dimanche 13 octobre 2024

Où est donc passé le second obélisque de Louqsor ?


Louqsor vu de haut, il y a bien un obélisque à gauche, mais il devrait y en avoir un à droite ?

 

vu de face, cette touriste regarde la façade, c'est pareil, il manque l'obélisque à droite !

voici celui de gauche à gauche, avec le socle de babouins


pour ressembler à Néfertiti, cette influenceuse égyptienne coquine cache son oeil gauche, à droite sur la photo
question d'orientation, en tous cas il en manque un !

J'ai dit dans le passé du mal des archéologues Officiels, leur reprochant leur formation uniquement littéraire, et leur ignorance de la géologie, de la dureté des roches, du travail manuel, du bricolage, etc...qui leur font dire, et ils sont sûrs d'eux, que ce sont les égytiens qui, il n'y a pas si longtemps que cela, démunis des outils d'acier et des machines dont nous disposons, démunis d'électricité et de machines-outils et de transport lourd, ont construit les pyramides en granite dur, avec des pioches de bronze et des marteaux de cuivre (1). C'est tout bonnement impossible, mais personne n'a su les démentir, ignorant une technologie que nous ne maitrisons pas : comment ont été polis ces énormes coffres vides qui ne sont pas des tombes dans les tunnels souterrains de Saqqarah ? 



Comment ont été découpés les blocs de pierre très dure et pesant des tonnes en soubassement des pyramides ? Et ceux à l'intérieur ? On parle de tombeaux quand on n'a pas d'autre explication, mais on n'a jamais trouvé de corps ! Comment ont été découpés les obélisques ? Certains commencent à affirmer qu'en réalité, ces ouvrages que l'on retrouve sur toute la planète notamment au Pérou datent d'une civilisation beaucoup plus ancienne, disposant de technologies encore ignorées, qui par exemple moulaient les "pierres", permettant ainsi des ajustages d'une précision incompréhensible. Cette civilisation aurait disparu, à la suite de quelles catastrophes ? De nombreux sites sont interdits aux scientifiques : les Etats nous cachent-ils des informations ? 


Des chercheurs de prestigieuses universités d'Amérique centrale et du Sud ont récemment relevé le défi et analysé les "roches des géants" de Sacsayhuamán. Et, chose incroyable, ils ont découvert qu'il s'agissait de roches synthétiques, ou "géopolymères". Cela signifie que les bâtisseurs n'auraient pas déplacé de roches. Au contraire, ils auraient tranquillement transporté des milliers de kilomètres de sacs d'"ingrédients" pour fabriquer les roches synthétiques directement sur place. Puis ils mélangeaient tous les ingrédients, et la roche, comme par magie, se formait sous leurs yeux. Ce processus de fabrication d'un "géopolymère" est absolument scientifique et parfaitement réalisable. À condition que vous disposiez de la technologie et des connaissances en chimie pour le faire....

Ces dernières années, des chercheurs de renommée mondiale ont découvert que le revêtement qui recouvre la pyramide rhomboïdale de Snefru n'est pas fait de calcaire, mais de roche "synthétique", ou géopolymères. On a découvert la même chose à propos de certains blocs de la Grande Pyramide de Gizeh : il ne s'agit pas de calcaire, mais de "géopolymères". (Remarque : un géopolymère est différent du "ciment romain", ou mortier, car il est aussi dur que la vraie roche)....

Une réflexion. Nous ne fabriquons des géopolymères que depuis 1950. Mais alors quelles connaissances en chimie possédaient ces fabricants, s'ils ont réussi à le faire des millénaires avant nous ? D'où viennent-ils ? Et pourquoi, des deux côtés de l'Atlantique, au Pérou et en Afrique du Nord, des peuples anciens parvenaient-ils déjà à fabriquer des roches synthétiques ?



Par ailleurs, est-il possible de moduler la gravité ? Bien sûr que non nous répondent les experts... et pourtant ? Des ondes électromagnétiques peuvent-elles être émises par des blocs de pierre... riches en quarz, comme une montre à quarz, quoi ? Les Pyramides partout sur la planète dispensaient-elles une énergie, comme celle que maitrisait Tesla ? Les obélisques pout tout dire étaient-ils des antennes de communications entre des monuments sur Terre et vers d'autres mondes ?

Nos antennes actuelles n'ont pas le même look, pas les mêmes signes hiérogyphiques, mais vous et moi ignorent comment elles fonctionnent. Pourtant, elles transmettent à travers l'éther des informations rapidement disparues quand Sfr me plante sans préavis, au motif de réparer le téléphone ce qui n'a aucun rapport ! Internet fonctionne par des ondes, certes l'énergie est électrique à la base, mais l'énergie, les éclairs notamment, nous entoure, la seule différence est que nous ignorons comment la capter !

avec ses 8 faces, la grande pyramide est-elle à l'origine  un émetteur d'énergie
qui aurait été remanié par les Egyptiens, pour en faire un usage religieux, voire funéraire ?

il parait que dessous, c'est plein de tunnels amenant aux véritables entrées et reliant même le sphinx


voilà la question : ces antennes ignorées, les obélisques, 

communiquaient-ils entre eux, et avec ailleurs ?


là encore, je vois bien l'obélisque de gauche, comme une antenne ? rien à droite !

s'il en fallait deux, ça ne peut plus communiquer ?

il y a là un ancien système qui ne doit plus fonctionner ?


là une meuf tient son Ankh, comme nous aujourd'hui notre portable

était-ce un engin de communication ? si la structure d'antennes n'est plus entrenue

ça ne fonctionne plus  forcément

voyez cette égyptienne ! on lui voit bien les deux yeux ! elle a l'air au courant !

sur son site instagram, elle suggère des visites initiatiques dans des endroits chelous
en tous cas, elle a son iphone sur elle bien caché

je plaisante depuis le début bien sûr :

il y en avait un à droite, un obélisque ...

... il a été donné, je dis pas acheté, je dis donné à la France C'est Méhémet Ali, vice-roi d'Égypte, qui, en signe de bonne entente, et avec l'accord du baron Taylor puis de Jean-François Champollion, offre à Charles X et à la France, au début de 1830, les deux obélisques érigés devant le temple de Louxor. J'ai bien lu : les deux ! Seul celui de droite (en regardant le temple) est abattu et transporté vers la France ; le président François Mitterrand annonça officiellement le 26 septembre 1981 que la France renonçait définitivement à prendre possession du deuxième obélisque, resté sur place, restituant ainsi sa propriété à l'Égypte. Je crois qu'une horloge, dont nous étions de gros producteurs, a bien été offerte en remerciement.

Tout le monde sait que c'est Champolion qui a choisi celui de droite qu'il trouvait plus beau,

alors qu'à gauche il est fissuré, il n'aurait pas résisté au transport

vous devinez les babouins servant de socle à gauche ? on en reparlera

ce serait moi j'en aurais reconstruit un à la place

mais la technique s'est perdue
ce qui prouve bien que ceux qui l'ont érigé disposaient de savoirs disparus

pourquoi n'ont-ils pas posé celui-là, à la place, le boulot est quasi terminé

sauf bien entendu ... d'il existe à l'Elysée un système de COM (certes un peu désuet) communiquant toujours avec Louqsor ? ONENOUDIPATOU ! 

exemple : on croit voir un château d'eau, en réalité, c'est un faisceau d'antennes pour la 5G
la Tour Eiffel pareil. ¨Pourquoi pas un obélisque ?


bon, Louqsor est incomplet, c'est la faute à Méhémet Ali

qui s'en moquait grave, comme les touristes d'ailleurs, personne sauf moi ne râle ! 

peinture de Hubert Robert

il y en a tellement d'autres sur place ...

... à Rome eux aussi, transplantés (comment ont-ils fait) par les Romains,
... aux States ...

... et à Paris : on a celui de la Place de la Concorde

je l'ai retrouvé !


 
L’orientation originelle du monolithe par rapport aux points cardinaux n'a pas été respectée ; elle a subi une rotation anti-horaire d'environ 90°. La face originellement à l’est s’est donc retrouvée au nord. L’obélisque est dit « décalé » comme l'exprime le texte métaphorique d'un médaillon scellé au sol en 1939 : « Au levant de Thèbes surgit à Paris le Nord. »

À l'origine, comme son alter ego de Louxor, l'obélisque reposait sur une base carrée décorée de 4 babouins dressés sur leurs pattes arrière et dont le sexe est bien visible. Un fragment de ce socle fut rapporté d'Égypte avec l'obélisque. Pour ne pas choquer la société française prude du XIXe siècle, cet élément ne fut pas installé place de la Concorde. On peut le voir à la section des antiquités égyptiennes du Musée du Louvre. Il est actuellement exposé au musée du Louvre-Lens, dans la Galerie du temps.


ça ne peut être cela, les dates ne collent pas !


j'ai bien sûr cherché les babouins en question. Contrairement à la négligence des vrais singes laissant trainer "leurs affaires", leurs sexes "présumés" n'apparaissent pas du tout, pas de quoi émouvoir même une bonne Soeur ! 

on les devine sur l'obélisque de gauche ici, mais ils ne sont que devant, pas tout autour



c'est à mourir de rire de voir la société Kärcher faire de la défiscalisation avec le mécénat visant à nettoyer l'obélisque




Nous, jamais avares d'argent public (à crédit), on a rétabli la pointe en or pur, qui facilitait les communications à l'origine.

Alors, j'ai tenté d'aller plus loin

comprendre, au moins, ce qui était écrit dessus

c'est ainsi que pratiquent les archéologues officiels : 
ils tentent de déchiffrer les notices, les modes d'emploi.

Pas de notice ;  pas de mode d'emploi, ils sont foutus, -"ce n 'est pas Romain" a dit la DRAC du puits Romain de Tibiran chez nous, niant sans complexe l'existence d'un aqueduc romain aval alimentant Lugdunum convenarum en eau potable : admettre ce fait en niant la source est un exercice de grand écart administratif admirable, qui m'a toujours agacé dans l'Administration française !

et je suis tombé sur ça :


Je suis convaincu que comme dans le religion Catholique, les termes, les mots, les symboles, restent souvent cachés, et nécessitent une initation pour être compris dans leur sens propre, alors que le Catholicisme par exemple utilise couramment la métaphore.

Mais alors, compter sur une traduction de 1868, pour expliquer 156 ans plus tard l'usage d'une antenne dont on ne comprend pas la fonction en 2024, année de développement de la 5G et du wifi par la fibre optique qui peinent à couvrir la France du XXIè siècle me fait tordre de rire ! Aucun candidat docteur en archéologie de nos jours, ou un candidat docteur en télécommunications non plus, pour actualiser la traduction de François Chabas ? Quand on parle d'Archéologie comme une Science, on a des trous dans la raquette, non ?

J'ai donc lu à fond la traduction de François Chabas, l'essentiel est comme souvent dans les thèses, dans l'introduction : voici un extrait :

..." Celui de Paris, (l'obélisque) et son compagnon resté à Louqsor, furent l’œuvre de ce glorieux monarque, l’un des rois les plus populaires que l’Égypte ait eus.

"Ce Pharaon, dont le nom égyptien est Meï-Ammon-Ramsès, ce qui signifie : l’aimé d’Ammon Ramsès, avait un prénom royal de deux formes différentes ; ces prénoms ont une portion commune et essentielle qui se lit Ousor-ma-Ra, c’est-à-dire, Soleil abondant de vérité. Les cartouches-prénoms qui ne contiennent que cette formule sont ordinairement, mais non pas toujours, terminés par le signe  (la lettre S) dont le rôle est assez difficile à préciser. On peut seulement faire remarquer à ce propos que l’un des noms familiers du même Pharaon était Sesou, ou avec le titre habituel de Soleil, Sesou-Ra. On a conjecturé que ce nom populaire avait fourni aux historiens grecs les transcriptions Sesoosis et Sesostris. On le trouve quelquefois écrit seulement avec deux S.

À la formule Ousor-ma-Ra s’adapte le plus souvent l’addition Sotep-en-Ra, dont le sens est : approuvé du Soleil ou chéri du Soleil. Telle est la forme la plus habituelle du prénom royal ; mais cette forme n’exclut pas la première, qui appartient bien réellement au même Pharaon....

... "Les colonnes médiales des inscriptions gravées sur les faces Nord, Est et Ouest de l’obélisque de Paris, donnent au cartouche prénom la forme Ousor-ma-Ra ; pour ce motif, on n’avait attribué à Ramsès II que ces trois lignes d’écriture, tandis qu’on gratifiait Ramsès III des neuf autres lignes, qui portent le cartouche Ousor-ma-Ra-Sotep-en-Ra. Nous savons à présent que la totalité des inscriptions appartient à Ramsès II.

Je vous donne le lien vous permettant de lire l'entièreté de la traduction


moi, quand je lis la métaphore :

"Soleil abondant de vérité"

je ne vois aucune contradiction avec une énergie inconnue permettant la communication entre des antennes terrestres, voire extra-terrestres, puisque nous le faisons tous les jours avec nos millliers de satellites, dont certains communiquent avec Toulouse ou ailleurs par des ondes invisibles

j'ai trop lu de Science Fiction

j'ai trop de doutes sur nos certitudes pour ne pas avoir l'oreille ouverte
à la quantité de choses que j'ignore

j'en vois plein, de signes : ce n'est pas une mouche mais bien un papillon
l'An
kh est partout, et même en bas, et des pyramides encastrées au centre
le mec porte une perche comme les employés d'EDF pour remettre les lignes en place après une tornade

je n'ai pas encore vu d'électrons pourtant ils existent
j'attends ma mort pour comprendre ce qu'il y a après

peut-être qu'il n'y a rien

peut-être qu'après, on devient cette énergie, et qu'alors on comprend ! 

voici pour vous convaincre un exemple de traduction


vivificateur éternel comme le Soleil

c'est quoi un hiéroglyphe qui signifie "vivificateur" ? j'aimerais bien voir
mais les traducteurs égyptologues cachent soigneusement leurs travaux
pour que les ignorants ne puissent voir ce qu'ils font !

pourquoi cela ne désignerait-il pas une énergie... solaire ou pas ?

vous savez, vous, de quoi est faite l'énergie vitale ?

je cherche toujours la réponse ! 

j'aurais préféré une traduction avec Einstein comme expert !
au moins, on aurait été en 1949 ! 

comme disent certains mémos sur facebook :

-"il serait vraiment le temps de se réveiller"

voyez cette interprétation de la Bible




PS (1) : j'ai commis neuf billets en juillet sur "l'archéologie interdite" : voici le premier


        le dernier et 9ème


PS (2) : Central Park est en ligne aussi :


---o---

il manque la citation latine de ce dimanche ensoleillé d'automne :

"Iter est, quacunque dat prior vestigium".

Il y a un chemin, partout où un autre a laissé des traces.

le tout est de le trouver !