samedi 11 octobre 2025

En même temps : Robert Badinter, Justice, Mémoire, Honneur...et l'effarante réalité ?

 

émouvante cérémonie du jeudi 9 octobre

Une cérémonie décalée, dans l'ambiance délétère laissée par les discussions du Premier-Ministre-démissionnaire ...et hier du Président lui-mêmeavec les différents Partis de l'Assemblée nationale (sauf les partis-jugés-non-Républicains, bonjour la tolérance), tous pressés de mettre fin à la Présidence de celui que Philippe de Villiers nomme "le Populicide", voilà que le Panthéon reçoit un Grand Homme (Madame l'ex-Première-Ministre, Ministre de l'Education-démissionnée, présente et rayonnante, il ne manque qu'une coupe de champagne (gratuite) à sa main gauche, madame Borne donc regrette que l'on n'ajoute pas "...les Grandes Dames", et que la Patrie ne s'appelle pas "la Matrie"). Un Grand-Homme si décalé par son Histoire de Juif, pris enfant par la dernière Guerre, son père raflé par les Nazis, disparu et gazé arrivé dans les camps de la mort, par sa vocation d'avocat, et par son art de l'éloquence au service de la Vie.

-"La Justice ne peut pas ôter la Vie"

plus clair : -"la Justice ne peut pas couper un Homme en deux

La Justice ne peut pas tuer"

(on comprend mieux le sens profond de l'expression contraire de LFI : "la Police tue")

et Robert Badinter, lors de la commémoration de la rafle du Veld'Hiv, ne peut s'empêcher de hurler

contre les sifflets des familles des victimes quand parait François Mitterand, (soupçonné de complaisances avec Bousquet) : 

...-"doit prévaloir...

...le silence respectueux dû aux morts" :

https://www.facebook.com/reel/2570923776624177

((mais le LR Patrick Pessis râle ici ...en rejoignant Zemmour, donnant des détails d'une autre face de l'Avocat  :

https://www.facebook.com/reel/592867863914646 ))


je surfe sur la toile, et me rends à la BNF, chercher les lignes manuscrites couleur vert et bleu


avec la célèbre introduction :




Victor Hugo est presque là





Victor Hugo qui écrit :



Victor Hugo, "le meilleur des poètes français" selon Robert, Victor qui disait toujours :

-"il y a aussi la possibilité de devenir meilleur... qui est un Droit sacré...
...la question majeure de la réinsertion..."



il y a bien entendu l'Immortel Jack, cheveux teints, 
visage refait, déguisé en Cardinal laïque


quant à Jacques Attali, il avait il y a bien longtemps "craché dans la soupe" :


-"une chaise aurait fait abolir la peine de mort, 
puisque les parlementaires l'auraient votée" ! 


la Constitution mêle désormais l'Abolition de la peine de mort au respect de l'Ecologie ; le Droit à l'avortement ; le Principe de précaution ... qui a interdit les OGM......


Julien Clerc chante les paroles de Jean Loup Dabadie



C'était un jour à la maison
Je voulais faire une chanson
D'amour peut-être
À côté de la fenêtre
Quelqu'un que j'aime et qui m'aimait
Lisait un livre de Giono
Et moi penché sur mon piano
Comm' sur un établi magique
J'essayais d'ajuster les mots
À ma musique
Le matin même, à la Santé
Un homme, un homme avait été
Exécuté
Et nous étions si tranquilles
Là, au cœur battant de la ville
C'était un' fin d'après-midi
À l'heure où les ombres fidèles
Sortant peu à peu de chez elles
Composent doucement la nuit
Comm' aujourd'hui
Ils sont venus à pas de loup
Ils lui ont dit d'un ton doux
C'est le jour, c'est l'heure
Ils les a r'gardés sans couleur
Il était à móitié nu
"Voulez-vous écrire une lettre?"
Il a dit "Oui" il a pas pu
Il a pris une cigarette
Sur mon travail tombait le soir
Mais les mots restaient dans le noir
Qu'on me pardonne
Mais on ne peut certains jours
Écrire des chansons d'amour
Alors j'ai fermé mon piano
Paroles et musique de personne
Et j'ai pensé à ce salaud
Au sang lavé sur le pavé
Par ses bourreaux
Je ne suis président de rien
Moi je ne suis qu'un musicien
Je le sais bien
Et je n'prends pas de pose
Pour dire seulement cette chose
Messieurs les assassins commencent
Oui, mais la société recommence
Le sang d'un condamné à mort
C'est du sang d'homme, c'en est encore
C'en est encore
Chacun son tour, ça n'est pas drôle
On lui donne 2, 3 paroles
Et un peu d'alcool
On lui parle, on l'attache, on le cache
Dans la cour un grand dais noir
Protège sa mort des regards
Et puis ensuite, ça va très vite
Le temps que l'on vous décapite
Si je demande qu'on me permette
À la place d'une chanson
D'amour peut-être
De vous chanter un silence
C'est que ce souvenir me hante
Lorsque le couteau est tombé
Le crime a changé de côté
Ci-gît ce soir dans ma mémoire
Un assassin assassiné
Assassiné
Assassiné

Source : Musixmatch
Paroliers : Jean Loup Dabadie / Julien Clerc



la rue Soufflot vidée de ses passants

la rue Soufflot vêtue de Bleu

une mise en scène à la Française, une mise en scène à la Romaine


des Portiques blancs échelonnés avec des Titres sobres

les Avocats en Robe bien alignés

le Président a parlé à la fin

à l'aise dans son rôle-de Président formé à la Comédie Française

je n'ai pu l'écouter du tout, mais on m'a dit que son hommage était très beau,

il a dit que l'année 2026, il allait porter l'abolition de la peine de mort dans les derniers pays de la Planète ne l'ayant pas appliquée : il sera le Président de la Vie !

l'anti-faucheuse-non-à-la-mort


il n'a pas (encore) eu le Nobel de la Paix, pas plus que Trump qui l'aura l'an prochain

hier au soir, il nous promettait un nouveau Premier Ministre

surprise : c'est le Moine-soldat-suppôt du Roi-déchu qui revient-tenter-de-sauver-son-Patron

ce n'est plus un moine-soldat : c'est Saint Sébastien percé des flèches envoyées par Sonchef

va-t-il reprendre La-Borne-2 pour faire écrire Matrie au front du Panthéon ?

quel Budget 2026 va-t-il nous sortir..."décalant la date" de la réforme des retraites ?

quelles dépenses va-t-il ajouter à une liste déjà longue de gabegies insensées 
pour encore augmenter une dette abyssale ?


---o---

je continue de lire Populicide

 totalement choqué de ces évènements simultanés

dans le répétitif exercice du "en même temps"

j'ai peur que Victor Hugo, Malraux, de Gaulle bien sûr, et maintenant Badinter, tous ceux qui défendaient notre France,

soient partis quelque part, nous ayant abandonné :

c'est Michel Barnier qui a eu le mot final, en constatant que "l'âme de la France était tout entière désormais, logée au Panthéon",

signifiant que parmi les vivants, il n'y avait pas grand monde, l'âme dotée des valeurs de l'Intérêt Général, et de l'Honneur
prêt à donner son âme au Pays !




sommes-nous les créatures d'un Dieu qui, par rancune, 

nous ferait devenir fous ?



heureusement que Sandrine Sarroche 
en Jeanne d'Arc
me fait oublier le théâtre amer de la burlesque pièce
que jouent pour notre plus grand malheur
nos Dirigeants actuels :

jeudi 9 octobre 2025

Encore un trésor sorti du Rhône en Arles !


Attention ! la date de cet article du Monde est de 2021 : le premier trésor ! 

puis : le chaland tiré de l'eau



il faut suivre : la tête de Jules César en troisième !


le premier trésor de pièces d'or en or véritable

Luc Long, concentré devant les trésors remontés du fond du Rhône

avec des lingots de plomb, à droite, l'or (dont le prix grimpe, grimpe toujours)



dans le chaland il n'y avait pas d'or, dommage !

car le chaland était grand : des amphores surtout, le vin coulait à flots


tout cela a été raconté dans des vidéos super

ils auraient du écrire : "le premier trésor"


car au mois d'août dernier, pendant la canicule, les chercheurs cherchaient dans l'eau

pour retrouver la fraicheur


cet été 2025.....ils en retrouvent un autre ! 

le nouveau s'ajoute à l'ancien, ça commence à faire beaucoup ... d'or ! 



“On parle du miracle de Pompei, mais il y aussi le miracle du Rhône arlésien.” L’archéologue-plongeur David Djaoui en a encore les yeux qui brillent : son équipe a découvert un trésor de plus de 800 pièces sur une nouvelle épave enfouie dans le fleuve, côté Trinquetaille. Une découverte exceptionnelle qui s’ajoute, entre autres, à celle du chaland antique en 2004, du buste de César trois ans plus tard et d’un premier lot de pièces en 2018. Des trésors cachés à quelques brasses à peine du Musée départemental d’Arles Antique, qui conduit l’opération de fouilles avec le CNRS et l’Inrap, en collaboration avec le Drassm, le Musée national de la Marine et la société Ipso Facto.


Archéologues, céramologues, restauratrices, topographe, photographes : une quinzaine de personnes travaillent sur cette mission débutée le 25 août et qui s’est achevée 3 octobre dernier “Malgré des conditions difficiles, avec du courant et peu de visibilité, les recherches ont été fructueuses", se réjouit David Djaoui à l’heure de dresser un premier bilan. Nous avons notamment trouvé la membrane d’un bateau d’une vingtaine de mètres et donc ces pièces datant pour la plupart du IIIe siècle, dont certaines sont en très bon état.” Mi-septembre, les plongeurs sont d’abord tombés sur 60 pièces, puis 80, et enfin sur la source de ces échantillons : un amas de plus de 600 pièces. Soit 847 pièces en tout, dont un sesterce de Trajan datant de 116 après J-C"

toutes les pièces d'or étant chez le numismate certifié, je n'ai pu accéder à leurs photos; Par contre le sesterce de Trajan a été nettoyé, il n'est pas en or, mas de Trajan ! 


L’hypothèse la plus probable est que ces pièces soient tombées accidentellement d’un bateau. Toutes seront expertisées par un numismate avant d’être restaurées et exposées au Musée départemental d’Arles antique d’ici un à deux ans. “Ce qu’on aimerait maintenant, c’est trouver le contenant de ces pièces, sans doute un coffre à trésor tel qu’on le voit dans les films” explique David Djaoui. L’archéologue n’est pas sûr de mettre un jour la main dessus, mais il est persuadé d’une chose : “Les eaux arlésiennes du Rhône offriront encore des découvertes exceptionnelles pendant des centaines, voire des milliers d’années.”

en hommage sincère à David Djaoui


quand je pense que j'ai habité pile derrière la digue

pendant neuf années

et que jamais je ne me suis mis à l'eau

du Rhône

je m'en mords les doigts


avec l'IA, les chercheurs trouvent, et reconstituent le port sur le fleuve


et puis le pont de bateaux amarrés sur les deux piles encore debout



ce pont (disons : le même) existait encore en 1647


il faut préciser qu'en 1500, Arles était toute proche de la mer

depuis, le Rhône a amené tellement d'alluvions que s'est créée la Camargue, avant que la montée de la mer prévue ne rétablisse la côte ancienne


Arles est si belle


et grâce aux Romains

la petite Rome des Gaules croule sous l'or des Ultra-Riches ... d'alors ! 

nous aurions du rester Arlésiens 

et nous mettre à la plongée : 





PS : le vrai commentaire est plus scientifique-et-sérieux : 

Des pièces d’or en quantité, des lingots à la teneur en argent exceptionnelle, des plaques de métaux précieux… Pour éviter tout pillage, le téléspectateur ne saura pas exactement où ce trésor a été découvert ni quand. Il ne saura pas non plus en quelles quantités les éléments de ce trésor ont été remontés du fond du lit du Rhône, juste au-dessus de son delta, à la hauteur d’Arles. En revanche, au fil d’un documentaire archéologique conçu comme une enquête des services secrets – et suivie en exclusivité par France Télévisions –, il va apprendre pourquoi.

Pourquoi, en premier lieu, les abords de la « petite Rome des Gaules », fondée par Jules César entre 49 et 46 avant J.-C., et qui connut son âge d’or au IVe siècle de l’ère chrétienne, abritent un site d’archéologie subaquatique unique à cette hauteur. Le fleuve, animé par un fort débit, est naturellement profond (jusqu’à vingt mètres) et n’a jamais eu besoin d’être dragué pour rester navigable. Ses limons regorgent donc encore de vestiges, de l’époque où Arles était un port fluvial incontournable pour acheminer vivres et matériel depuis Rome en direction du nord de l’Europe.

Pourquoi, ensuite, alors que les vingt-trois fouilles effectuées jusque là dans cette zone ont conclu à un échouage sur la rive droite du Rhône, l’« Epave-24 » est la première de la rive gauche. Pourquoi, enfin, sa riche cargaison n’a pas été débarquée là. L’enquête fait un crochet par Lyon, dans l’atelier de recherche et conservation (ARC) Nucléart, où l’étude du bois et des clous d’une épave semblable laisse penser qu’il s’agit d’un chaland à fond plat.



Aussi intéressantes que les fouilles proprement dites, des reconstitutions en 3D nous transportent dans la cité entre les Ier et IVe siècles, le long d’un débarcadère, devant un ingénieux pont de bateaux, capable de s’adapter aux crues. C’est déjà dans ces parages que l’équipe emmenée par Luc Long, directeur des fouilles au Département de recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (Drassm), découvrait en 2007 un buste de Jules César, le seul réalisé de son vivant. Treize ans plus tard, le même Luc Long supervise le travail des équipes de plongeurs dans les eaux troubles, sales et périlleuses.

Grâce aux pièces de monnaies, marqueur chronologique fiable, le naufrage de l’« Epave-24 » a pu être daté du bref règne de Constantin II (337-340), né à Arles en 316, deuxième fils de Constantin-le-Grand, premier empereur romain chrétien – d’où une visite sur l’emplacement de ce qui fut la plus grande cathédrale de Gaule, et une autre à la nécropole des Alyscamps.

D’interrogations en interprétations, la réalisatrice Saléha Gherdane ménage le suspense. La zone de fouille est mise en scène comme une zone de crime, avec ses rubans tendus pour délimiter les lieux. « Ça brille, c’est jaune, c’est beau », lance un plongeur enthousiasmé par sa découverte – une boucle en or. Le Rhône n’en a pas fini de livrer tous ses secrets…

AD




Mercredi 17 août 2021 , David Djaoui, archéologue et plongeur au musée départemental Arles antique, mène l’enquête !

Dans une véritable enquête policière, l’archéologue arlésien décortiques des inscriptions sibyllines et des objets insolites trouvés au fond du Rhône et dévoile tout un pan de l’histoire économique et commerciale de la civilisation romaine, non sans humour ! David Djaoui est l’auteur de l’ouvrage Enquêtes archéologiques qui a obtenu le Grand Prix du livre d’archéologie 2021.


grande joie en 2026 quand la Vénus va revenir chez elle ! 

super-joie en 2027 : devinez ? le Jupiter-le-Roi-solaire retrouve ses placements financiers (triplés) et retourne chez Rotschild ! 



celle là est déjà sur place, mais seulement sa tête


je parle bien entendu de celle qui est entière



la circonstance me semble exiger du Chic-et-Bon-Genre !


copie par Péru de la Vénus d'origine

jamais on ne remarquerait que l'original manquait de bras ! Ils lui ont été été rajoutés par François Girardon qui a également placé la pomme de Pâris dans la main droite. Mais s'il a mis un manche dans celle de gauche, il n'a pas mis le miroir alors qu'elle se mire dedans : du travail parisien pas fini... sauf si le dit-miroir a été cassé par un "insoumis", il parait qu'il y en a là-bas, même à l'Assemblée Nationale : à la Révolution, ils ont tout cassé, et ne rêvent que tout re-casser à nouveau ! ! 


d'où le pizzicato Polcade de notre ami Strauss

rarissime à entendre :