Email annonçant le travail fini, je
pars : direction Saint-Girons, c’est dix minutes après.
Un peu plus d’une heure de route. Le facteur croisé sur place me donne l’adresse
précise, rue de Crouzette, un grand garage. Mehdi est compagnon du devoir, neuf ans, un long apprentissage. Comme chef-d’oeuvre, il lui a été
demandé ce demi-avant de Bugatti, au radiateur tourmenté.
Ma carrosserie m’attend. Mais
rien ne remplace l’œil du patron : le raccord avec la cloison pare-feu n’est
pas parfait : pas grave, il suffit de revenir sur le pli, le « soyage »,
en utilisant une « chape ».
Bientôt le raccord est impeccable.
Retour d'Ariège par les
petites routes. Je promets d’envoyer les photos après peinture.
Normalement,
les montants du pare-brise (sept morceaux) ont été chromés, chèque envoyé à
Lourdes, retour attendu semaine 28.
quelles belles soudures ! |
Décidément, tout aurait-il repris ?
comme moi vous admirez ces découpes tourmentées :
le secret ?
ces cisailles ...américaines !