C'est le thème de l'expo actuelle au Centre Pompidou : depuis le temps qu'ici on accumule les prototypes, Paris s'y met enfin, au moment où Nantes découvre le procédé pour imprimer une maison. Une maison sociale s'entend, puisque le but est de construire moins cher pour loger les classes moyennes : au lien d'importer des travailleurs détachés, on n'importe plus rien du tout, on ne fait plus appel aux travailleurs du tout , on comprend que sans travail et sans pouvoir d'achat, il faille baisser le coût du logement pour loger ceux qui ne peuvent plus se loger, beau cas de figure pour les candidats dans la dernière ligne droite des Présidentielles !
Car la révolution numérique arrive vraiment !
vous vous souvenez "impression Soleil levant"
donnant l'impressionnisme ?
j'aurais nommé l'expo en question :
impression 3D
en faisant une astuce avec le mot "impression"...
(je sais, je suis trop compliqué
le seul qui me comprend c'est Mélenchon qui fait un tabac avec ses hologrammes !)
vous vous souvenez "impression Soleil levant"
donnant l'impressionnisme ?
j'aurais nommé l'expo en question :
impression 3D
en faisant une astuce avec le mot "impression"...
(je sais, je suis trop compliqué
le seul qui me comprend c'est Mélenchon qui fait un tabac avec ses hologrammes !)
le nouvel humain 3D : un masque vide ? |
Parfait pour faire de l'art contemporain !
la grotte de Rodin sans Rodin |
parfait pour créer des prothèses |
parfait pour loger les sans-abris |
c'est davantage une grotte qu'une maison, mais la maison c'est pour bientôt |
Je vous rappelle que mon ami Pythagore imprime en 3D
avec son robot Augustus
depuis au moins douze mois :
bientôt au Centre Pompidou ?
Pythagore est Ingénieur : on ne les entend pas souvent s'exprimer ! on sent le besoin d'exister, non ? |
comme le disait le célèbre créateur d'Apple,
ceci est une révolution !
Pour "les ceusses" qui voudraient revenir aux fondamentaux :
L’impression 3D C Koi ?
Terme générique qui recouvre différentes technologies,
l’impression 3D est un mode de fabrication additive par dépôt de matière,
couche par couche. Le concepteur modélise son objet à partir d’outils CAO
(Conception assistée par ordinateur) puis le fichier numérique est envoyé à une
imprimante 3D qui réalise un objet physique en trois dimensions. L’impression
3D appartient au domaine de la production digitalisée et du prototypage rapide,
allant de la stéréolithographie au frittage sélectif par laser ou au dépôt de
plastique fondu. Ce mode de production associe le développement logiciel et
l’automatisation à une imprimante 3D et à des outils de scannage. Pythagore a abandonné depuis longtemps le dépôt de plastique fondu en inventant sa célèbre liqueur de marbre (célèbre chez les Egyptiens).
Les origines de l’impression 3D
remonteraient à la photosculpture, invention de François Willème vers 1860 qui
inaugure une captation photographique tridimensionnelle ainsi qu’aux cartes
topographiques en relief de Joseph Blanther, réalisées couche par couche, à la
fin du 19e siècle. Dans les années 1960, l’avènement de l’informatique, des
machines à commande numérique, de l’automatisation débouche sur un nouvel
espace numérique. À la même époque, les « hackers » et « makers », issus d’une
culture communautaire aux États-Unis, redonnent naissance à une économie
collaborative : l’artisanat s’hybride avec les technologies numériques
émergentes. Dans les années 1980, le premier objet par fabrication additive
(procédé de stéréolithographie) est imprimé. Au tournant des années 2000, des
logiciels ouvrent la voie aux modélisations numériques 3D. Aujourd’hui,
designers et architectes interviennent directement sur les langages de
programmation et sur les processus de production.
Un FabLab, C Koi ?
Au début des années 2000, dans le
contexte du MIT aux États-Unis, sont créés les FabLab, contraction de l’anglais
« Fabrication Laboratory », lieu ouvert au public donnant accès à des outils de
conception et de fabrication d’objets pilotés par ordinateur : fraisage,
découpe laser, imprimante 3D. Ces espaces sont liés à l’innovation numérique
dans le sillage du mouvement des « makers », émergent dans les années 1960, «
fabricateurs » numériques prônant le « Do-It-Yourself », à mi-chemin entre
l’artisanat et la manipulation d’outils numériques. L’impression 3D est
devenue, à travers les Fab Lab, le symbole d’une nouvelle économie du partage
et des échanges.
PS : Cela fait plus de deux ans qu'ici on invente le futur au présent (astuce) :