onde de 510 à 670 nanomètres), au stade larvaire et/ou adulte, réparties sur tous les continents sauf l'Antarctique. Ces insectes, en tant que prédateurs des strates herbacées et arbustives, jouent un rôle important dans leur niche écologique en limitant notamment la pullulation des chenilles, escargots et limaces.
Bien que ces espèces fassent partie des coléoptères, la plupart des femelles ne peuvent pas voler. Elles ressemblent à leurs larves, d'où le nom de « ver » (par exemple en Europe, Luciola lusitanica Charpentier, la femelle possède des ailes, mais ne vole pas).
Le lampyridé le plus connu est le lampyre ou ver luisant commun (Lampyris noctiluca).
Les lucioles sont en déclin presque partout dans le monde, probablement en raison de la conjonction de plusieurs facteurs comme l'usage d'insecticides à grande échelle, la pollution lumineuse et les changements climatiques. Elles sont l'insecte-emblème de deux États américains et ont été déclarées « trésor national » au Japon.
La larve du ver luisant se nourrit d'escargots qu'elle paralyse. Dans l'hémisphère nord, les larves cessent de se nourrir en mai ou juin, se transforment en nymphe d'où émergera un coléoptère adulte.
La nuit, la femelle émet une lumière de couleur verte, relativement puissante.
Les mâles de chaque espèce émettent un signal lumineux en général plus faible que les femelles, et différent de celui des autres espèces. Les gros yeux noirs des mâles sont très sensibles à la lumière, et permettent ainsi aux couples de se trouver pour assurer la reproduction. Les œufs et les larves peuvent aussi émettre de la lumière.
Les traits jaunes matérialisent le vol de lucioles, qu'il est de plus en plus rare d'apercevoir dans les zones urbanisées ou d'agriculture intensive. La lumière émise par les lucioles est le résultat d'une réaction chimique qui se produit dans les derniers segments de l'abdomen. Ces derniers sont enveloppés par des organes bioluminescents appelés photophores qui contiennent des cellules lumineuses appelées photocytes. La réaction chimique entre la luciférine et la luciférase se produit dans les peroxysomes (petits organites présents dans les photocytes). Pour que cette réaction ait lieu, il faut de l'oxygène. Les lucioles n'ayant pas de poumons, elles utilisent leurs trachéoles pour transporter l'oxygène vers l'intérieur de leur corps.
Le biologiste Raphaël Dubois a mis en évidence le mécanisme de la bioluminescence. En 1887, il a montré que la réaction était due à une enzyme, la luciférase, agissant sur un substrat, la luciférine, avec nécessité de présence de dioxygène. En fait, les molécules correspondant aux luciférase et luciférine varient selon les espèces. W.D. McElroy a plus tardivement montré que l’émission de « lumière froide » nécessitait aussi deux cofacteurs : l'ATP (adénosine triphosphate) et un minéral (le magnésium). On a d’abord cru que l'ATP était la source de l'énergie, mais pour ensuite démontrer qu’elle joue plutôt un rôle de catalyseur en se liant avec le magnésium, la bioluminescence étant alimentée par une suite de réactions d’oxydoréduction. À la fin de la réaction, on obtient de l'oxyluciférine dans un état électronique excité qui va retourner à l'état stable en émettant un photon qui produit de l'énergie et donc de la lumière. Cette lumière varie d'une espèce à l'autre. Cette variation ne provient pas de la luciférine, mais plutôt des différentes structures de la luciférase, selon que l'oxyluciférine soit sous forme énol ou céto : le photon émettra soit dans la couleur jaune-vert, soit dans la couleur rouge.
Il a été montré que ce sont des molécules de monoxyde d'azote émises par l'organisme qui contrôlent l'interruption du signal lumineux à un rythme clignotant propre à chaque espèce, et que certaines espèces clignotent en groupe, ce qui permet aux mâles de mieux détecter les femelles et de trouver une partenaire de leur espèce.
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La réserve naturelle régionale Foce Sale-Tanagro est un espace naturel protégé créé dans la région de Campanie en 1993 dans la province d'Avellino et province de Salerne.
La réserve s'étend sur 7 284 ha le long de la bande côtière qui borde l'embouchure du fleuve côtier Sélé dans les communes de Capaccio Paestum et Eboli, sur les rives du Sélé et de son affluent Tanagro, de la rivière Calore Irpino et les ruisseaux Melandro et Platano Bianco.
L'espace naturel protégé couvre 39 communes des provinces d'Avellino et de Salerne. C'est un territoire caractérisé par une très haute qualité environnementale, reconnue au niveau européen, comme en témoigne la présence en son sein de quatre zones de protection spéciale (ZPS).
Sur son territoire se trouvent également l'oasis de Persano, une zone humide d'intérêt international reconnue par la Convention de Ramsar de 1971, qui abrite de nombreuses et très rares espèces végétales et animales, les sources thermales de Contursi Terme, les grottes de Pertosa et les grottes de Castelcivita, sites spéléologiques d'importance internationale, le site archéologique Hera Argiva dans la commune de Capaccio Paestum.
c'est là que dansent encore les lucioles
zébrant la nuit de leurs trajectoires lumineuses
il y a bien longtemps que je n'en ai plus vu briller la nuit
merci Massimo pour vos photos de souvenirs lointains !
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| sans police de l'environnement, la biodiversité disparaitrait encore plus vite |

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trompette Alison Balsom, 'Haydn Trumpet Concerto in Eb, 1st mov.' (Allegro)