La Gazette de Babo: Rail story raconte notre Histoire (1)

Entre les années 40 marquées par la seconde guerre mondiale, et aujourd'hui marqué par la dématérialisation due à internet et la croissance de l'intelligence artificielle, notre génération aura vécu le changement du monde. Il est évident que l'on vit mieux, le travail soulagé par l'omniprésence des machines, et l'émergence des robots. Les femmes ont conquis quasi l'égalité, le droit à décider elles-mêmes de leur corps grâce à la pilule et le droit à l'avortement.... tant qu'il ne leur est pas contesté ! La mobilité a été permise par l'exploitation exponentielle de ressources fossiles étonnamment inépuisables ... jusqu'à maintenant ! La culture est accessible au plus grand nombre, et les loisirs abondent tellement, qu'ils sont devenus source de profit pour ce qu'on appelle l'industrie du tourisme. A part la guerre revenue, tout pourrait donc paraitre aller dans le bons sens... si notre Souveraineté, et notre Liberté, restaient toujours à défendre dans un monde où se côtoient démocraties, dictatures, et cynisme généralisé. Le nucléaire, autrefois espoir d'énergie universelle, montre ses limites puisque les Sachants n'ont pas su en montrer les avantages, d'autant que l'armement généralisé condamne les pays possesseurs de l'arme atomique à laisser agir les pays dotés des mêmes armes, comme cela se passe en Ukraine.

Je trouve amusant que la vapeur produite par le charbon pourtant si controversée, revienne en force dans l'actualité : la fée électricité est certes magique, mais suppose des investissements colossaux pour répondre aux demandes immenses d'une Humanité toujours plus nombreuse à utiliser les ressources comptées de la Planète, dont les plus riches préparent d'ailleurs la fuite en cherchant d'autres planètes vierges à coloniser.

Alors je tombe sur Railstory, l'histoire du rail

et je retrouve les repères qui ont marqué ma vie.

Avec cette canicule nous contraignant à rester à l'ombre, j'ai déchiffré ces images nostalgiques, et vais vous les offrir au cours de quelques billets.

cette histoire commence, of course, par le début